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jeudi, 31 août 2006

Souriez, je ne vous filme pas encore le contenu de mes chiottes

Je suis verte dégoûtée écoeurée j'm'en veux les connasses ont raison, je suis vraiiiiiment trop conne: j'ai effacé une de mes cartes mémoires où mes videos et photos de Suisse étaient stockées !!! Putain, je me déteste, j'avais fait des vidéos à la con pour ce blog, mon andalou et des photos genre j'me la pète artiste contemporaine. J'en suis malade.

 

C'est un signe : il ne faut pas que je vive dans le passé. Oui ben à ma place, vous vous consoleriez comme vous pouvez... Pas grave, même pas mal (enfin si un peu quand même), dès que je rentre de province (sauvez-moi, sont tous bizarres ici, ils me regardent comme si j'étais snob, je comprends pas), je me lance dans la vidéo 100 % inutile. J'aurais bien fait un one woman show devant la caméra avec plein de potins à raconter sur tous les anti-héros que nous formons faussement joyeusement dans cette blogosphère française mais j'ai pas envie de vous montrer ma gueule et surtout, si je me lance, je vais me faire que des ennemis - déjà que depuis la Suisse, Cannes et Paris XVIIeme, je n'ai pas que des copines... 

Seule photo restante dans une autre carte qui peut résumer la Suisse... 

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dimanche, 27 août 2006

Seul le ciel est gris aujourd'hui

Oui, je m'étais fait des films. Encore une fois. Demain j'arrête.

 

BAOOOOOOOOOOOOOO... gé-niiiiiiiiiiiaaaaaaaallllllllll, ma poule !

 

J'ai pris un coup de soleil en forme de coeur, véridique. Je vous le montre à mon retour.

 

Pas fait de rêves pourris cette nuit. (Rêves de peau et de mauve...)

 

Bon dimanche ! Cette note était dédicacée à Bao ;)

samedi, 26 août 2006

Les hommes, ca ne fait que fuir

Vous allez me prendre pour une conne de fille mais cela fait seulement une semaine que j'ai quitté le nid douillet de mon andalou et j'ai l'impression que ca fait (je ne sais toujours pas où sont les cédillles) déjà un mois. Plus les jours passent, moins ce gros connard  me donne de ses nouvelles de provincial de merde (c'est petit mais c'est dégueulasse d'essayer de me dominer en me laissant sans son de sa voix ni sms : je suis une amoureuse moderne, moi, merde !), plus j'ai le sentiment que ce que nous avons vécu n''était qu'un doux rêve. La seule et unique fois où je l'ai appelé de Suisse (unique fois, oui, parce ce que vu comme j'ai trouvé le dialogue creux et absurde...), lorsque je lui ai dit que je trouvais que nos deux semaines passées ensemble étaient comme "irréelles", ce con m'a donné une claque - sans le savoir - en me répondant : "tant mieux, je ne veux rien d'autre pour l'instant" et pan, dans la jolie gueule de la bobo !

Parfois, je pense que ce con m'imagine sale connasse qui cherche mari sympathique, marmots et tout le bordel. Ok, c'est vrai, j'ai souvent écrit ici que je recherchais un mari riche mais je déconnais, merde ! Enfin non, je l'aurai un jour, mon mari riche, quand je réaliserai que j'ai 35ans, pas un sou à cause de ce beau métier d'avenir qu'est pigiste sauce Jen et que tous mes amants auront fui au bout de quelques mois à cause de mon foutu caractère (en parlant de ca, faudrait que je vous raconte ma crise d'hystérie alcoolisée à 5h du mat à sa porte avant mon départ pour la Suisse, une vraie furie, Camille Claudel, à côté, c'est Laura Ingalls). En vrai, je ne veux pas me me marier car mon nom est trop précieux et qu'il est hors de question que mon enfant porte le nom d'un con qui ne l'aura ni porté ni désiré. Bon là, j'exagère mais vu comme les hommes ont peur de moi, je crois que mon avenir en tant que mère de famille est mal barré. Déjà parce que materner, ce n'est pas mon truc, je suis trop égoiste (les i trema aussi, j'arrive pas à les trouver) et immature pour ca (quoique, un petit être qui me ressemble, c'est vrai que ce ne serait pas de la tarte mais je suis tellement exceptionnellement relou comme fille qu'un mini moi serait un super challenge à relever : le rendre plus sociable que moi, un vrai défi, je vous jure !) et surtout parce que vu l'exemple de mes parents, je ne suis pas certaine de faire du bon boulot...

