Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 05 mars 2009

Etre une femme libérée, tu sais c'est pas si facile

Ce matin, je trouvais les hommes (les beaux, les moches, les vieux) hyper attentifs à mon passage. Bon, je me suis dit que je devais pas avoir tant que ça la marque des draps sur la gueule finalement. J'étais en robe, ok. Mais je suis toujours en robe. Enfin je trouvais quand même étonnant que tous se soient mis d'accord pour que je sois aussi bonnasse ce matin mais bon, j'ai pas cherché midi à quatorze heures.

En rentrant chez moi, je passe par le couloir d'entrée de mon immeuble, couvert d'un miroir.

OK.

La grande classe.

J'avais toute la fesse droite à l'air. Collant noir mais fesse et cuisse droites à l'air. Quarantes minutes environ ainsi accoutrée quand même. Merci les hommes. Merci les nanas de ne rien dire; super la solidarité féminine !

 

Le ridicule ne tue pas, le ridicule ne tue pas, le ridicule ne tue pas...

 

Moralité : Toujours être assez réveillée avant de sortir le matin sous peine d'oublier que ton putain de sac est l'ennemi de ta robe.

Amis à couilles, tu l'ignores certainement alors je t'explique : quand on est en jupe (ou robe) et qu'on porte un sac à l'épaule qui tombe au niveau des cuisses, ça a tendance à tellement retomber/frotter sur ladite jupe qu'il l'accroche et la remonte. Bref, quand tu vois une fille sans cesse retoucher sa jupe dans la rue, tu remarqueras qu'elle a neuf fois sur dix un sac à épaule.

Un monde parallèle, oui. Une jungle.


podcast

J'ai la honte, CARABINE