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jeudi, 10 novembre 2016

Pendant que la moitié du monde insulte l'autre, restons entre mélomanes rêveurs...

Je pense à ce copain qui me fit découvrir Leonard Cohen.

Il était mon seul pote dans une boîte à bac tellement nulle que je n'y ai fait qu'une très brève apparition (avant de rejoindre la géniale Lose Academy de la rue Dieu, que de supers souvenirs en mode les Sous-Doués là-bas). Faut croire que ces deux mois étaient suffisants pour imprimer sa trompette, son allure de rêveur et la Porte Dorée puisqu'à chaque fois que j'entends Everybody Knows ou Closing time, je pense à lui ! (impossible de me souvenir de son prénom, c'est frustrant). Vous remarquerez qu'à l'adolescence, on voit déjà se dégager une masse FM à l'école, je trouvais ça hallucinant certaines années de ne pas trouver de complice musical (j'avais de graves problèmes à l'école oui). Enfin bref, il a suffi ce matin d'entendre Closing time au rayon chocolat de la Migros (je suis en Suisse en ce moment) pour que la folie Cohen me reprenne. Leonard, toi et moi on va s'envoyer en l'air quelques semaines dans tout Paris si tu veux bien. Ta voix chaude et rassurante me fera oublier tout le reste.

 

Je te dédie cette valse, J.

 

PS : Sauf Suzanne, y a rien à faire j'ai envie de me cogner la tête contre le mur dès les premières notes.

 

Bref, un peu de musique et de "vraies" paroles pour oublier le vacarme étourdissant du monde.

LOVE AND MERCY guys