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jeudi, 05 mars 2009

Chambourcy, oh oui !

Je m'autocongratule de rapatrier les romantiques noyés dans le spleen qui arrivent ici en tapant "ma vie est trouble sans toi" sur Google.

C'est tout ce que j'avais à dire.

 

Etre une femme libérée, tu sais c'est pas si facile

Ce matin, je trouvais les hommes (les beaux, les moches, les vieux) hyper attentifs à mon passage. Bon, je me suis dit que je devais pas avoir tant que ça la marque des draps sur la gueule finalement. J'étais en robe, ok. Mais je suis toujours en robe. Enfin je trouvais quand même étonnant que tous se soient mis d'accord pour que je sois aussi bonnasse ce matin mais bon, j'ai pas cherché midi à quatorze heures.

En rentrant chez moi, je passe par le couloir d'entrée de mon immeuble, couvert d'un miroir.

OK.

La grande classe.

J'avais toute la fesse droite à l'air. Collant noir mais fesse et cuisse droites à l'air. Quarantes minutes environ ainsi accoutrée quand même. Merci les hommes. Merci les nanas de ne rien dire; super la solidarité féminine !

 

Le ridicule ne tue pas, le ridicule ne tue pas, le ridicule ne tue pas...

 

Moralité : Toujours être assez réveillée avant de sortir le matin sous peine d'oublier que ton putain de sac est l'ennemi de ta robe.

Amis à couilles, tu l'ignores certainement alors je t'explique : quand on est en jupe (ou robe) et qu'on porte un sac à l'épaule qui tombe au niveau des cuisses, ça a tendance à tellement retomber/frotter sur ladite jupe qu'il l'accroche et la remonte. Bref, quand tu vois une fille sans cesse retoucher sa jupe dans la rue, tu remarqueras qu'elle a neuf fois sur dix un sac à épaule.

Un monde parallèle, oui. Une jungle.


podcast

J'ai la honte, CARABINE

 

mardi, 03 mars 2009

Angus and Julia Stone - Mango Tree

Les journées sont belles, ma mère me dit d'en profiter parce que la pluie va revenir gâcher ce début de faux printemps. On s'en fout, non ? Moi ce que je vois c'est l'ardoise réchauffée, les hommes souriants avenue Ledru Rollin à huit heures du matin et l'aimabilité du libraire et du serveur quand je leur pose des questions idiotes au saut du réveil.

Rencontre amoureuse avec Angus & Julia Stone; le clip de Mango tree colle parfaitement au temps, et au reste. J'espère que vous apprécierez autant que moi ce sucre d'orge...1, 2 3, coton !

lundi, 02 mars 2009

Je devrais peut-être épouser un créateur homosexuel

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Le shopping, quel beau loisir !

Je grignote comme un lapin mais je rentre encore dans les tailles 1 et 38, je grignote mais je ne fume plus je ne bois plus je ne prends plus rien qui me fait aller aux vécés dix fois par soirée, je grignote je cuisine une tarte aux pommes à 23h le dimanche mais je fais des pompes et je pense de moins en moins à eux, je grignote mais je vais arrêter très vite pour tenter la taille 36 en juillet, je grignote mais j'apprends à être heureuse toute seule, sans souvenirs ni "peut-être" - même si je continuerai d'écrire peut-être souvent et à tous les temps, il me plaît cet empêcheur de marcher droit.

Entre 100 000 euros de fringues à choisir une nuit au Bon Marché et n'importe lequel de mes ex, je choisis les portants.

Il faut savoir partir avant de les détester.

Il faut savoir dire "Tu me manques" et ces autres phrases pour fille avant de se faire haïr par l'une d'entre elles.

Il faut savoir tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de dire entre deux gorgées de vin que vous étiez, que vous êtes peut-être la "bonne". Il faut savoir dire oui ou non, il faut savoir lire dans mes yeux et mes silences, il fallait pas me faire autant de peine.

J'aime de plus en plus mon appartement, je m'y sens bien. Mes voisins retraités me touchent quand ils font l'amour pendant que je travaille, les cris de bambi de la femme sonnent comme un amour adolescent.



