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vendredi, 26 octobre 2007

Nous sommes des chips croustillantes.

Les jolis garçons me font tourner la tête, je tombe amoureuse d'un nouvel agneau tous les deux jours en moyenne, éreintant. ;-)

Il y a tellement d'hommes, de caractères, de lèvres, de façon de partager, de manières de séduire, comme pour les livres et les disques, jamais nous ne pourrons être rassasiées : merveilleux !

 


(Ne te laisse pas irriter par le grrr du début, écoute le titre en entier, tu vas adorer. Normalement.)

jeudi, 25 octobre 2007

Mamaaaaaan, occupe-toi de moi !!! Chui malaaaaade !!!

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Une semaine d'antibiotiques pour que dalle. 40 euros de médecin pour rien. Rebelote on recommence tout. Putain je l'ai mauvaise. Yeux qui pleurent (hyper pratique pour bosser devant un écran), toux de crevarde, trucs dégueus dans la bouche et le nez, hyper froid ou hyper chaud bref je râle. Et en plus je n'ai plus d'eau ni de mouchoirs donc il faut que je trouve le courage de sortir.
 
Nebraska Vs Paris
 
PS : Va être content mon date dimanche de voir débarquer une ogresse... 

 
 

mercredi, 24 octobre 2007

Et une coupe au Flore pour O, une ! (Enfin deux, voire six)

Il m'a rappelée !!!

Il a une voix si douce, j'en étais toute confuse au téléphone.

Je ne le verrai que ce week-end car il part jouer demain en province, un comédien pour Jen, ça promet pour une menteuse aussi talentueuse que moi - ouch ! (Et musicien ou chanteur aussi je crois, un petit saltimbanque des temps modernes, j'aime assez.)

Grand sourire idiot.

R. est un gentleman (enfin non mais là je pense à la dernière page du dernier Technikart sur le romantique moderne et je rigole). Un verre dans l'après-midi, il ne veut donc pas QUE me voir dans son lit mais faire connaissance. J'aime. Varions les plaisirs. Je sens si bon, paraît-il. Il embrasse si bien, lui dis-je. Une petite romance en fin de semaine à prévoir. Ou non. J'ai envie d'une romance furtive. Mais... il a quelque chose ce garçon...

Let's see ! 

 

Moi, lui, sur son scoot et des nez glaçons aux aurores, ouiiiii !

 

Le goût de la parodie

2h55.

Retour du paradis des hanches sensuelles et desinhibées.

J'ai embrassé un bébé mais surtout R.

R. est tendre, doux, drôle et rien qu'à moi. Cette nuit. R. me fait penser à Sened. Sened, je suis sous le charme de ton clone ! enfin pas vraiment mais il y a un truc quand même, je ne saurais te dire quoi, ton côté poupon sans doute !

R. et moi avons échangé nos verres, nos lèvres et nos rires. R. et moi avons fait nos cons sur RATM.

"And now you do what the told ya..." Des pogos on a fait, des pogos on a ri, des pogos notre complicité est née. 

Une adolescente de 27 ans rencontre un adolescent de Poissonnière du même âge; les adolescents quittent en même temps le PP; les adolescents se retrouvent un peu par hasard dans une rue. Lui sur son scoot, moi dans la bagnole d'Olivia. Il passe et me voit. Alors Olivia baisse sa fenêtre et nous échangeons des sourires d'adolescents qui se/me plaisent. Alors je descends de la Smart pour l'embrasser de nouveau. Il se trouve l'air idiot avec son casque, moi je l'aime ainsi. Des bisous. Puis on se revoit au feu. Puis j'attendrai sans attendre qu'il me rappelle ou non. On a lançé les paris : une coupe au Flore s'il me rappelle.

Il est chevelu, un peu barbu mais pas aussi maigre que mes coups de coeurs habituels. Pourtant il me plaît. Un peu.  Beaucoup ? Je ne sais pas.Je l'aime bien.

Wait and see.

Sinon dans la soirée, deux concerts : le premier plaisait à tout le monde sauf à moi. Le second ne plaisait qu'à moi : entre Diaboologum, Weezer du début, Sparklehorse et Tindersticks. Moi j'aimais. J'étais réellement la seule. Sont cons tous ces petits cons, comprennent rien au rock mélancolique ! Pfff.

Drôle de voir mon auteur se déhancher sur les tubes de notre jeunesse. Génial de voir le mec d'O tripper sur les Gossip et The Go! Team. J'adore la façon dont il danse. Encore plus drôle de voir O... ;)

Bonne soirée. Très bonne même.

PS : Le goût de la parodie... On ne vous la fait plus visiblement. La vidéo était pourtant sincère. Sur le coup. Mais ce soir, c'est R. qui me rend sincère : baisers salés, baisers aimés, sourires sincères, te reverrai-je... Je ne sais pas, je m'en moque, je suis bien. 

 

ps : J'ai son odeur sur moi, une espèce de doudou. Sourire. 

mardi, 23 octobre 2007

Cyclothymique ? pfff...

