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lundi, 18 juin 2007

Ce soir, je me sens comme en dehors de moi, sans raison.

J'ai un nabcast musical, "J'écoute du bon son, darling". Sans commentaire pour le titre, j'assume Pétasseland mais jusqu'à un certain point. Donc si t'as un lapin, viens écouter, j'y mets ce que je ne mets pas forcément ici faut de mémoire disponible.

 

J'avais oublié d'en parler ici... si vous voulez télécharger un an de sons pour pas un rond mis en ligne sur iTunes par Zadig&Voltaire, clique ICI. Z&V sans qui j'aurais laissé inactives mes lèvres ce jeudi-là... Une rencontre très sympathique.  Avec un petit barbu chevelu doté d'un sens du baiser digne d'une Jen bouche bée... puis c, x... non, je plaisante. Juste b et c.

 

J'ai un compte en banque débiteur à me rendre malade d'angoisse mais j'essaie de ne pas me faire bouffer par ce détail qui me revient plus que cher en agios par dessus le marché. Merde, c'était pas prévu au programme d'avoir une vie en telles dents de scie côté pépettes (vulgaire, je sais papa Mry). D'un autre côté, c'est signe de jeunesse (on se rassure comme on peut). Quand je serai posée à un bureau, un vrai bureau dans une rédac', je trinquerai à ces années de piges aux mois jamais égaux au niveau des sous gagnés et je sais que je risque même de les regretter, parfois.

Mais pour l'instant, j'aime bosser en indépendant (d'ailleurs, je suis toujours étonnée d'entendre tant de gens me dire qu'ils ne supporteraient pas de bosser chez eux. Pourtant, tant qu'on n'a pas d'enfant et que cette vie reste agréable, c'est tout de même un luxe : on bosse quand on veut, on peut voir les copines à 16h, déjeuner sans regarder sa montre, merde c'est bon, surtout en été ! Cela dit, je sais que  bientôt, je vais vouloir plus.)

Mais là, quand même, ça craint du côté de la banque. Zen.

 

Pas envie d'aller à ce dîner demain. Et revoir St Mandé, pfff...  Penser à leur dire que je suis surchargée de boulot.

Pas envie de sortir, cette semaine, en fait. Je crois que pour une fois, je vais m'y tenir, au "sois raisonnable".

 

Je devrais traîner dans les bars de marlous à Pigalle et retomber sur cet arménien qui avait fui Paris le temps que se calme cette histoire de faux billets. J'aimerais bien que mon mac (l'ordi, pas l'autre; celui-là, il est en vacances en Moldavie), en plus de me prendre en photo, me donne des billets quand bon me semble, une tirette à domicile.

 

Je ne suis pas fiévreuse mais c'est tout comme. Je suis molle. Un peu comme si je me réveillais d'un coma de cinq ans et que tout autour de moi me semblait étranger, ou un peu loin. Aucune attaches, à rien. Bizarre, ce soir, moi.

 

Demain, je raccourcis mes cheveux. Une fille (genre LA fille vraiment fille) aime bien demander à son coiffeur de lui ajouter ce p'tit truc dont elle pense manquer mais sans savoir vraiment la nature de ce petit truc. (Karine, une amie t'avait répondue : mon coiffeur est à Cadet, Atelier13, demande à être coiffée par Karine : plus jamais tu ne voudras aller ailleurs, je te le garantis - et j'ai bien dû faire 30 salons parisiens)

Bref, demain, je vais chez le psy raconter ce qui risque d'accoucher entre le massage capillaire et la clope pré-tête de rat attendant les coups de ciseaux magiques.

 

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J'ai reçu un nouveau mail, je n'ose pas le lire. C'est idiot. Je déteste ce sytème sur MySpace qui fait qu'on est immédiatement grillée puisqu'on doit se connecter pour lire ses mails et donc les "amis" calculent que nous sommes en ligne, c'est NUL ! Très "Levallois" comme sytème.

J'écris des tonnes en ce moment pour dire... rien.

(Le papier chiotte, ça irrite trop les narines. Je crois que je suis malade, je me mouche tout le temps, j'ai chaud et froid, je suis fatiguée et l'air est lourd.) 

 

SMS

 

Aurel : N'écoute pas ce titre, enfin si, écoute-le il est beau... mais je t'imagine à la maison avec Pau vous foutant de ma gueule avec mes chansons "de merde relous" ;))

Ca passera, sister, ça passera... le vide... puis un vide sans pensées obsédantes... on n'efface pas tant d'années comme par magie...  t'inquiète, ça passe, je te jure. ;)

Viens en juillet, essaie de te motiver, on se fera nos week-ends old school, deux jours de rires non stop, soleil au Luco, pastèque, cierges devant les voisins d'en face... viens, on t'attend et je veux que tu me vois tant que je n'ai pas encore regrossi ! ;) 

 


podcast
 

Commentaires

"Très Levallois comme système". Trop bidonnant, pour une fille comme moi qui habite Levallois et qui fait des doigts aux caméras.

Écrit par : Marie-golote | mardi, 19 juin 2007

des doigts aux cameras ? c'est du beau ca !

Écrit par : Vendredi 13 | mardi, 19 juin 2007