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« Rions un peu, entre ploucs... | Page d'accueil | J'aimais bien ce garçon réfléchi dans un corps de vieux »

jeudi, 20 septembre 2012

Pour résumer :

* on ne peut plus rien manger sinon on finira comme les rats blindés de tumeurs : http://guide-ogm.greenpeace.fr/guide (j'aimerais bien voir le compte en banque des experts qui remettent en question cette étude, ce monde est à gerber).

Et même en prenant l'éventualité que cette étude n'est pas totalement juste, je doute qu'on nous donne à manger des aliments irréprochables. Ce qui est grave, c'est qu'on n'arrive jamais à accéder à la vérité sur quoi que ce soit. Et après on s'étonne qu'il y ait des conspirationnistes partout, ben moi non.

* on ne peut plus rigoler, tout devient sacré bref j'en ai ras le bol des gens. L'autodérision se fait trop rare.

* le trottoir devient la route des cyclistes et eux je vous jure j'ai envie de prendre un fusil et de les buter un à un (on en concluera également que cette société me rend affreusement violente)

* pareil pour ce connard de Delanöé grâce à qui je me farcis de plus en plus de motards ultra bruyants sous mes fenêtres, sans parler des bagnoles dont le traffic a a augmenté de 15% depuis les réaménagements routiers de merde de notre cher maire.

* et même quand tu décides de faire un petit caddie labelisé OGM, t'en as pour une blinde. Ca fait cher le chemin qui te mène à Villejuif.

* les médias nous vantent le sac de patates, bientôt on plantera le topinambour sur le balcon et ça fera "le bon plan" des magazines et JT de 13H.

* etc.

Ce monde est magnifique.

PS : Explorez le guide de Greenpeace, c'est vraiment instructif, notamment lorsqu'on voit le nombre de petits pots pour bébés à base d'OGM. Bon ben moi j'ai plus qu'à acheter des croquettes hors de prix pour mon chat, mais des croquettes sans merde. Flippant, rien ne change, tout s'aggrave et personne ne fait rien.

Je vous laisse, j'ai un besoin urgent : ouvrir grand les fenêtres et hurler.

Vivre à la montagne ou au Groenland, voilà.

Commentaires

Grave ! Et les cyclistes qui deboulent sans regarder avec leurs poireaux qui dépassent de leurs cagettes en bois ... je peux plus les blairer

Take care Jen ;-

Écrit par : mat | lundi, 24 septembre 2012