The So So Glos, My block

podcast



Smiley's Speakeasy, Who needs love

podcast



School of Seven Bells, Half asleep

podcast

(Vermine a refusé que je publie sa "pochette" Cover Game, moi-même je n'y tenais plus mais si les autres sont déçus que je ne montre pas au peuple de France leurs oeuvres, dites-le moi je les mettrai en ligne; caressons le lectorat dans le sens du poil.)

Si tu savais à quel point c'est dur de te tourner le dos, il m'arrive de pleurer dans mon lit la nuit comme dans un film avec Meg Ryan (je sais, c'est mal), je rêve souvent de toi d'ailleurs, et à chaque fois je me réveille en ayant un peu moins confiance en certaines amies, je deviens paranoïaque faut croire, enfin bref, c'est un peu comme si je sortais d'une rupture et que je commencais à aller mieux tout en restant fébrile, prête à parler mort et stérilité à la première caissière venue pour peu qu'un couple souriant soit devant moi dans la queue. Sinon ça va, j'ai arrêté de fumer tu sais, j'aurais bien aimé voir ton air étonné et dubitatif mais fier, un peu. Hmpff. Bref. Hein. Oui, voilà quoi. C'est comme ça. Inutile de dire "C'est absurde !...". Ca ne l'est pas tant que ça. Tu le sais.
Voilà, tu me manques déjà, beaucoup, et je ne change pas, tu vois, c'est plus facile pour moi de te le dire ici.

(Non, je n'ai pas fait pipi dans mon short en jean.)

Ceci est du cinéma.

Toute ressemblance avec des personnes ou situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite, l'auteur jure crache sur son balcon : "Lisez fantaisie."

vendredi, 27 février 2009

Promised Land

Dimanche, je publierai les pochettes des garçons qui m'envoient des mails de présentation et plus si affinités. On arrête de jouer, c'est nul en fait, le monde m'agresse avec ses tags sur facebook (sans parler des statuts des gens qui me font de plus en plus grimacer, les gens sont vulgaires) bref, devant, laissons les pochettes aux autres, prenons plutôt le micro ce soir - ouais, matez les César, je vais interrompre de Caune en me faisant passer pour *** je sais pas encore.

Musique. Bon, trèèèèèèèèès bon :

Joe Smooth - Promised Land

Oui, j'ai envie de couleurs, ça vous donne la migraine ?


mercredi, 25 février 2009

Perdons notre temps ensemble, voulez-vous ?

La provinciale a un petit jeu - la provinciale adorait jouer au jeu des 7 Familles jusqu'à l'âge de 78 ans.

Une copine m'a envoyé un truc sur Facebook, c'est marrant, enfin moi ça m'amuse.

Voici les règles à suivre :

1 - Allez sur wikipedia, cliquez sur "article au hasard" ou suivez ce lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sp%C3%A9cial:Page_au_hasard
Le premier article que vous trouvez est le nom de votre groupe.

2 - Allez sur ce site pour une citation en anglais : http://www.quotationspage.com/random.php3
ou ici pour une en français : http://www.lescitations.net/citations/hasard.html
les 3 ou 4 derniers mots de la dernière citation sont le titre de votre premier album

3 - Suivez ce lien vers Flickr : http://www.flickr.com/explore/interesting/7days
La 3eme photo (quelle qu'elle soit, ne trichez pas) est votre pochette d'album

4 - Avec Photoshop ou un logiciel d'image quelconque, faites votre pochette d'album avec ces éléments. <----- ouais, y a que ça en fait qui m'amuse, savoir à quoi ressemblerait ma pochette d'album "Destinée" (Guy Marchand est à moi ! - hmmm, note pour moi : penser à mettre ce slogan sous badge.)

5 - Postez la photo sur FB avec ce texte dans la description et taggez toutes les personnes que vous voulez voir participer.

 

Entre nous, la règle 5, hein, oui, bon, on s'en fout.

 

 

 

Voici donc mon album :

fcbk.jpg
Ca ne fait sourire que moi, le vélo paumé et le prénom improbable du musicien blues ?
Coup de projecteur sur la citation entière :

Ville qui parlemente et fille qui écoute sont bientôt prises.

