samedi, 07 février 2009
A nous deux, Pierre !
Si samedi prochain je ne donne pas de mes nouvelles ici c'est qu'une révolution a éclaté et que le peuple m'a tranché la gorge. Dans ce cas, faites en sorte qu'on ramène mon corps à ma mère. Et pleurez, pleurez, mes enfants. Je vous aimais d'un amour sincère dirait l'autre.
PS : Parce que mes chéris, j'ai une chanson incroyable pour la saint Valentin... Alors je ferai attention, le pouvoir en place pourrait bien en vouloir à ma peau. En sachant qu'hier je me suis réveillée avec la dernière phrase de mon rêve étrangement mémorisée : "A la fin c'est moi qui meurs." Hmmm. (Ne le dites à personne mais le but de mon voyage est de virer les petits orphelins de la demeure familiale, je reprends ce qui m'appartient, salauds de pauvres ! oui ils sont partout j'en ai une sainte horreur - Souris ! tu vas rester paralysé, idiot.)
07:15 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ирония судьбы