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samedi, 17 octobre 2009

Mes petits grands bonheurs tout simples comme moi - quand je fais simple

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Mon rosier qui donne une dernière fleur avant l'hiver...
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Bonbons qui piquent, langue nippone et cheveux bleux, Lucile Amour et Rock'n'roll, Benjamin Mathias restez j'ai fait des crêpes...
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La trousse pop flashy qu'on achète au Bon Génie à Lausanne et qu'on découvre dans tous les concept stores de Paris en rentrant de vacances, on ignore et on crâne avec son trèfle à quatre feuilles glissé dedans (tu l'as pas toi)...
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Les conneries du samedi, dénichées au Pop Market rue Bichat, boutique pour les filles comme nous. Mardi soir, je laisserai une serviette sur la table en partant, cases remplies au stylo Bic noir, laisse faire le destin chérie...
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Acheter des oeufs blancs pour se télétransporter à Londres pour le brunch et encore se demander avec une mine défaite de fille qui se sent blonde à tendance gros seins : "Mais pourquoi blancs ?"... (Je vous pose la question : pourquoi sont-ils blancs, bordel ? Et pourquoi nous en France on n'a droit qu'à des oeufs sable rosé pas dépaysants du tout ?!)
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My world. Chacun fait c'qui lui plaît dans le casque, La Rivière sans retour à la télé, les photos empreintes d'une nuit encore parfaite et les sms envoyés qui s'oublient dans un cola mini qui pétille dans le palais.

_ "Et vous êtes rentrés comment ?
_ Dans ma voiture. Ah ! y avait toujours le même air à la radio.

Les gens ont de ces manies...

(Restée pour travailler, déjà coupable...)


olé.jpg(Gigie : Yep, prise avant le coup de ciseaux fatal. Ne plus jamais penser que le ciseaux de la cuisine puissent servir à autre chose qu'à découper le paquet de gagne-pain-dentiste Haribo !)

Tout est là : la colère qui s'en va, l'interrogation, la recherche, le bracelet brésilien qui refait doucement surface, marre des impasses et finalement pas pressée de revoir la passion dévorante, je m'observe, soigne ce qui peut l'être et je fais même des remarques très connes à mes copines, des trucs du genre "Ce matin je me suis réveillée mon rosier sentait bon, j'avais pas de traitement médical à prendre et je me sentais bien, finalement après tu sais, le reste c'est que du bonus, et tant pis pour les emmerdes, elles seront toujours là et presque tant mieux, tu crois pas ?"
Bref, j'aime bien cette fille parce que je ne la connais pas encore vraiment, mais elle me plaît je crois. (Parce que je vous l'ai pas vraiment dit, mais il y a pas mal de changements dans ma vie, et je doutais mais maintenant, je commence à réaliser que mon instinct est définitivement mon meilleur pote. Des nouvelles choses, et beaucoup de gens que j'aime rayés, parce que je me lasse, et que je n'ai pas envie de me voir un jour sur mon lit de mort avec un seul destin autour du lit - accessoirement parce que je n'ai plus envie d'être masochiste au point de dire "Oui, restons amis sans avoir le choix". Quant à ces enfoirés de petits neveux hypocrites qui voudront l'oseille, eux je leur fait la surprise de leur léguer la litière du chat.)


Je suis swing, Modern Guy (ma chanson 2009/2010/2059)
(Un baiser sur la joue de Jean-François Coen, sans qui je n'aurais pas pu vous livrer cette pépite.) Tant qu'on y est -----> écoute :

Pour corser mon gin-fizz
Tu as rajouté un zeste
De larme dans le shaker
Tu y as perdu ta chemise
Et moi j'ai pris une veste
Dans l'armoire de ton coeur.

J'étais ton Roméo
Tu étais ma Juliette
Dans les films les héros
Paraissaient très honnêtes
C'est ça l'amour
On dit qu'il coule toujours.

Vingt-quatre images très floues
par seconde d'amour fou




Et maintenant, pas que pour mon voisin de Buzenval mais pour vous tous,

Chantez comme un zazou avec moi...

podcast

PS : Et Folie, alors ? Elle est où, hein, elle est où Folie ? Nan parce que ça manque quand même...