La pêche. Bonne petite soirée en perspective... (Si je retrouve mon date du week-end, je ralentis l'exercice bucal.)

lundi, 22 octobre 2007

Mon clip de fille, ce soir

La voix du mec au mileu du morceau me gonfle mais le début c'est ça...

Un bébé. Besoin de câlins moi, merde !

dimanche, 21 octobre 2007

Toi, je te veux

Hier soir, clairement, je sortais pour m'éclater et rentrer accompagnée. Mission accomplie, Jen comblée.

Je me pointe au PP pour l'Arty Party (bisou Mathieu, pas eu le temps de te parler, trop occupée à gallocher les minets !...). Bien. Champagne et le bordel. Puis petit concert de Beauty & the Beat (bite ?!!) ou un nom dans le genre, le chanteur est dément, une espèce de diva Betty Boop mixée à une putain sortie d'une factory berlinoise avec perruque rose et dents bling bling. Drôle et un très bon morceau dans le lot. Puis Raphaël. Raphaël : "Tu es la plus belle fille de la soirée, je veux te dessiner". Vas-y babe, shut up and kiss me. Hmmm, good kisser. Non, désolée, je ne te suivrai pas dans ta fête à Bastille, moi ce soir je reste ici avec mes potes. Je continue donc à faire ma pupute, me trémousse avec mes bas rouges et promène ma langue dans la bouche d'Emmanuel, Sacha (des faux-airs de Stephan Freiss, j'adore) et une nana dont j'ai oublié le nom. Second concert. WhoMadeWho. Le kiff, j'ignorais qu'ils jouaient ce soir. A ce moment-là, mes potes se cassent, m'en fous moi je reste, ce soir j'ai dit "Je fais ma conne". (Accessoirement, j'ai envoyé à ce moment-là un sms à  un mec que j'aime bien, pas de réponse, grrr, j'aurais bien fait un détour par sa chambre à cet instant précis.) Hors de question de rentrer à 1h. Je finis par atterrir dans l'alcôve danoise avec le groupe autour d'Absolut. Mais avant, j'embrasse Paul qui me sauve des mains fouineuses d'un sosie de William Leymergie (ce connard me touche le minou, pensant que ça me plaît), Paul est mon héros. Avant d'enchaîner sur une longue discussion avec Mr Moustache aka Jeppe en pull Dingo après la robe de scène (le Danemark ou le pays des filles blondes canons et des gars modestes - ça change), j'ai le temps de voir la queue de Zorro le chevalier Wayfaré que je ne sucerai pas sur place (cf Paul)... Il voudrait partir maintenant mais encore une fois, non et renon, on reste ! Je rejoins les genoux de l'allemand, Mathias, pour une leçon de french kiss et un débat sur les cagoles et les kékés. Le tout avec mon anglais de brelle qui fait craquer. Ouais enfin j'aime bien le penser, la ferme. Je finirai par rentrer avec Paul, style Slimane, dreads et main dans la mienne, vodka dans le sang*, rencontres absurdes sur le chemin du retour avec quelques illuminés tant aimés (un échangiste du Congo qui vit depuis trente ans à Odéon, deux anglais supporters dépressifs et une bagnole sur laquelle on allait faire pipi pendant que ses passagers nous contaient hype&fleurette) puis... B.A.I.S.E. J'avais un gros besoin de cul, j'ai été servie. Merci monsieur, c'était parfait. Good sex, bla bla and tenderness, great.

En revanche, la capote s'est barrée je ne sais où (dans mon ventre ?!!) donc j'ai comme qui dirait zappé la seconde ce matin. On s'en fout, c'était bon, continue, viens. Un petit bébé du clone de Basquiat, pas mal.. ;)

Et ce matin ce sms qui m'a fait pisser de sperme (rhooo, qu'est-ce que tu peux être vulgaire, Jen !) : "Je te rappelle, je suis aux urgences, je me suis planté un couteau dans le bras."

Lèvres détendues et joliment teintées... Dimanche radieux.

Quel bonheur, le célibat quand même ! Fleur bleue à mi-temps, j'avoue. 

J'ai faim ! Macdo (pas mangé depuis vendredi - vendredi : un morceau de pain et quelques bouchées de fromage; je maigris, parfait). Puis boulot. Retour aux priorités avant de me faire taper sur les doigts par des clients responsables.

Je suis biiiiien, la baise bordel, la baise !


podcast
* moins je mange et moins je suis bourrée malgré les verres à la chaîne, bizarre

 

PS : Je suis couverte de bleus, chaque jour j'en ai un nouveau sur les jambes, grand et vilain tout bleu-noir. Pourquoi ? 