Pour en revenir à l'andalou, comment voulez-vous imaginer un seul instant qu'il soit l'éventuel père de votre nain (je  l'avoue, moi qui déteste parler de momes, la pensée m'a traversée l'esprit mais c'est désormais fini, mon coeur n'a pas envie de souffrir avec des histoires de dominé/dominant etc) : l'andalou a déjà deux mioches donc forcément, vous vous dites que ben non, vous n'allez pas partager avec lui les questions qu'on se pose naivement avec tout nouvel amoureux comme "et si on avait des enfants, comment on les appellerait ?": Merde, en vous écrivant ca, je réalise que si, on a déjà imaginé des prénoms, bon ben... ouais mais enfin, vu comme il prend soin de prendre de mes nouvelles depuis mon arrivée en Suisse, c'est comme si rien de tout ca ne s'était passée ! Mais je vous jure, c'est dingue, on dirait que notre histoire, c'est : quand on est ensemble, rien ne peut nous atteindre ; quand on est séparés, on ne s'est jamais connus: Genre, celui qui l'orgeil le plus monstrueusement con gagne, et ici, on gagne donc perd ensemble.

Le pire, dans tout ca, c'est qu'il dirait que je me fais des films mais non, au fond, je pense qu'il sait que ce que je dis n'est pas qu'un amas de conneries imaginées une nouvelle fois par mon cerveau complètement ravagé.

En plus, dans l'un des trois mails que ce connard a pris le temps de m'écrire ici, il me dit qu'on ne se voit pas avant mi-septembre. Je me demande : ai-je envie de revoir celui qui ne m'aime qu'en instants "irréels" ?

Dois-je lui dire que je rêve de lui chaque nuit depuis mon arrivée et que le contenu de mes rêves devient de plus en plus triste ?

Dois-je l'entendre me répéter une nouvelles fois qu'il ne faut pas se dire "je t'aime" ? On se l'est déjà dit et après, c'est vrai, j'ai regretté, j'ai trouvé que ca allait trop vite: trop peur de souffrir.

Et je me demande si son histoire avec la mère de ses nains n'est pas encore trop fraîche, pourquoi dois-je éponger ce qu'il n'a plus aimé chez Elle ? Si ca se trouve,  je ne suis qu'un substitut. Je ne sais pas... mais pour que je me pose autant de questions depuis quelques jours, c'est qu'il désire quelque part me faire douter. Sinon il m'aurait ou appelée ou mailée plus que deux fois. non ?

 J'ai le coeur lourd et j'aime pas ca. Voilà pourquoi je ne voulais pas retomber amoureuse, ca fait mal.

Les garcons sont trop méchants !!!

 

Note d'une ado de 14 ans. Note pour toi. SOS bobo gros chagrin ! T'es trop nul. Et les autres aussi, hein, pourquoi vous nous faites toujours pleurer, merde !?!

 

jeudi, 24 août 2006

Ici, je garde tout sauf le masque

Finalement, nous sommes trop bien... nous restons au Mont Cervin encore quelques jours. Que du bonheur. Air pur (à 2200 m, je peux vous dire qu'une course avec le chien, en grimpant une putain de colline le tout en souriant, ca peut vite devenir une épreuve), spa le soir, balades dans le village bref j'adore Zermatt en ***** !

