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mercredi, 31 janvier 2007

S'offrir le temps...

... le temps de vivre.

 

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Tu fais quoi, toi, demain ?

Demain ? Et aujourd'hui, pourquoi ne me demandes-tu pas ce que je fais aujourd'hui ?

Parce que demain, c'est plus excitant.

Et pourquoi donc ?

Parce que demain, tout est possible.

Aujourd'hui aussi, tu sais, tout est possible.

C'est vrai. Je suis peut-être un peu trop pressé de vivre.

Ou pressé de fuir le présent.

Avoue-le, il est plus simple de rêver son futur que de sublimer son présent !

Non, il est juste plus courageux de sentir le présent vibrer sous tes pieds.

Alors je suis lâche.

Non, tu es un homme parmi tant d'autres qui préfère trouver les poètes utopiques et ennuyeux. Moi, les poètes, ils me touchent, parce qu'ils le prennent, eux, le temps de vivre.

 

Quand elle est épuisée physiquement, la bobo veut croire que le temps fait bien les choses.

 

Pour rompre en finesse cette note pas si farfelue, j'aimerais dire quelque chose aux hommes : si vous êtes les gros blaireaux qui me servez de voisins du dessus... VOS GUEULES !!! C'est vrai, quoi ! Ras le bol de vous entendre crier comme des veaux - qu'on va tuer pour nourrir les enfants comme moi - à chaque but marqué ou raté, je sais pas et je m'en fous.  (En même temps, ils prennent le temps de vivre et de vibrer au bond du ballon alors bon, je peux pas dire grand chose au risque de me contredire...)

 


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PS : La Société Bobo du VIeme remercie tout particulièrement Monsieur Vian pour l'inspiration et la joie de vivre. 

PS bis : Hey ! St Ambroise, bouge et rappelle, bordel !

 

(Je me marre en relisant parce que dans le genre "pas le temps de vivre vu la pile de boulot", je suis pas mal...) 

mardi, 30 janvier 2007

Crevée, vidée mais bien dans mes Converse

Comme j'aime entendre monsieur Velvet me dire que j'ai fondu avec ses grands yeux ronds ! Trois mois que la bobo n'était pas passée chez les fous bientôt libres de ne plus subir un laid et immense mur orange "Derrick style"... même Jérôme le timide a fait une réflexion sur ma nouvelle silhouette, je dis champagne !

Comme j'aime être alléchée par des projets professionnels qui annoncent gloire et pépettes ! (Gloire si je veux, d'abord !)

Comme j'aime être couverte de bleus sur les cuisses après  avoir dormi comme une merde contre un sommier assassin ! Ah non, ça c'est la seule galère du jour. Je vous dis pas... je marche comme si j'avais un ballon de foot entre les cuisses, l'horreur : juste en dessous du minou, vers l'intérieur des cuisses, c'est rouge marron gonflé pas beau et ça fait un mal de chien. Penser à dormir sur le canapé et non dans la chambre d'ennemi quand je squatte l'appart' de Frédéric.

Comme j'aime me faire draguer tous les trois mètres par un paki repoussant rue du faubourg st Denis ! Ah non, ça, ça me saoule toujours autant.

Je vous déconseille fortement de laisser pourrir des oranges dans le frigo : j'ai un gros tas dégueulasse et puant de poudre verte dans le bac qui ne demande qu'à être nettoyé... Qui s'en charge ?

Du côté des coeurs brisés, je viens encore d'entendre une histoire des plus beigbedéennes... Autour de moi, que des ruptures, des erreurs qui laissent K-O, des pétages de plombs, suite logique d'un au revoir qui se veut hurlant de détresse une fois le casting rêvé devenu out. Le combat est éprouvrant mais c'est pour mieux s'émerveiller ( se surprendre ?) devant une porte entrebâillée...

Pour toi, l'homme qui se fait éjecter de séance après avoir dit merde à sa psy (j'adore) : 

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Sur ce, croyez-le ou non, je me couche. Cre-vée. Et le reste de la semaine archi-chargée... J'y penserai demain, là je rejoins Morphée... et la crème apaisante (si j'ose, je vous fais une photo demain). 

