« 2010-12 | Page d'accueil
| 2011-02 »
lundi, 31 janvier 2011
John Barry - We have all the time in the world
La première fois que j'ai rencontré celui qui partage ma vie actuellement, c'était un samedi après-midi. Le samedi vers minuit, on écoutait en boucle cette chanson. On ne s'est pas quittés depuis (sauf une semaine en mode "'spèce de taré je ne veux plus jamais te revoir").
John Barry est mort, mais comme on a tout le temps du monde, on lui demandera de jouer pour nous plus tard, plus loin. Tant pis pour le concert à St Petersbourg qu'on voulait organiser avec lui, ça se fera dans une autre vie.
Ce soir, ce sera vin et John Barry autour des souvenirs.
Notre chanson...
mardi, 25 janvier 2011
CLOUD NOTHINGS - Should have
Une nouvelle tendance à suivre dans le comportement sexuel de nos jeunes afin de mieux appréhender cette génération de gentils tordus que nous autres leurs frères, soeurs et cousins avons engendrée : la fellation capillaire.
Toi aussi, fais une fellation à la natte de ton mec ou de ta nana, tu vas voir, c'est encore mieux que le massage de ta shampouineuse chez Dessange...
Dommage qu'ils n'aient pas glissé un petit paragraphe sur la fellation capillaire avec témoignages à l'appui dans le dernier Biba, je crois que j'aurai déchiré la page pour l'afficher dans mon cabinet-panthéon.
Cela dit, j'ai tout de même passé quinze bonnes minutes à rire seule sur ma cuvette en lisant certains passages du papier "Jouissance : mode d'emploi" : "apprendre à jouer de la mandoline", "s'entraîner à la respiration yogique", serrer les fesses deux secondes avant que le partenaire jouisse, "jouer au mime Marceau" sans oublier le conseil n°19 : "On devient son loukoum d'amour".
Je vous le conseille, un numéro collector ! ;-)
vendredi, 21 janvier 2011
BEST COAST - Crazy for you
Amis des chats, bonsoir.
20:54 | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 08 janvier 2011
Noah and the Whale - L.I.F.E.G.O.E.S.O.N.
Lisa likes brandy and the way it hits her lips
She's a rock 'n' roll survivor with pendulum hips
She's got deep brown eyes
That've seen it all
Working at a nightclub that was called The Avenue
The bar men used to call her "Little Lisa, Loney Tunes"
She went on almost anyone
From the hard time living 'til the Chelsea days
From when her hair was sweet blonde 'til the day it turned gray
She said :
L.I.F.E.G.O.E.S.O.N.
You've got more than money and sense, my friend
You've got heart and you go in your own way
L.I.F.E.G.O.E.S.O.N.
What you don't have now will come back again
You've got heart and you go in your own way
Some people wear their history like a map on their face
And Joey was an artist just living out of case
But his best word was his letters home
His standard works of fiction about imaginary success
The chorus girls in neon were his closest things to friends
But to a writer, the truth is no big deal
From the hard time living to the sleepless nights
And the black and blue body from the weekend fights
He'd say :
L.I.F.E.G.O.E.S.O.N.
You've got more than money and sense, my friend
You've got heart and you go in your own way
L.I.F.E.G.O.E.S.O.N.
What you don't have now will come back again
You've got heart and you go in your own way
On my last night on earth, I won't look to the sky
Just breathe in the air and blink in the light
On my last night on earth, I'll pay a high price
To have no regrets and be done with my life
21:19 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : noah and the whale - l.i.f.e.g.o.e.s.o.n., noah and the whale
mercredi, 05 janvier 2011
Été, es-tu là ?
En découvrant la lumière en tirant les rideaux j'ai cru une seconde que c'était l'été, ouvrir la fenêtre et sentir le sol chaud sous mes pieds en regardant les filles en jupettes de mon balcon. Faut pas me faire de fausses joies comme ça monsieur Soleil, surtout quand je sors d'un rêve qui se déroule dans un camp de vacances, non franchement maintenant j'ai les boules avec mon Damart et ma facture de gaz à filer une crise d'acné.
Je suis comme Emiliana, je rêvasse d'un été à boire avec des amis, romance au bord de l'eau et ma dégaine cool. Pantalon à bretelles et blouse en lin Laurence Doligé je veux. Ventilateur rétro en mode on et cola avec des glaçons, moustache qui sue et l'index qui efface tout pour recommencer cinq minutes plus tard, grosses olives vertes et vue sur vous, en robes légères pour les unes, et lunettes noires pour les autres, pour mieux nous observer, nous.
Je crois que je vais m'offrir une séance de luminothérapie si le soleil se casse.
Laurence Doligé, cet été, avant-goût, aime avec moi l'esprit blue jean à la cool...
Unemployed in summertime - EMILIANA TORRINI
mardi, 04 janvier 2011
Il m'a volé mes résolutions inavouées !
(Vous remarquerez que je ne fais aucune remarque sur nos nouveaux agriculteurs... Je me réserve. Je glisse juste que j'aime celui qui a un golden et l'autre qui ne veut pas d'une nana qui n'aimerait pas son labrador. Un instant, je me suis dit que j'écrirais volontiers pour vivre au vert avec des chiens, des vaches, des lapins et des chevaux nains. En 2011, mon petit nom demeure Peta.)
22:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : l'amour est dans le pré 2011 youhou, this year's resolutions
lundi, 03 janvier 2011
Comment déprimer le 3 janvier ?
En regardant le zapping du jour.
Pour oublier ce monde perdu, je regarderai la connerie de téléfilm de tf1 ce soir.
Ou alors je pense à mes résolutions et j'attaque un nouveau roman. Je vais faire ça, c'est bien Jen. (mais après le téléfilm)
Edit 21h20 : Comme prévu, c'est une grosse daube.
19:47 | Lien permanent | Commentaires (4)
(comptez pas sur moi pour jeter mon sapin en déclin)
© Mélanie Schiff
Bon alors quoi, bonne année quand même ! Mon 31 était à la hauteur de mon impulsivité : deux coupes de champagne jetées à la gueule et au torse, une gifle donnée dans la rue vers 4h du matin, un portable envoyé à terre avec une force qui m’a épatée vu le taux d’alcoolémie, bref lui et moi on a joué la grande scène de l’acte II. Et moi plus que lui, j’en garde un bon souvenir finalement. Normal, c’est pas moi qui ai jeté mon téléphone et ce n’est pas moi qui ai dormi sur le canapé en rentrant.
A Noël, comme d’habitude, je fais des cadeaux super beaux et mes parents les rangent illico dans un coin sans prendre la peine de me remercier le lendemain. Oui bon je m’en fous, parce que le gilet Claudie Pierlot à 280 euros pour ma mère, je l’ai récupéré. « Tu comprends il est tellement chaud ce gilet, je le porterai plutôt quand il fera moins froid… » Oui maman, oui… Et hop, un gilet pour Bibi.
Et le cadeau de mon chéri ? Des vinyles et une statuette en bronze que même sous acide on n’imagine pas qu’un sculpteur ait fait de ses mains un raton-laveur en kimono en 1880. Un original, je vous dis. L’animal très Lewis Carrolll trône sur ma cheminée tel un porte-bonheur. Très pratique s'est-on dit pour tuer quelqu'un.
Des résolutions ? Etant donné qu’on était trop bourrés le 31 et le 1er pour en faire, et que le 2 janvier on a préféré regarder High Fidelity et manger un full english breakfast puis le digérer au lit, c’est aujourd’hui ou jamais pour en faire. Mon moi profond a envie de répondre jamais mais j’ai quand même envie de m’essayer à une petite remise en forme et réorganisation de ma vie, alors en 2011, je vais essayer de :
Boire très peu parce que j’en ai vraiment trop marre des cystites et puis aussi parce que j’ai eu 30 ans et que je voudrais pas ressembler à un chien plissé dans cinq ans.
Manger mieux, manger bien, arrêter le grignotage.
Tester la gym suédoise avec Laeti et m’abonner pour le trimestre si j’arrive à finir le premier cours sans m’être rien cassé. Et aussi si les nanas du cours ne sont pas toutes des bombasses musclées, parce que je veux pas être la plus grosse du groupe, hors de question.
Arriver à garder ma maison rangée et propre plus de cinq jours consécutifs.
Appeler plus souvent mon cousin.
Apprendre à cuisiner d’autres plats que le pot-au-feu, la brioche au Kinder et les pâtes au gorgonzola.
Voyager plus souvent.
Etre moins chiante, moins impulsive (enfin ça c’est quand j’ai bu sinon je suis presque douce comme une agnelle tout le temps, ouais ouais genre), plus positive, réussir à faire des choix plus vite même et surtout quand il s’agit de commander au restaurant.
Réussir à mettre de l’argent de côté tous les mois. On y croit tous.
Lire les pages d’un roman au lieu des news bidons de Morandini sur mon iPhone en me couchant.
Arrêter de dépasser mon forfait tél de 60 euros tous les mois.
Voir et appeler plus souvent les copains, enfin pas tous hein, sinon je m’en sors pas (je sens qu’elle va faire plaisir, cette dernière résolution).
C’est déjà pas mal, non ?
Bonne année, les enfants !
Et merci aux gentils anonymes (et psychopathes ?) qui m'ont souhaité de bonnes fêtes, une bonne année et aussi ceux qui m'envoient des musiques, je t'aime public.
PS : Je vous raconte pas la crise existentielle que j’ai vécue le 1er janvier vers 2h du matin quand l’alcool a fait bug bug dans ma tête et que j’ai cru qu’on était en 2012 et donc que c’était la fin du monde en décembre prochain, ah putain je me voyais mariée, enceinte, divorcée, à New York et tout plein d’autres trucs que je devais faire avant de mourir. Heureusement, il me reste deux ans. Font chier ces Incas Maya avec leurs prédictions qui font peur qu’à moi (en tout cas le 31) !
HER SPACE HOLIDAY - The year in review
This year went by in the usual way
Some friends were lost, some friends were made
Money was spent, money was saved
And in the end we're all ok
In the end we're all ok
Maps were drawn and plans were blown
A ring was bought and rice was thrown
She’ll sit in the second row
Looking at her heart up on the stage
What a way to end her day
If time is measured in memories
Don’t set your clock to misery
The clicks should come from what you got
And not the things that you lost
Sing out, sing out, sing out your joy
Raise up, raise up, raise up your voice
And life goes on and on and on and on
...