En ce moment, je suis avec vous, deuxième coupe à ma droite, le pianiste derrière moi qui joue La Mer pour mon père, le barman derrière à droite qui a la classe internationale - comme dirait mon ex l'andalou :p - et mon chien à mes pieds, le golden retriever qui colle le mieux à la palace life : mes parents sont comme moi, les clichés, c'est notre dada ! Et on adore enculer les mouches aussi, encore plus jeter le peu de liquide séminal restant sur la gueule des merdasses qui continuent à me lire sachant qu'ils n'y trouveront que de la haine pour moi.

 Les vacances ici, ca aide à y voir plus clair parfois... oubliez la plage et ses moules-burnes, venez plutôt voir les moules-mollets barbus et à pipes, ca fait du bien, si si...

 

 

mardi, 22 août 2006

Encore et toujours, la Suisse !

Me revoilà donc ici, en Suisse, pour passer le reste du mois d'aout avec mes parents (je vous previens, depuis l'an passe, je ne maitrise toujours pas ce clavier - oui, je sais, c'est nous les Francais qui sommes en retard - donc ne vous etonnez pas des fautes de frappe et des manques d'accent).

 

Me revoilà au BBLounge.

Demain, je pars à Zermatt, finalement je dormirai au Mont Cervin. Et pour une fois, ma mere nous accompagne mon pere et moi, snif. Non, je deconne, ca m'evitera les couplets sur mon alcoolisme (j'y ai deja eu droit samedi soir... alors que je m'enfilais tranquillement ma 5eme coupe) et autre lecons de vie sur ma boulimie anorexie caractere de merde etc.

 Bon mais sinon, tout va bien : je suis crevee et je dors beaucoup (4 personnes m'ont dit en 2 jours que j'etais etrangement palotte, me font peur ces cons, ne savent-ils pas que j'ai peur de mourir d'un cancer doublé d'une mst ? Penser d'ailleurs a faire un test à la rentrée, histoire d'etre certaine que non, je ne vais pas maudir tous les connards avec qui j'ai pu baiser - en meme temps, ce sont tous des connards !).

Pas trop de bruits de tondeuse, pas de stress, je mange moyennement  correctement mais vu le debit de chiasse que j'ai depuis mon arrivée (meme sous taz, ma merde n'etait pas aussi liquide !) je ne crains pas trop le bouton de jean qui refuse de se fermer, je me suis juste légèrement engueulée avec une connasse de suisse qu look toujours aussi lesbien - désespérant comme elles manquent de féminité - et un connard parce que mon chien faisait caca dans le parc de son hotel fermé : mon chien chie oÙ il veut !!! mon chien et moi, on marque nos territoires oÙ on le desire, non mais pour qui nous avait-il pris ? Des touristes dociles ? Pire, des Suisses ?!!

Et surtout, j'essaie de faire le vide dans ma tete : penser à moi, me détendre. Mais le soir, dans mon lit, difficile de ne pas fourrer mon nez dans cette écharpe parfumée "Andalou"... Ca fait bizarre de passer l'été ici, le coeur tout juste piqué : en aout dernier, je me plaignais de ne pas avoir un homme à qui penser, auquel je donne toute mon innocence et meme le reste ; cette année, je flotte un peu, je suis celle qui essaie d'oublier deux semaines passees en mode "couple lunaire", je suis celle qui essaie d'oublier qu'elle est prete à changer sa direction, je suis celle qui essaie de se convaincre qu'aimer n'est pas forcéemet rupture, larmes, et trous dans le coeur : je suis amoureuse et je me dis juste que je ne veux pas gacher tout ca, je veux garder cette confiance, cette odeur, cet équilibre encore un moment (si vous aussi, vous n'arretez pas de voir des etoiles filantes dans le ciel, faites un voeu pour moi, je veux le garder encore un peu celui-là).

 Sur ce, j'ai envie de chocolat...

