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dimanche, 06 avril 2008

Pour une grimace et un rictus

Paraît que je deviens une femme, doucement, paraît que c’est joli

Deux semaines quand ton ventre est une pile rechargeable ça donne du fil à retordre à celui qui prend la défense de l’absent, où est l’absent qui n’a pas tort d’ailleurs ?
Trois nouvelles dans une semaine à retardement, trois nouvelles déstabilisantes, trois anti-héros, trois vies et Maupassant continue de faire des bulles de savoir-vivre quelque part plus loin
Plus de fumée, du bois qui craque la nuit, trois fenêtres ouvertes et des bougies qui s’éteignent au fur et à mesure que les rêves s’accouplent à la nuit, possible que tout ne soit qu’un morceau de réalité endormi à l’ombre d’un building d’ambitions de petit garcon frustré
De mon côté le petit garcon a laissé deux trois révélations contradictoires
J’ai brûlé mon pouce et mon index sur la flamme d’une bougie poussiéreuse, un air sombre une seconde et la vérité n’est plus ailleurs, je vois mais ne suis pas certaine de sentir de la bonne oreille, ou le contraire je ne sais pas trop alors je laisse quelques chemins inaccessibles, des culs de talc à la place du coeur, des morceaux de building à monter soi-même, la vie en kit, le flair froid la gorge réchauffée à minuit par quelques gouttes de vitriol, des pergolas sur mon ciel éventré, je t’aime je ne t’attends plus je ne t’aime ni ne t’ignore, donne-moi la main, un jour, juste pour voir ce que ça fait… encore.


podcast
 

mardi, 01 avril 2008

And i'm feeling good

Le thé fume à ma gauche, le casque me transporte sur une grande avenue encore vide sur laquelle le soleil se joint à l'avenir du col blanc terne et de Jen la fille pas trop entière juste parfaite et indifférence ultime, il y aurait une foule de cons que je me sentirais aussi paisible et certaine de mes pas, je sécrète des endorphines sans sport ni baise, la journée la semaine que dis-je soyons folles le mois entier sera aussi bon qu'une paire de couilles qui me claque le cul pendant que je libère les shakras du plaisir, le 1er avril annonce une blague éternelle : Nina, je t'aime ! Printemps je t'aime !

(Nina et Gabriel, Colette et Joseph, charmants mes petits, je vous aime aussi, j'aime tout autant le père et les amants !)

Je m'étire, le Doliprane a vaincu l'estomac, je suis prête : let's play together !