 

PS :  PQ acheté, plus besoin de commenter, petit chauve ! Et oui, acheté rue des Quatre Vents (Greg, j'ai pensé très fort à toi...).  

PS bis : Pour trouver un nez rouge, c'est au fond à droite du couloir. 

PS le vrai : Les brouillons resteront secrets, finalement. Parce que, c'est tout. Inutile de faire la gueule, bande d'assoiffés ! 

Tsé quelque chose dans le XVIème

Tous les restaurants chinois sont glauques, je trouve. Pourquoi ils aiment autant le noir, bordel ? Un chinois pop 70's, ce serait sympa.

lundi, 29 janvier 2007

Envie d'un tajine rue Martel depuis le réveil

Lundi. Ferait presque beau, dis donc. On sort les ukulélés, le décor West Indies, la taille 36 direction le sable pour s'y brûler les pieds. 

Aujourd'hui, j'ai 22 ans. (Mais la tête bien pleine...)


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La semaine s'annonce chargée mais on fera comme si de rien n'était. 

 

dimanche, 28 janvier 2007

Nuit brouillon

Un de ces quatre soirs, je crois que je vais balancer tous mes brouillons en une note. Ils sont nombreux depuis la création de ce blog. Il y en a qui furent publiés quelques heures (certains eurent même le temps d'être commentés, au grand dam des curieux, victimes de leur sommeil : la nuit, les notes sont grises et le matin pouf, elles disparaissent) et le reste sont des posts où après relecture, j'ai pensé qu'il valait mieux ne pas encore une fois taper dans la mélancolie ou le too much. Donc soit je les publie tous en une note et je la laisse ou bien je publie tout une nuit et supprime à l'aube, je sais pas encore mais ça ne saurait tarder. Il faudrait faire la nuit des brouillons : on publie tous nos textes honteux. Bof, ça fait trop nuit du buzz. Dommage, l'idée est sympa.

Le flou non artistique

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Condensation du passé sous l'effet du soleil. De jolies couleurs, des gouttelettes, reste d'amours perdues qui glissent pour s'asseoir et mourir sur le chauffage. Puis l'amitié. 

 

Les regards posés ne sont plus les mêmes et c'est parfois mieux ainsi. Des molécules à maturité.

Non, j'ai rien fumé.

J'ai juste vaincu mon coeur. Peut-être parce qu'il n'y était pas assez, finalement.

 

Bande-son : Lord, Devil, and Him, Joshua James. (Je vous conseille cette chanson, très belle.)

Où êtes-vous ?

Et si c'était moi... que ce Seb recherche...

Après onsestcroises.com, je découvre Paribulle, le pendant des Messages Personnels de Libé online. Pas mal comme idée quand on sait qu'on scotche sur un mec tous les trois jours dans le métro... 

samedi, 27 janvier 2007

Qui peut dire à Pierre Guimard que je l'attends moi aussi ?

La gerbe de doutes

Tourner la page. Tirer un trait en cas de réapparition. Savoir se faire violence, pour mieux avancer.


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vendredi, 26 janvier 2007

I have a dream

medium_Photo_3130.jpgA cause d'un allumé qui photographie la vie à Bucarest, cette nuit, je me rêve petite vedette du music hall. En vrai, grande star. Encore plus de "au jour le jour" à aimer pour adopter cette vie, si toutefois on nous offre la possiblité de l'embrasser.

Et si je ressortais ma passion première du grenier aux idées?... Et si je changeais de vie ? Et si je vivais plusieurs vies ? Pourquoi se limiter à une route ou deux, pourquoi ne pas s'amuser un peu plus avant d'être enchaînée ?

Cette nuit, la petite fille qui passait son temps à parler à une caméra imaginaire rêve et réveille la fille un peu moins petite de son coma : des envies de saveurs nouvelles, des rêves qui demain seront renouvelés et le monde à goûter. Vous me suivez ? Prenez place, je pars rejoindre ma loge ; je vous donne rendez-vous dans quelques minutes...

 


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