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jeudi, 03 mai 2007

Bof bof

Me fait chier, l'andalou. J'aime pas les fantômes, servent qu'à vous faire flipper la nuit.

J'ai envie d'un homme qui ait besoin de moi.

Putain, je crois que j'arriverai jamais à satisfaire un mec.

Et tous les potes qui te diesent "Patience", ras le cul de la patience. Ras le cul de sortir avec un fantôme. Ras le cul d'attendre.

Il veut une amourette. Finalement, je veux plus.

Typiquement féminin de se projetter.

Typiquement masculin d'étouffer.

Faut que j'arrive à me mettre dans la tête que son silence, son absence ne sont que temporaires.

Pourtant, une petite voix au fond de moi me dit qu'un homme capable de faire le mort des jours durant, qu'un homme me demandant de vivre notre rencontre comme une amourette, cet homme-là, il ne m'aime pas.

Alors je vous venir avec vos gros sabots, "tu comprends rien aux mecs".

J'ai pigé nos différences mais je les vis toujours aussi mal, au fil des rencontres, à un moment, il y a un truc qui ne passe pas.

Et là, son silence, ça ne apsse pas. Comment construire quelque chose si, en cas de crise, c'est chacun sa merde.

Il m'a dit une chose qui m'a travaillée : "on partage le meilleur, pas le pire."

Franchement, c'est comme me dire "toi, poupée, t'es là quand je vais bien, que j'ai envie de prendre du bon temps sinon, tu dégages. Suis comme ça, tu ne me changeras pas : tu subis mon silence ou tu fuis."

Sais pas, sais plus. Je ne le reconnais plus.

Quand on aime quelqu'un, on lui fait subir des choses même si on sait que ça fait souffrir l'autre ?

 

Commentaires

... OUI.

Écrit par : Greg B. | jeudi, 03 mai 2007