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jeudi, 22 janvier 2009

J'ai mis du rouge pour lui plaire.

Une semaine d'absence et chaque jour des inconnus et des amis qui m'écrivent ou m'appellent pour demander, inquiets, si tout va bien. Oui, tout va bien. Pas de nouvelles, bonne nouvelle. De la réflexion, une mise en retrait pour ne pas se laisser ronger par les mauvaises ondes, des projets professionnels sur lesquels il fallait travailler, des rencontres, des moments qu'on préfère garder pour soi, loin de ceux qui ont tendance à croire qu'ils nous connaissent par coeur. Un peu de Berlin à Paris aussi, des retrouvailles qui ont toujours cette bonne saveur de pain d'épices. Une chouette semaine en silence.

Aujourd'hui, lors d'un shooting, il paraît que j'avais des faux airs de Françoise Dorléac. Canon, Françoise. Les autres peuvent aller se rhabiller, moi avec mes yeux charbonneux et mon air de ne toucher qu'au plus beau, je suis ce qu'on fait de mieux sur la place de Paris. (Les femmes savent définitivement mieux me mettre en confiance devant l'objectif - surtout lorsque je ne porte rien hormis du maquillage et du vernis.)
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Et ça, que j'aime bien... James Yuill, No surprise :

PS : Le titre, c'est la phrase que j'ai écrite sur un carnet après beaucoup trop de verres, je l'avais écrite m'étant rendue compte que très rarement dans ma vie, j'ai dit avoir fait quelque chose "pour Lui plaire". C'est ensuite qu'après avoir cherché en vain un mot du dictionnaire et après avoir inventé un concept d'élévation culturelle sur la cuvette on a entamé une conversation sur tout ce qu'on aurait gâché si l'on était resté en couple avec notre premier amour. Et puis plein d'autres anecdotes fabuleuses sur le monde et les mammifères qui nous entourent mais je vous les raconterai un jour où la neige tombera en abondance sur Koweit City.