Made in Rive droite

Commentaires

Pas mal. Je ne sais plus si je l'ai déjà linké mais ça me rappelle ce titre de Bullion:
http://www.youtube.com/watch?v=wtVwDn7fJr4

Même si ces trucs troués, parcellaires à la Hudson Mohwake je m'en lasse rapidement. Comme je ne boirais pas de la grenadine toute la journée même si c'est parfait, parfois.

Sinon, y a la bonne soirée demain au Social.

Écrit par : Vermine | mercredi, 10 mars 2010

Pas mal. Aussi. Mais ça me saoule dès la moitié. Vermine au Social, intéressant comme information. Mais qui est Vermine

Écrit par : Jen | jeudi, 11 mars 2010

Et je ne connais pas Hudson Mohwake, j'y remédie vite.

Écrit par : Jen | jeudi, 11 mars 2010

Zut coquille, c'est mohawke pas mohwake. Et à en réécouter à chaud, c'est plus l'idée que j'ai de son oeuvre que le son en lui-même qui me rappelle ces instrus bancales et claudiquantes. Je m'en suis remis un titre là, bordel, c'est chiant. Te fatigue pas avec sa discog quoi.
Tapé Bibio aussi dans le doute pour son espèce de folk un peu techno-alambiqué, mais non plus, et c'est chiant aussi.

Bref, je ne sais pas. Des trucs intéressants en surface mais irritants rapide quand passe la surprise structurale et que tu cherches un flow. Syndrome Animal Collective, en moins bien.




Qui est Vermine? Si je pouvais répondre à cette question ma vie serait tellement plus simple. Mais ai-je envie de simplicité? Je ne suis jamais aussi déprimé que lorsque mes buts sont atteints. Sois un jeu compliqué, j'aime ça, je me sens vivant.

Mon jeu préféré, enfant, c'était que ma grand-mère construise des châteaux de choses pour que je puisse ensuite me ruer dedans en riant aux éclats. Le vacarme du fracas, l'éternel recommencement, jouir passif et cotonneux de la contemplation d'une reconstruction, je crois que je n'ai jamais perdu ce goût-là.


Allez, sur ces errements, retour à mes fondamentaux: http://www.youtube.com/watch?v=Ew_fcRbU_pw

Écrit par : Vermine | jeudi, 11 mars 2010

L'éternel recommencement, j'aurais bien besoin qu'on m'en redonne les couleurs ces jours-ci... Je suis rentrée d'un dîner joyeux dans lequel je jouais un rôle qui me ressemblait et là je réécoute cette utain de version live acoustique de saturday/sparklehorse et j'arrive pas à me sortir les doigts du cul ni l'optimisme de l'esprit. Dis-moi, à qui on dit qu'on a besoin de faire le point et que ce point on sait pas comment le trouver ni grâce à qui parce que tout seul c'est présentement impossible ?
Jen en perdition, fous le camp sauve qui peut ;)

Écrit par : Jen | jeudi, 11 mars 2010

pessimisme je voulais hélas dire (cela dit tu remarqueras l'acte manqué sur le papier virtuel qui prouve ma volonté de revoir le matin vert espoir

Écrit par : Jen | jeudi, 11 mars 2010

Tu poses la question mais au fond, tu me connais très bien. Nous nous connaissons très bien l'un l'autre nos pierres porteuses.

Mais j'ai envie de formuler. Je suis égoïste désolé.

Vermine, c'est un duvet, peut-être jamais une plume. Si profondément nombriliste que l'on peut parfois apercevoir ses tripes.
Il est sur le seuil de l'entrée, tangue un pied dedans un pied dehors. Très inconfortable mais jouissif aussi car il voit tout. Bipolar as fuck aussi, fils du vent. Demain il sera peut-être marteau. Quand on vit sur le fil du rasoir, il faut être prêt à saigner n'est-ce pas?
Vermine, il vient ici recharger en légèreté juste. En mélancolie caramélisée. Il vient se leurrer doucement, se faire croire que le monde n'est fait que de petites bulles où les gens ne sont pas trop cons.

Vermine devrait se remettre au boulot aussi, il est à la bourre.

Écrit par : Vermine | jeudi, 11 mars 2010

je t'aime Vermine, restons trempons dans le caramel et puis laissons le doute à l'abribus alors.
bonne nuit, je me réveillerai moins fragile et puis j'irai voir si on veut de moi quelque part ;)

Écrit par : Jen | jeudi, 11 mars 2010

On reste Dieu merci
A la merci d'un abribus
Ne reste pas ici
On entend sonner l'angelus
Le soleil est joli
Plus triste que le cirque Gruss
Quelle aventure...
Quelle aventure!

Écrit par : Fabre | vendredi, 12 mars 2010