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jeudi, 29 mars 2007

Got milk ?

Je n'aime pas le lait.

Encore moins l'odeur du lait chaud.

Et pourtant là, cette odeur de lait brûlé sur ma plaque, je la trouve délicieuse.

C'était l'instant "Prenons le temps de rien avec Jen".

Je vous remercie. Bonsoir. 

 

Par hasard, je viens de tomber sur ça et je n'ai vu aucun rapport avec cette note alors il m'ait apparu logique de la mettre ici. (Enfin bon le lait, ça inspire...)

Mouais...

Je ris jaune en voyant cette bannière affichée chez certains blogueurs... (très drôle de voir des personnes de droite afficher le petit drapeau pro-Ségo). Pourquoi ont-ils autant besoin d'afficher leur couleur politique, se pensent-ils si influents ? Enfin bref... je retourne bosser. Je pensais aérer mes neurones le temps d'un tour sur les blogs mais là, me suis plantée.

Sinon, remercions l'inconnu qui m'a mailé ses perceptions du couple. Marrant de recevoir ce texte aujourd'hui. 

 

Edit de 13h27 : rassurée de savoir que je ne suis pas la seule à regarder la Nouvelle Star. Première fois que je suis cette merde et je me disais que l'idée du drapeau en bannière revenait à afficher son candidat préféré de la Nouvelle Star, ouais, je trouve ça aussi naze. Cela dit, j'affiche ma couleur musitique (!), je veux voir gagner Julien et son yukulélé : il touche mon coeur de minette, j'aime ses goûts, ses adaptations, ses choix, ses sapes, tout ! Voilà, c'était la pause régression lose attitude. (Contradiction, quand tu nous tiens !)

Et maintenant, je file chercher mon cd de Tété en "écoutant" le post-it de Folie (oui, ma meilleure ennemie, vous avez bien lu). 

 

Edit de 13h46 : Allez, pour le plaisir... (J'ai évité Flou et A la Faveur de l'automne, ce serait dommage de se filer le cafard un jour de pluie.)


mardi, 27 mars 2007

Jen à Deauville...

... ça donne beaucoup trop d'alcool (donc beaucoup de conversations en famille très instructives pour mini bobo qui grandit) et un cadavre.

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Toujours sympa de voir les (bons) amis des parents et apprendre que le mec va aux Chandelles. Encore plus sympa de constater que mes parents apprécient son côté épicurien... Moins sympa de voir ses yeux loucher sur mon décolleté au Ciro's (faudra quand même qu'on m'explique pourquoi ils vont tous au Ciro's, je trouve la carte tellement mauvaise à chaque fois...). Mais bon, moi je louchais sur son fils, hélas trop jeune pour moi. C'était bien, c'était chouette, rien de tel qu'un week-end avec les personnes sur qui on pourra toujours compter pour se remettre d'aplomb. Merci à la coach parfaite.

Bande-son : It's not the worst I've looked, Lali Puna. 

mercredi, 21 mars 2007

Pause pipi

Et oui, encore !

Vous arrivez à uriner juste ce qu'il faut dans le gobelet ? Moi, jamais. Je suis généreuse... au niveau urinaire. Mes leucocytes aussi d'ailleurs, ils aiment bien donner, beaucoup, trop.

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Evidemment, vous trouvez cela crade. Scato comme vous dites toujours. Et bien, demain, vous en aurez deux pour le prix d'un ! Atroce, le labo veut la peau de Morphée et la mienne avec : demain, je dois mettre mon réveil trois heures plus tôt pour pisser dans le petit gobelet, ensuite grand verre d'eau et dodo pendant trois heures, interdiction de rester debout et repipi dans le grand gobelet. Passionnant, n'est-ce pas ? 

Rien d'autre à raconter. Juste que j'envoie valser la petite enfance, la psycho-somatisation, les séparations et Basile.

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Incroyable, cette grêle !

