Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« David Letterman et bon week-end | Page d'accueil | Olivier L. »

dimanche, 04 octobre 2009

Suis mélo et je vous emmerde

Un élément déclencheur : Diego (je me douchais samedi et l'autre Michel Berger qui vient me chanter la liberté de son Diego que je me sèche avec ma grande serviette rouge, j'avoue j'ai ri puis vite me la suis jouée héroïne d'un M6 clip 1987) qui me vire et me bloque sur cette merde de fcbk parce que dans tes moments de faiblesse, il convient de rester courtoise, toujours. J'en suis pas, surtout la nuit.
Alors là, ça me prend comme une envie de vous offrir une flaque de merde sur vos jolis souvenirs de trentenaire ou quarantenaire, je vous vire à mon tour. Et puis oui, c'est bien de partir sur de nouvelles bases quand l'heure du sacro-saint bilan de la presque trentenaire déboule. Ca arrive après une soirée ou **. et **. me racontent comment ils ont baisé cette nana de 36 ans, ça arrive quand  *** me fait subtilement la cour et que j'ose à peine à y croire au moment d'éternuer dessus, ça arrive quand je regarde toutes ces histoires aussi belles que fatalement destructrices.

Je suis dans une phase naze, pas de doute ni de beau mot pour décrire ce que je ressens quand je regarde toutes ces complicités et ces "Tu es trop pour moi".  En déplaise ou non, mon rejet pour l'instant est total. J'ai envie de tous les rayer, même ceux devenus amis, même ceux que je regrette déjà. Y a des périodes dans la vie où l'on a envie de tout bazarder et là, c'est vous que je bazarde, tous ces hommes que j'ai aimés, une nuit, un mois, un an ou plus. C'est comme ça et pas autrement, pardon (monculmououais).

(Là-dessus j'ai écouté comme une conne Judas et C'est faux de Constance Verluca ainsi que cette chanson entendu chez V., Les armes miraculeuses, de Mike Ibrahim et j'ai bien fait de picoler gentiment et de lécher son cou sur le capot de la bagnole et d'embrasser ce si gracieux et bel habitué de ce bar où jeperdsmonadresse quand moi je chante didadidadoumdoum.)

blabla.jpg

Ouais, je vous emmerde je sais et puis ils donnèrent beaucoup d'emmerdes à la république et d'enfants à des femmes qui ne sont pas moi.

Acte III.

...

(Totalement fragile, complètement irresponsable, on va donner un point aux hommes qui n'ont pas aimé assez longtemps et une vie champi à la warrior. Demain, on se laisse offrir deux vers et hop hop hop... je décide cette fois.)