NB : AUX POTES, désolée de ne pas repondre à vos mails, je prends un peu le temps d'oublier Paris... mais je ne vous oublie pas, je viendrai vous ecrire quand vous commencerez à me manquer je m'ennuierai ferme !

 

jeudi, 17 août 2006

En septembre, j'enlève le serre-tête !...

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Je viens de me réveiller, je suis pleine de bonnes résolutions ! A la rentrée, c'est décidé, je me remets dans le bain de la vraie vie : sérieusement, faut pas déconner, je viens de regarder mes archives, à part l'andalou et le taff, je ne fous plus rien, c'est gra-ve. Alors après mon petit séjour en Suisse, où je compte bien recharger mes batteries et vider mes poumons, dès septembre, Jen is back in real life, celle des conneries, du grand n'importe quoi bref du bon souffle de pétasse, bordel de Dieu !

En vrac, voici ce que j'ai envie pour cette rentrée 2006 :

 * Logique pour une fille : régime.

 * Logique pour une connasse : recette magique pour maigrir sans souffrir, bien au contraire... nez qui coule juste dans ma tête à plein tube !!!

 * Reprendre mes cours d'quagym (depuis le temps que je vous fais croire que j'y retourne régulièrement...)

 * Nuits blanches non plus seulement pour bosser mais aussi pour danser comme une pétasse qui s'y croit dans les quatre coins du triangle d'or de Paris. Me déhancher plus souvent à la Favela Chic, ça me manque. 

 * Arrêter de fumer (bon, pour cette envie, elle durera le temps de l'effet "la montagne, ça vous gagne" soit deux semaines à tout péter mais j'essaie d'y croire un peu)

 * Regonfler ce putain de pneu avant de mon vélo et rejouer la bobo le dimanche en robe fleurie et sourire de gauche caviar affirmée

 * Jeter des trucs, sais pas encore quoi mais des trucs, fourrés ci et là dans mon appart'.

 * En fait, arrêter de fumer pour de bon. Surtout qu'avec cette pilule de merde... (dites, le stérilet, c'est aussi barbare en vrai que sur le papier ?)

 * Faire la tournée des spécialistes : gynéco, dentiste, dealer, pédicure, dermato et Eric. 

 *  Oublier que je ne pourrai plus échanger salive et liquides blanchâtres autant qu'aujourd'hui en récupérant Sainte Rita au fin fond de ma cachette secrète, soit mon lunch bag Winnie the Pooh. Ou alors j'oublie que je suis amoureuse (un hypnotiseur ?) en l'oubliant... Mais non, Jen, rappelle-toi, il t'a dit que la distance fait du bien à votre couple. Ah bah oui, bon bah s'il le dit, alors je ferais comme si je n'avais pas envie de baiser, comme si j'étais hermaphrodite, asexuée bref comme si j'étais Sophie. Putain... (MEmo : lunch bag lui-même caché dans le cagibi.)

 * Et enfin, mais surtout, enfin un peu (beaucoup quand même mais je préfère faire genre "je travaille jamais, pas besoin"), bos-ser. Qu'elle me saoûle cette dernière envie... Ma seule et unique motivation : voir mon nom sur un beau chèque. Je veux de l'argent pour m'acheter de la vie en rose !

 

NB : Toi, l'heureux milliardaire en quête d'une pouffe slave pour t'accompagner gros seins et sourire de circonstance en soirée, I'M HERE ! Comme une pute moldave, ça te coûtera cher mais l'honneur sera sain et sauf pour nous deux : toi t'auras la jolie poupée de Bernardos Menezos (andalou, sors de ma tête !) et moi les billets pour claquer mes chagrins dans des chaussures. Sache-le, je serai à Gstaad jusqu'au 31 août et du 25 au 28 au Zermatterhof en bas à droite du Cervin, j'aurai un air hautain et un chien blanc et baveux à mes pieds. Dépêche-toi, je veux pouvoir emmener mon andalou à Hydra avant qu'il me largue ! 

