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mercredi, 20 avril 2011

Faites-en ce que vous voulez (PETITE PLAYLIST DÉBUT 2011) ("envie de me polariser")

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1991, (PLEASE) DON'T BLAME MEXICO

(en entendant cette chanson la première fois, je me suis dit qu'elle lui plairait, je lui ai pas envoyée, fait chier d'envoyer des mails musicaux quand on n'est pas sûr d'atteindre la cible; je perds en confiance avec la trentaine, qu'en sera-t-il des autres décennies ?)

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Jeremy, MONTGOMERY

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Walking into me, OH NO OH MY

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Quand nous étions à Séville, le samedi, c'était le dernier jour de notre périple en Andalousie (5 jours). Tout fut parfait, la nuit torride à Cordoue où la Mezquita a transpiré sur nos corps et notre inspiration (une chanson signée nous en souvenir), Grenade, puis Séville. On vivait sur un nuage si beau que j'ai fait ma dramaturge, dispute, longue. Retrouver Paris : extrême violence, comme se réveiller d'un rêve où le monde est plus beau qu'il ne l'est. Nous avons finalement repoussé le retour. Alors ces bocadillos et cette accumulation de vino tinto dans ce bar de quartier que nous affectionnions tant a été le cadre de l'un des meilleurs souvenirs amoureux en cinq mois. Et dans ce bar, passait au moment où, en colère et passionnément amoureux nous disputions la date du retour, cette voix française, mélancolique... Je l'avais reconnue, mais il aura fallu demander au patron le nom de cette chanteuse, loin est Cannes... J'aime pas, mais dans ce cadre précisément, j'adorai.

Rien ne presse, BARBARA CARLOTTI

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Walker, CASCADEUR

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 Désorbitée, EXOTICA

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Le week-end dernier, j'ai publié un post. Sur une anecdote liée à mes débuts non prometteurs de comédienne de lycée. Le lendemain, mon mec me disait au téléphone que ce texte était désabusé, je lui ai répondu que s'il le sentait ainsi c'était peut-être qu'il peinait à faire l'autopsie, l'analyse froide et objective de son passé. Moi, je me sentais pas mal d'avoir écrit ce post à la con partant d'un sketch d'Alex Lutz. J'ai pourtant retiré le billet après avoir raccroché. Cette nuit, je le republie, parce que c'est moi, après tout, juste moi.

Commentaires

KILROY WAS HERE

Écrit par : RoyRubens | mercredi, 20 avril 2011

C'est marrant, la première fois que j'ai entendu B.Carlotti c'était aussi à l'étranger et ça m'a fait ce même effet de "j'aurais pas aimé ailleurs"...
J'aime tes billets texte + musique!

Écrit par : marie | jeudi, 21 avril 2011

Mad Roy.

Marie :Marrant que cette nana passe autant à l'étranger, j'aurais pas misé dessus ! Tant mieux si tu aimes texte-musique, c'est souvent ce que je préfère faire ici.

Écrit par : Jen | jeudi, 21 avril 2011