Tout à l'heure, j'obervais leurs ricochets sur les tuiles du toit d'en face. Ces grosses billes blanches, presque des calots (si, c'est vrai) jouaient à la marelle, c'était drôle. On avait presque envie de les rejoindre. Je voulais les filmer mais plus de batterie. Dommage, c'était vraiment joli. Le toit ressemble à un de ces tableaux roses de Toulouse. Pour la prochaine fois. J'aimerais bien vivre rue Mabillon, vers le numéro 5, juste pour observer les cours de piano de l'autre côté de la rue. Il était sympa ce salon, j'imaginais comment j'aurais aménagé l'appartement à ma sauce. Le matelas à terre, la fenêtre à sa droite, les placards intégrés, j'en rêve... Mais on entendait trop la femme du dessus, ses talons, une secrétaire, je pense. Elle se levait tout le temps pour trouver le dossier Trucmuche dans le meuble plus loin. Habiter au dernier étage. Important. Mais avec ascenseur et sans les studettes. L'étage juste pour deux appartements. Mais s'il y a le feu, ça craint. On s'en fout, vous avez raison. Envie de parler de plein de trucs importants pour personne. 

Et maintenant, ça gronde. Un temps à... ne plus penser. Attendre que cela (ne se) passe. J'aime bien ce temps derrière les carreaux. Se tenir à carreau, derrière les carreaux et finir sur le carreau d'en face. Hmmm, 17h dans pas longtemps...

Thé, miel, plaid, songeuse.  

Travaillons, c'est mieux. 

mardi, 20 mars 2007

Un Petit Bol d'Air

 

"Les meilleures planques ont des façades transparentes."

Vous pouvez trouver ce court-métrage nul à chier et dans ce cas, je vous pose la question : pourquoi continuez-vous à lire mes oui-dits ? Et pourquoi s'excuser de vivre, d'aimer, de haïr ? Pourquoi s'excuser auprès de cons ? Call me, Bipo ! A votre bon coeur, m'ssieurs dames, continuez de lire, continuez de cracher, continuez de piquer, continuez de partager, continue de mentir, continue d'avouer, continue de battre, continue bordel de toi ! A jeun. Mais pas pour longtemps. Envie d'écrire plein de saloperies sur toi, toi et toi et de tout enfermer dans un grand carnet parce que trop de parano tue la mienne et vice-versa. Complètement ailleurs, tata Jen. Tata, tu rêves. Maman, moi, ouais, je vais devenir maman et je vais me marier avec un typer super, et même que Simon il aura mis des petits cachets dans les parts de gâteaux des gens que j'aime pas. Un mariage sans cons, c'est triste. En même temps, la reine des connes, c'est la mariée. Mais quelle jolie conne ! Jolie conne, j'aime bien, je composerai un album et je l'appellerai Joli conne. Evidemment, tout va bien, il est juste pas loin de 17h, c'est l'heure du pétage de plomb ordinaire d'une journée surchauffe, neurones agités ; à 18h, je mords la caissière du Champion, celle qui râle encore plus que moi. Et j'arrache les vêtements du mec qui saura me dire Jen, quel talent ! mais ferme-là et aime-moi ! 

Déroute, nous traversons une zone de perturbations, n'ayez crainte les masques à oxygène n'ont pas été testés depuis 1993, l'eau est infestée de requins, le capitaine finit sa seconde veine, tout va bien, fermez les yeux et pensez aux dauphins. 

Brûle, petite pute

Parlé trop vite.

Des lames de rasoir assassinent les parois de mon...

Vais finir stérile à ce train-là.

De toute manière, je parle toujours trop vite.

Ca m'apprendra.

 

lundi, 19 mars 2007

D'aplomb !

Bah voilà ! Jen la superficielle mais pas tant que ça (si, si) a les neurones réordonnés : champagne, petits gâteaux (juste regarder ces douceurs, je laisse les autres grossir, j'ai déjà à faire avec mes kilos), un jean et un top gratos, des nanas dans le même délire, le tout dans un showroom comme j'aime, de nouveau bien dans ma tête.

Alors comment je fais ? Bah on fait avec, juste du champagne et tant pis pour la cystite ! Passé un bon moment. Maintenant, boulot et demain, ah ah, demain... surprise ! 

 

Beaucoup aimé le "Ah, t'as la Wii !..." et moi : "Une Wii, où ça ?"

On parlait en fait de ma bague Oui. Je vire geek, que devient le monde ! 

 

L'ultime question

Avant de partir jouer mon rôle sur l'échiquier polie-trendy, crier "j'adore" une coupe de champagne à la main et un jean ou une robe dans l'autre, je voulais savoir...

 

Comment vous faites, vous, au fait ? 

dimanche, 18 mars 2007

Cystite I, II, III, X...