Bande son de fin : Un parapluie pour deux, Katerine. A 1,31min, je suis toujours aussi émue, quelle idiote !

 

mercredi, 16 août 2006

C'est son côté pas Pete Doherty qui m'a séduite

Ne plus engloutir ces putains de samoussas au porc périmé et au curry qui donne la chiasse.

C'est un fait, je suis obsédée par mon andalou : trois jours consécutifs que je rêve de lui ! Après avoir rêvé de lui en Suisse, avec un sapin immense sur la voiture, cette nuit, je l'ai rêvé chanteur de rock. Mes yeux le regardaient un peu comme à travers l'oeil d'une caméra, genre reportage trashy rock so hype Tracks Dazed&Confused so glam genre c'était LE mec. C'était 24 Hour Party People sauce Jen et son andalou.

J'entends de l'appart un son noisy bien foutu, ça m'intrigue, je sors dans la rue, me laisse entraîner dans une salle ressemblant au Lucernaire mais en plus dégueu style et là, je le vois, putain mon andalou est le nouveau Pete Doherty !!! Comme je suis trop fière, putain, l'autre Gwyneth peut aller se rhabiller avec son blondinet dégoulinant de végétalisme greenpeacien, quant à Kate, dégage vieille peau, ton bébé accro au crack est une merde : j'ai le seul et unique génie rock beau dandy mince racé de la planète et il est devant moi, à moi et rien qu'à moi, bande de blondes !

Mais rien n'est jamais tout rose avec moi... Son manager arrive (c'est qui ce con, pourquoi je ne le connaissais pas ?) et prend son air de faux Eudeline charmant péteux et me balance : "T'as pensé à la tournée ?"

Quoi, gros connard péteux pourri aux chicots cramés et à la barbe rappelant tes poils de culs qui puent ??? Quoi, qu'est-ce que tu veux me faire comprendre, sale coooooooonnard ?!!

 

Un ange passe. Je ne lui réponds rien. Je détourne la tête. Et là, gros plan sur mon profil gauche, oeil d'un bleu plus clair qu'en vrai, grosse et chaude larme dégoulinant soudainement sur ma joue. (Bon, c'est paradoxal mais là, je suis blonde et limite je suis un peu beaucoup Scarlett Johansson dans Lost in Translation). Une copine apparaît à mes côtés mais j'ignore ses mots de consolation. Le manager a raison : cette tournée va nous séparer. Et moi, à ce moment là, je me vois transbahuter de ville en ville avec lui, le groupe, la cantoche, le bus et ses tous ses bons souvenirs qu'on se fabriquera. 

Et je me réveille. Le bras droit anesthésié. J'ai cru qu'il était cassé tellement j'ai eu l'impression qu'il était tordu.

 

CONCLUSION :

* Ne plus se coucher à 5h30 du mat' après avoir bossé sur des piges Déco en regardant son mec derrière l'ordi, casque à l'oreille achetant tout ce qu'il peut de bon sur iTunes.

* Ne plus dormir sur le côté droit. 

* Ne plus passer sa nuit blanche à bosser en province en se demandant pourquoi il n'y a pas de dealers de coke dans cette foutue rue où les scooters passent en vous polluant les oreilles.

* Ne plus se demander pourquoi je dois partir demain alors que j'ai envie de tout sauf ça.

* Ne plus manger de porc au curry, ça me donne la chiasse au réveil. Et c'est presque aussi appétissant que les figues de mon andalou...

