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mardi, 05 mai 2009

Les hommes simulent ?* Et Angela Merkel en soutif sous tes fenêtres ?

petit_cul.jpg

Mon ami l'homme, simules-tu réellement de temps à autre lorsqu'au lit avec ta compagne tu n'arrives pas à aller au bout du désir qui te fait face ? Comment cela est-il possible ? Concrètement, un homme qui simule,ça signifie qu'il fait comme nous, pousse des petits cris et murmures, miaule et rugit dans le but de contenter l'autre et de vite en finir ? Et quand tu simules, tu fais aussi croire à la fille que tu es "venu" ? Mais à cet instant, tu ne te trouves pas un peu bêbête ?
Mon ami, réponds, je suis une enfant de cinq ans qui demande c'est quoi cette bouteille de lait.

Les hommes simulent-ils parfois ? Vocalement ou plus ?

Les hommes simulent au lit et Henry Mancini chantait Love is a many splendoured thing avec tant de bonté dans la voix... Se faire rouler dans la farine avant même de l'avoir goûtée... Dieu comme c'est triste.


*c'est trop demander, une démonstration vidéo ?

 

 

Rien à voir, quoique... Angela Merkel en soutif pour la campagne d'une marque de lingerie, affichée sur un panneau de 100 mètres carrés sur le Kurfürstendamm à Berlin, dès le matin ça peut irriter la rétine.

angela_merkel.jpg

Dure la vie, mou le polichinelle

Commentaires

Je confirme, les hommes simulent : ils font des ha et des ho, et à la fin, la capote est vide.

(Vide de sens aussi).

Écrit par : Alexiane | mardi, 05 mai 2009

Mais c'est terrible, il faut faire quelque chose, j'organise une réunion ministérielle d'ici ce soir.
J'ai besoin qu'un homme me décrive étape par étape sa simulation, ça me bouleverse tout ça.

Écrit par : Jen | mardi, 05 mai 2009

Vrai on simule mais ça arrive de manière anecdotique (C'est plus facile quand c'est la 5e fois, avec l'épuisement naturel des preuves et le mélange des fluides, mais au bout de 5 fois on peut considérer qu'on a été assez poli)
Et puis tu fais le con, tu contractes, tu serres les dents
Au bout d'une heure, parfois, oh ! faut en finir

Écrit par : A. | mardi, 05 mai 2009

J'aime bien ce petit commentaire anonyme, bah alors, vous avez honte ?! ;)
Se dédouaner parce que c'est la 5ème fois, je veux bien mais encore, quand tu couches 5 fois avec la même personne la même nuit, on arrive à un stade où on rigole et on dit "j'en peux plus là !" et pas besoin de simuler.
Mais sinon, tu fais donc croire que tu as expulsé ta semance ?!

Écrit par : Jen | mardi, 05 mai 2009

Inversement, répandre sa semence n'équivaut pas forcément à jouir.

-

Les hommes qui simulent, les hommes qui se maquillent. Les putain de phyto-oestrogènes dont on nous bourre la bouffe.

Sa mère.

Écrit par : Vermine | mardi, 05 mai 2009

Sinon, j'ose pour une fois espérer qu'ils n'iront pas beaucoup plus loin dans la transparence politique. Danke.

Écrit par : Vermine | mardi, 05 mai 2009

oh oui
et de plus en plus souvent ..

Écrit par : HM | mardi, 05 mai 2009

Je n'ai pas honte vous exagérez.
Comme le dit Vermine répandre n'équivaut pas à jouir, et ce qui est visible chez nous n'est pas à 100% révélateur de ce que l'on ressent, loin de là.

Et on peut ressentir beaucoup avant de jouir - longtemps, et ce n'est pas forcément traduit dans le reliquat (sur vos hanches, à l'intérieur de vos cuisses). Et inversement.

Écrit par : A. | mercredi, 06 mai 2009

Bon sang, Jen, mais tu n'as pas lu "Le tantrisme pour les nuls" qui t'explique que l'éjaculation et la jouissance sont deux phénomènes bien distincts ?

(si bourrins les mâles, si mules les hommes...)

Écrit par : secondflore | mercredi, 06 mai 2009

J'en suis encore au stade où je me regarde l'entre-cuisses avec un miroir en rougissant.

Rien à voir mais je reviens de Rungis, je fleuris mon balcon, c'est magnifique, gloire au Rhododendron !

Écrit par : Jen | mercredi, 06 mai 2009

Rien à voir non plus, ou plutôt tout:

St Vincent - Paris is burning
http://www.youtube.com/watch?v=V-24m-KRkn

Écrit par : Vermine | mercredi, 06 mai 2009

Marry me, Marry me ! (la chanson, hein, st Vincent)

Écrit par : Jen | mercredi, 06 mai 2009

Just Be My Friend... (la chanson, hein, Darkel)

http://www.youtube.com/watch?v=KB89PDraap0

Écrit par : Vermine | mercredi, 06 mai 2009

Darkel me sort par les yeux, je dis No more Versailles.
Ecoute avec moi Sleep on the roof de Memory Cassette, les fleurs sur le balcon, les garçons jolis, coup de foudre à 10h entre le bel homme brun à vélo et moi près de Nation, place au flou tête en l'air, Memory Cassette et puis peut-être l'amour au coin de nulle part (je devrais me mettre au jardinage, ça me réussit les plantes)

Écrit par : Jen | mercredi, 06 mai 2009

Versailles, vivier des musiciens au charisme d'huîtres.
Darkel est différent, c'en est le roi. Cette chanson surtout, le reste de l'album me saoule, Some Men, et Brave peut-être à la rigueur.
Idem pour Memory Cassette, c'est pas mal, mais autant se balader sur le roster d'Italians do it better, avec Glass Candy ou Chromatics.