La canneberge, ce fruit miraculeux... Foutaises ! Un mois que j'avale des capsules "destinées aux personnes désirant retrouver un confort urinaire" (l'impression d'être soudainement sénile) et plus de 24h que je bois des litres de Cranberry Classic d'Ocean Spray, résultat rien, nada, ça pique, ça brûle, ça fatigue et ça me rend plus qu'irritable. Donc demain, rebelote, petit pipi dans ce joli gobelet rouge et attente d'une réponse négative, "Désolé mais nous n'avons trouvé aucun germe". C'est dans ma tête, qu'ils disent... 

Moi qui pensais que mes ex étaient cracras, je crois que le problème vient définitivement de moi.

Inutile de me donner une liste des choses à faire en cas de cystite, j'ai tout fait, tout testé.

Le seul avantage, si je puis dire, c'est que je n'ai pas eu besoin de mentir pour annuler mon rendez-vous de ce soir avec Monsieur Tsé Tsé. Je ne suis pas certaine d'avoir été glamour en lui avouant qu'une cystite m'handicapait le minou mais bon... En même temps, avais-je vraiment envie de finir les fesses à l'air dans un grand lit cette nuit ? Bah ouais, quand même un peu. Oh puis merde, je déconne. Depuis quand revoit-on les mecs d'une nuit (enfin deux, mais ça revient au même) ? En plus, avec cette histoire de cystite, il va me prendre pour une grosse dégueulasse pleine de morbacks ! Je m'en fous. C'est vrai, en plus. S'il ne savait pas si bien accueillir (endormir ?) les filles, je n'aurais jamais donné mon numéro à ce con charmant. Je m'en fous je m'en fous je m'en fous.

 

Jen frustrée, Jen à l'ouest, Jen souffrante, Jen t'emmerde. 

Elle m'énerve la grosse trop sympathique de M6. Je n'aime pas cette mode des grosses à la tv. A quoi ça sert de se faire chier à manger vert si c'est pour voir ensuite des accros au Macdo sourire sur son écran ? Non mais c'est vrai, merde, pas envie que les kilos deviennent cools après avoir perdu tous ces kilos pré-andalou (mais si, le cadavre de novembre, remember). 

Envie de chèvre sur poilâne toasté, moi... 

mercredi, 14 mars 2007

Attendre l'impossible

Haleine de phoque au petit matin, grande verveine le soir.

Je suis dans un salon où une odeur d'oeuf au plat sauce graillon me donne quelques nausées. Pas envie de vomir et heureusement, j'ignore où sont les toilettes. Alors je suis là, recroquevillée derrière cet écran un peu trop poussiéreux et j'attends. Je n'ose pas retourner dans cette chambre où le réveil est mort à 7h15. Je n'ose pas car le type semble attendre d'un lit sommeil et espace. En gros, après avoir été la seule à entendre et achever ce réveil aux formes pseudo chic pseudo arty en fait un réveil de merde que le kéké lambda trouve chez Bathroom Graffiti, le mec m'a comme interdit de couette. A poil, dans un lit sans couette, avec un mec-étoile, le tout dans une pièce où la lumière éclatante du jour ne paraît visible que pour moi, ça fait un peu beaucoup. Alors je suis là, devant cet écran un peu plus poussiéreux depuis que mes cendres ont customisé le clavier, touches Y-U et Entrée.

J'attends quoi ? Qu'il se lève. Qu'il me dise : "Yeah baby ! Quel boogie Woogie d'enfer, on recommence ?"

Oui mais non.

J'attends de remettre le couvert avec le dormeur égoïste sur la table en formica pseudo design pseudo branchée de sa cuisine un peu trop propre ?

Oui mais sans le formica, la couette était sympa, le canapé rouge également.

J'attends. J'en ai marre. Ca peut dormir longtemps un mec un peu trop riche pour se payer une table en formica ? Ca se réveille comment un type pour qui j'aurais normalement peu de respect ? 

Sinon, il fait le mort, il attend que je me casse, j'ai été le pire coup de toute sa vie et les dents qui poussent n'ont rien à voir avec tout ça.

Un truc drôle quand on me connaît : je suis à Villiers. Ouais... 

Putain je suis trop con, je devrais me barrer mais j'ai pas son numéro et c'était vraiment chouette cette nuit bizarre. Bon je vous raconterai ce soir, croisez les doigs qu'il ne soit pas en train de m'humilier en faisant semblant de dormir. Putain... 

 
buzz