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lundi, 14 août 2006

Boulot = cystite

Quelqu'un ne voudrait-il pas demander à mon vagin d'arrêter de bouder ? Encore une fois, j'ai passé la nuit à boire des litres d'eau, à gober tous les Aspirines et Advils possibles... Cystite en force ! RAS LE BOL. Je comprends pas, j'ai beau faires des tests d'analyses, rien, aucunes bactéries, rien. Alors je somatise, c'est tout. Comme dirait la gynéco, je suis une angoissée. Mais là, merde, tout va bien. Alors je crois que la seule chose qui ait pu me tracasser, c'est qu'il me faut bosser aujourd'hui sérieusement, des piges à finaliser et à rendre. Et ensuite, je serai peinarde tranquille. Ouais, ça doit être à cause de ça : savoir qu'il faut que je travaille alors que je n'ai qu'une envie depuis que je suis chez mon andalou : buller. Merde, ça fait du bien aussi... Je suis trop bien chez lui, ça me rend beaucoup trop feignasse (oui, je le suis déjà mais là, j'atteins mes records) ; comme il le disait si bien hier : "Etre amoureux, ça donne tout le temps sommeil". (Nous, on a tout le temps envie de glander dans les bras l'un de l'autre, que du bonheur.)

Bon aujourd'hui, je me ressaisis : je vais prendre mon courage à deux mains, mettre un soutif, partir acheter un croissant (pas de réflexion, c'est les vacances, merci), Voici (pas de réflexion, je suis accro aux people du lundi), un clope, un jus d'orange et au boulot. De toutes manières, j'ai pas trop le choix... Faut que je rejoigne mes parents en Suisse avant jeudi dernier délai et là-bas, pas d'ordi à disponibilité donc faut que je finisse tout mon taff avant. Fait chier, de bosser... Partisans du moindre effort, taisez-vous, je suis à deux doigts de replonger ! 

Et petit message perso à Frogita : ne rigole pas trop, ça pourrait te rendre encore plus mauvaise (je me méfie avec toi, garce adorée...) 

dimanche, 13 août 2006

"Nos blogs nous sépareront"

Trop de vin dans le sang. Je m'offre à mon clone, c'est un connard. C'est trop aérien, bon et beau, faut qu'on foute ça en l'air, c'est plus fort que nous. Ce gros connard me dit que nos  blogs nous sépareront. Je vois pas... S'il dit que la mère de ses enfants est la femme de sa vie, s'il dit qu'il n'aimera personne autant que ses filles, s'il dit que personne ne comptera autant que la mère de ses enfants et ses fillles... et alors ? Ouais, je sais, je suis arrivée 10 après. Et alors, gros con ? Me fait chier, lui !

 

Ma mère est b!en arrivée "trop" tard etellel est toujours aux côtés de mon père. Et même si on ne finit pas ensemble (et il y a de fortes chances, faut pas déconnner, on ne rencontre pas L'Homme de sa vie à 26 ans, ce serait has been), alors quoi ? Ca veut dire qu'on ne peut pas raconter nos coeurs, ses vérités, ses émois, sa vie ? Me fait chier, ce con.

 

La prochaine fois qu'on s'engueule avec autant de causes absurdes, je fous le camps pour de bon. C'est ce qu'on cherche pour de bon, presque'inconsciemmment tous les deux. Je vous dis, le bonheur, ça,me fait peur et je préfère boycotter ses imposteurs. Génial : je suis tombée sur mon clone ! 


podcast
Je l'emmerde, il dort... j'ai décidé de ne plus pleurer pour un homme qui sait m'aimer : faites qu'il soit assez malin pour m'aimer sans rendre cette histoire aussi sordide qu'une histoire racontée à des blogeurs...

vendredi, 11 août 2006

Sur le pont des Arts, c'est bien aussi

Je n'aurais pas dû écouter Claire Diterzi...

 
podcast

Maintenant je regrette d'avoir mon égoïste romantique en morceaux dans mon frigo.

J'aurais plutôt dû me couper les oreilles en même temps que son coeur en tranches à dorer.

Si je recolle les restes avec de la glue, pensez-vous que je puisse récupérer un semblant d'homme à aimer ? Laissez-moi espérer, j'ai des regrets...