Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 10 décembre 2010

CHAPTERHOUSE

 

Chapterhouse+spiritual.jpg

Quand même je sais bien que je suis déjà du côté des vieux cons en disant ça, mais qu'est-ce que c'était bien les années 90-93 côté indie...

J'avais perdu depuis quelques mois le besoin de sortir avec mon casque sur les oreilles, c'est reparti avec John Barry (cherchez Charlie, oui c'est lui), Chapterhouse, Primal Scream et confrères. Barry c'est parce qu'après m'être droguée des années à la version "We have all the time in the world" des Bloody Valentine, j'écoute désormais l'originale à cause du type collant qui squatte la maison ce soir (mais je l'aime bien, je lui ai même fait la popote encore - oui bon patates lardons et plein de thym et d'ail pour faire genre ma cuisine sent bon la cuisine de femme qui s'y connaît), je m'énerve à m'enfermer dans mon petit couple sur son nuage, je vois plus personne ou presque, vivement qu'on arrive à la routine sévère).

Bref, CHAPTERHOUSE ! (et n'allez surtout pas voir la gueule qu'ils ont maintenant, ça fait peur)

 

chapterhouse.jpg

CHAPTERHOUSE - Mesmerise (allez voir le clip, je le trouve sympa, enfin ça se prenait pas trop la tête, et comme dirait Henry, leur tort était d'avoir des gueules d'anges les pauvres - et paradoxalement, aujourd'hui ça marcherait des gueules de versaillais de ce genre)
podcast

 

Sinon hier, concert de Thomas Dybdahl à la Maroquinerie : parfait.

67190_10150102884132474_615482473_7338025_5828370_n.jpg

Des instants de grace, du Elvis en lui doucement, du blues de la pop et un peu de rock, les nouveaux morceaux sont inégaux mais deux chansons sur les 4/5 jouées qui m'ont portée loin (et je crois que le petard de Laeti ne faisait alors plus trop effet; si tu étais au bar à un moment et que t'as vu deux filles hilares incapables d'aligner deux mots tellement elles riaient comme des ados, c'étaient nous !). Thomas, ton petit ventre et ton cul un peu large, je les fais miens quand tu veux. Enfin quand j'aurais arrêté de cuisiner des patates avec amour.