 

Si vous voulez jouer, envoyez-moi vos photos; sans triche sinon c'est pas marrant; si j'en reçois je les publie, ça m'amuse, j'aime l'idée (et puis merde hein, Mry refait des concours à la con, moi aussi faut que je me sente exister à travers mon espace personnel virtuel (!).

Envoyez-moi vos photos à phenojen@yahoo.fr (le ou la non-gagnante au non-concours aura peut-être la chance de participer à la soirée des Césars en ma compagnie).

Olé !

 

(Ouais, ça va mieux depuis que je suis provinciale.)

dimanche, 22 février 2009

Court-circuit


Soit j'ai trop abusé ces derniers jours côté ivresse (ça joue mais je l'implique comme élément déclencheur) et autre ingrédients transformés, soit j'arrive à mettre des mots sur cette impression de suffocation :

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bye bye les amis, ras le cul d'écouter, de voir et de digérer les hommes qui font ma vie en déca. Besoin vital de nouvelles voix, de nouveaux vocabulaires, de nouveaux regards, de neuf. SMS, live, téléphone, mails, tous m'indiquent l'ouest, tous me semblent faussement insondables, bidons et creux. Sauf celui qui me veut du bien. Parce que c'est le seul qui pige la tristesse derrière mon sourire. Saoulée. Nazes, tous nazes ces mecs que j'ai cru intéressants. J'opte pour la solitude moderne, j'arrive de province, je ne connais personne à Paris et ma curiosité est totale. Bye bye les amis, c'était chouette mais vous êtes trop prévisibles.


podcast

On the line, Small Sins

samedi, 21 février 2009

"Solidarité Solidarité"

Sous mes fenêtres. Manifestation pour soutenir les Antilles et plus particulièrement la Guadeloupe. Ma tante qui vit là-bas me dit qu'elle n'a pas connu la guerre mais que ça devait y ressembler : la vie sous rations. Tous les magasins sont fermés, seuls les boulangers sont autorisés à faire du pain et produisent des queues qui se comptent par dizaines de mètres (tous les autres magasins qui tentent d'ouvrir sont vite ramenés à l'ordre par les activitistes). Les boîtes commencent à mettre la clé sous la porte. Quelques tensions par ci par là, ça sent le brûlé pour de bon.

domtomcrisis.jpg

Oh putain, là tout de suite j'y ai droit : "Tous ensemble, tous ensemble, ouaiiiis". Maman, ramène-moi au pays des Merveilles.

Bon, moi, ce que je voulais dire, ça tenait en deux phrases :

* Les effets de foule, ça me terrorise, surtout quand on y crie des mots choc avec un désespoir dans la voix et la teinture rouge tomate de l'écharpe boulochée.

* Les effets de foule, c'est cool, ça te permet de voir la gueule des voisins d'en face, tous sont sur leur balcon, beaucoup de vieux dis donc.

Maintenant du zouc, on se fait des accras ce soir avant une petite révolution ? Et dire qu'il y a à peine quarante minutes, je pleurais comme une madeleine devant la fin de La Vie des Autres...

C'est la merde, tu le sais ? Faisons l'amour avant de nous dire adieu, tu veux ?

Tous ensemble, tous ensemble,... jouissons sous ma couette.

 

La réapparition

Je l'avais quitté d'une manière odieuse. Bousculé Rangé Méprisé avant même de lui avoir laissé le temps de m'aimer au pas lent. Il fut le premier. Et le dernier à qui je dis je t'aime et bon vent.

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(Au) Bord de la Néva.


podcast
Japanese gum, Her Space Holiday

 

mercredi, 18 février 2009

k-os 4,3,2,1

La chanson du jour me met dans un drôle d'état d'esprit, ni bon ni mauvais, j'aime bien.

A toi qui es arrivé ici en tapant ça, casse-toi vite ou fais un môme, de toute façon c'est foutu t'es déjà mort.

 

 

 

 

Vous aussi, vous la sentez heureuse et épanouissante, cette journée pour Jen ?...

 

11:41 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : k-os

 
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