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Sleep on the roof... Je préfère ce que m'évoque le titre que la chanson en elle-même.
La nuit d'Aout, la Turquie, la voûte céleste balayée de tout nuage, les cartographies scintillantes, l'hyper-conscience de l'hyper-espace, l'oreiller-trou noir, l'ardoise encore chaude, endotherme plus que réfractaire, ta paume de main devenant moite dans celle d'une moitié, le silence qui en dit long, ou Cocteau Twins pour te plonger dans ce que tu regardes.

Cocteau Twins - Five Ten Fiftyfold
http://www.youtube.com/watch?v=k5TtvaD_YL4

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J'ai donné dans le jardinhash. Ca m'a moyennement réussi.

Écrit par : Vermine | mercredi, 06 mai 2009

Je parle de vrais jardins, et le mien deviendra bientôt extraordinaire lui aussi. Je ne fume plus de susbtances illicites depuis l'automne, ça ne m'intéresse plus, maintenant j'essaie - difficilement - de maîtriser mon alcoolisme notoire -, j'ai de plus en plus envie de garder le contrôle, c'est signe de quoi, toi grand pyscho-nutri-graphiste ? ;)

Écrit par : Jen | mercredi, 06 mai 2009

Je finis de déjeuner, je te réponds à la digestion.
Avocat+bacon+basilic, saumon+aneth, yaourt+pomme+canelle. Pour les curieux.

Écrit par : Vermine | mercredi, 06 mai 2009

Burp. Pardon.

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Signe que ton inconscient n'a aucune envie de se faire remonter les bretelles par Tony Montana dans sa baignoire géante.

Signe que tu commences à voir à neuf-douze mois alors qu'hier ce n'était qu'au lendemain. Et comme l'alcool tend à rendre la vision floue-> CQFD.

Signe que tu as envie de passer la seconde, voire la cinquième sans passer par le point mort, au risque de patiner.
Et c'est la je crois le point le plus important. Au delà de tes envies/besoins? de gosse, je pense que tu as surtout envie d'accomplir quelque chose doté d'une réelle envergure.
Ecrire vraisemblablement, mais plus que des articles prostitués, disséminés, plus qu'un blog, si délicieusement fameux soit-il.

En fait tu réponds parfaitement à un concept/pathologie que j'appelle être "préloigné". Ou être à 9.
Brièvement (relativement à la relecture...), car j'aurais des pages à noircir à ce sujet, être préloigné cela ressemble à ça:

Il y a des gens dans des barques, sur un immense fleuve. Certains sont en plein milieu et ne voient pas les rives. D'autres, par contre, s'en rapprochent et aperçoivent vaguement un but, une butée plutôt, à leur horizon. Certains enfin, sont juste aux abords des berges, peuvent admirer les merveilles que recèle la terre ferme, mais ne sont tout de même pas assez proches pour finalement accoster.

Ceux qui sont au milieu se foutent éperduement de la terre, ils ne savent peut-être même pas qu'elle existe ou seulement en rêve dans les livres et les histoires qu'on leur raconte: ce sont les imbéciles heureux, les innocents aux mains pleines de médiocrité.

A l'inverse, ceux près des quais, les préloignés, sont constamment torturés. Ils ont la capacité de se rendre compte de ce que pourrait être leur vie s'ils parvenaient à se hisser à quai, mais ne trouvent pas les forces, courants, opportunités, stratagèmes, détermination, volonté, nécessaires pour y parvenir.

C'est le supplice de Tantale moderne.
Le syndrome du wannabe triste, conscient (ou vaguement conscient mais ayant tout de même l'intuition) de cette fatalité. L'éternel sensation de ne pas se trouver à la bonne place, trop groovy pour danser dans la fosse mais pas assez pour se produire sur scène. Où danser donc, sous les planches?

Je précise que cette dernière ligne s'adresse surtout à moi, le cul entre deux chaises, postant des sous entrées de blog en commentaires par exemple.

Tu n'es pas une wannabe non plus, tu es parvenu à quelque chose d'honorable, mais le concept tient toujours car tu es je pense assez lucide pour te rendre compte que tu pourrais accéder à autre chose.

Peut-être parfois l'aigre sensation de se voir telle une borgne chez les aveugles. Tu sais à quoi (ce que j'imagine de) ta situation et ses probables mécaniques cachées me font penser? A une image bucolique.
Tu es avec les autres enfants, mais aussi seule d'une certaine manière, dans un verger et joues avec eux, au même jeu qui est d'attraper les fruits des arbres. Sauf que toi tu sautes un peu plus haut. Trouves les fruits intéressants, aux formes bizarres, fait des ponts inattendus de ton corps entre les branches d'espèces variées.
Mais tu n'en restes pas moins dans le verger à jouer au même jeu que les autres.

Peut-être as-tu maintenant fait le tour du jardin et commence à te prendre l'envie de créer des espèces d'arbre, de les planter et de voir leur évolution, l'effet que cela aura quand ils formeront une forêt, la satisfaction d'avoir généré des entités aux racines profondes mais aussi aux ramifications se dirigeant vers le ciel, le tout potentiellement pluricentenaire, tels des séquoïas. Un délire d'immortel.

Je ne sais pas si je suis très clair ou même pertinent. C'est peut-être pour ça que j'ai voulu attendre de digérer pour écrire, j'ai au moins l'excuse de ne pas avoir 100% de mon sang irriguant mon cerveau.

Écrit par : Vermine | mercredi, 06 mai 2009

Interesante, no va a continuar con este artнculo?
Gracias

Miato

Écrit par : Miato | samedi, 29 mai 2010