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jeudi, 03 mai 2007

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No way ! J'irai pas jusqu'au Palais de Tokyo avec ce temps de chiottes. Trop de pluie, trop défoncée, je peux pas. 

Et voilà, encore deux potes qui se prennent ma seule et unique résolution de l'année en pleine face, en l'espèce l'égoïsme à outrance. Je viens de passer deux semaines à dire oui ou non sans contraintes, c'est pas aujourd'hui qu'on va me refaire le coup du chien battu (oui, oui, je parle de toi, et aussi de vous deux mais merde, c'est bon, c'est pas gra-ve).

Alors comme c'est ma première soirée seule depuis longtemps, je me suis dit "pourquoi pas vous faire signe de vie...". Donc me voilà. Si vous vous demandez ce que j'ai foutu depuis la dernière fois, bah en gros je me suis ressourcée en Bretagne (des années que des vacances ne m'avaient pas autant été bénéfiques) puis j'ai fait la conne depuis. Enfin la conne, non, je me suis amusée, c'est tout. J'ai vécu à l'ancienne... sans me soucier de rien, juste ma pomme et ceux qui gravitaient autour. Bon la vérité, c'est que j'ai pris un pied fou à me lâcher et qu'il y a un truc en moi qui s'est éteint, je sais pas quoi, mais je sais que c'est cool parce que je suis bien, je vois la vie simplement et bordel, ça fait du bien !

L'auteur de ce blog remercie tout particulièrement le syndicat d'initiviatives de Quiberon-Belle-Ile, les niniches, les crevettes, le héros de mon 31, le chien battu n°1, la folle de ma vie, l'accro aux rendez-vous clandestins, la SPA, la Colombie, Architecture in Helsinki, Dieu pour m'avoir donné cet énorme et hideux bleu noir, marron et jaune sur le genou droit suite à une soirée beaucoup trop arrosée de Champomy, la concierge de l'immeuble de si gentiment insister du regard lorsqu'elle me croire de peur que je ne pige pas que mes étrennes tardent à venir, Pepito, la testostérone, Eres, Zadig&Voltaire, Yves Saint Laurent et la chaleur d'Enrico Macias - oups, Enrico, c'est pour le blog d'à côté, toutes mes excuses !