PPS : Je précise parce que je viens de réaliser... Hier j'ai envoyé 3 sms dans la nuit, donc ce n'est ni toi ni toi dont je parle, hein. ;) 

samedi, 20 octobre 2007

This guy, you know, he's just so... you know

Le froid qui gerce tes lèvres déjà endeuillées par  trop de nicotine, d'alcool et de mots clash.

j'aime ce moment où l'on se quitte et où je tourne, la rue à moi, le droit de rire seule sans être prise pour une folle.

fatigant d'être toujours prise au choix pour la folle ou la fille touchnante; en même temps je n'ai qu'à pas me mettre à crier dans un bar qu'il est hors de question d'entendre un seul de ces mecs me dire ce que je ne veux pas entendre. Il me fait rire François avec sa coupe Polnareff et son élocution plus sûre que la mienne. Savait-il que le poupon cynique était le fruit de l'imaginaire d'une fille enivrée par l'atmosphère d'un passage parisien sombre et pourtant accueillant ? Se doutait-il que derrière mes yeux se cache une petite conne sensible aux garçons qui semblent doux et modestes ? Parfois j'arrête ceux qui me reprochent mes cris de joie, parfois je deviens muette. Et entre les deux je mens. Je mens souvent. Peut-etre trop. Je mens car c'est toujours plus simple d'être libre et sans attaches. En fait, je mens comme je vis, c'est-à-dire en dents de scie. Je ne mange plus beaucoup ces temps-ci. Je bois toujours autant, quoique. J'ai chéri mes narines par simple mesure financière. J'ai choisi la route masculine, celle du tout-mensonge, celle du tout-sans moi, celle du sans avenir, la route lâche et égoïste en somme. Un petit mec. Un mec. J'aime et j'aime pas. J'aime car ça me donne la sensation d'être invulnérable mais ça me met face à des situations dans lesquelles jamais auparavant je tenais le rôle appris par coeur. Improvisation. La vie serait-elle mieux sans abandon ? Non, non et renon. L'abandon j'aime, c'est au fond du désir pour l'autre que l'on touche la vérité, ce petit éclat intérieur qui pousse à l'indécente et éphémère sensation de baiser le quotidien, le prévisible, la vie quoi. 

Est-ce que je baise la vie ? Non. La vie me baise-t-elle ? Non plus. En ce moment je n'ai qu'une crainte, celle de ne pas me jeter dans tes bras. 

 

Sérieusement, vous pensiez vraiment que j'étais sincère ?

Si je suis sincère, je te dirai qu'il est jamais trop tard pour brûler ton manuscrit mais trop tôt pour en écrire un nouveau.

 

Et si je suis sincère sans mentir derrière l'écran, je te dirai juste que je ne suis pas prête à me donner à un homme quel qu'il soit, sauf s'il s'appelle Victor et qu'il porte un tee-shirt avec une tâche de vin rouge en bas à droite et qu'il ne quitte jamais la craie qui lui sert à écrire je t'aime sur la porte de mon immeuble. 

 

Mais si je te mens alors je te dirai que ça me saoule d'être invulnérable. Et je te claquerai la porte au nez après avoir savouré tes lèvres une dernière fois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est fou ceque le silence gonflé du ronron d'un chauffage électrique défaillant peut me faire dire ! (ou peut-être l'alcool mais le froid a anesthésié ses pouvoirs, j'en suis presque sûre pour cette fois).

 

 

arty party demain, je me promets de pas finir dans ta bagnole.

 

tu vois olivia, finalement je l'écrirai pas ce truc où j'étais censée être bourrée et honnête, suis trop lâche pour rester femme aux heures perdues. ça veut rien dire, j'enfile les mots comme des perles, et j'aimerais continuer comme ça pendant dess heures mais là suis fatiguée alors j'écrirai rien de plus. Ni demain ni aujourd'hui. Parfois c'est mieux. Souvent peut-être mais parfois ça me convient. Et puis merde ! fallait pas m'arrêter sur raspail pour m'embarquer, rien n'est de ma faute je jure je ne portais qu'une robe trop courte et un sourire menteur.

 

allélulia le seigneur est avec nous, priez pour les petits orphelins quant à moi je vais dormir et rêver de pleine lune 

vendredi, 19 octobre 2007

Deux mecs qui m'envoient bouler dans la même journée, c'est un peu trop !

(Ouais enfin encore le premier, ça va, respect, mais l'autre, bonjour l'amitié entre ex !...) 

Putain ce soir, je sens que je vais aligner les conneries... Ce soir, c'est la teuf bordel de merde !!! 

jeudi, 18 octobre 2007

Ma mère est une psycho et mon père névrosé contamine ma patience !

Je suis fan. Un humour qui me parle tellement...

 




Moi aussi, faut que je sois prête... Moi aussi, je me répète mon petit cinéma parfait flippant dans ma tête. (Yann, j'ai pensé à toi avec cette vidéo, sais pas trop pourquoi mais je t'imaginais bien faire tout pareil).

 



Je devrais écrire sur mes parents en fait. C'est con que je ne sache pas dessiner, j'aurais adoré faire des trucs dans ce genre.

 

PS : rappelez-moi de ne plus dire à un mec que la première cigarette c'est pour faire caca.