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jeudi, 04 juin 2009

Combien d'amoureux secrets tu crois qu'on peut avoir sans trop souffrir ?

vendredi 3 octobre 2008

 

Julien, je l'aime pour sa discrétion. Son chic et son calme (apparent), son bébé et sa femme parfaite, quand tu les écoutes sourire, baigner dans leur bonheur bobo rue Jacob, t'as des envies de vieux. Toutefois un peu emmerdant d'avoir les mêmes goûts que sa mère, et puis ce serait dommage de passer après maman, j'ai ma dignité (ah bon ?).

J'ai entendu cette chanson et alors à l'esprit se sont enchaînés Stéphane, le bébé que j'aurais aimé avoir avec lui, Stéphane tout court, le bébé tout court, moi tout court, ma déprime post-déménagement, l'hiver, l'absence d'adresse, le tout à commencer, un peu de tristesse et un grand blanc. Une presque larme et la cloche de l'école qui sonne, sauvée par le gong. J'aimerais bien retrouver Thibault H., ma vie avant l'amour physique, ma vie avant les grandes questions à la con.

J'ai toujours eu un goût prononcé pour les histoires foireuses, je crois que j'aime ça, me faire un peu mal, ça te donne l'impression d'être dans un roman photo haut de gamme. Blague. Un roman de gare. Bof. Un roman, le mien, et c'est déjà pas si mal.

Mes très chères soeurs, mes très chers frères, soyez les bienvenus dans mon église, à trois tapez dans vos mains, à quatre, tous à la mer !

Mail envoyé à 17h38 :

là j'aimerais être à deauville dans ma grande maison normande vue sur mer avec un feu de cheminée mon chien mes potes mon mec du vin des pet' et un pictionnary ouais !

 

(tu as raison, c'est la honte mais j'aime, la honte, et julien, enfin le refrain de cette chanson tout du moins, la mélodie, toujours elle...)