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lundi, 24 avril 2006

My Ben Harper is back, the real one !

Grande fan des premiers albums, les derniers opus de Ben Harper m'avaient déçu. Trop californien. Trop formaté. Mais alors sa nouvelle galette, mes chéris, c'est du bonheur à l'état pur ! Pour l'instant, je reste attachée à la version acoustique de Morning Yearning mais faites-moi confiance, le reste est aussi grand, beau, je suis amoureuse à nouveau.

 Et puis Morning Yearning me donne cette même mélancolie que Walk Away, titre tiré de Welcome to the Cruel World. Mon amoureux la jouait, je chantais, que de tendres souvenirs (comme quoi, il m'en reste malgré tout avec cet enfoiré). Forcément, je ne vais pas vous cacher que Morning Yearning ne me donne pas les frissons des jours pluvieux mais j'aime la mélancolie, la nostalgie et je ne pleure plus alors pourquoi m'en priver. Ca relance l'anecdote de High Fidelity... (Fallait suivre mon blog pour savoir, na.)

Both Sides of the Gun, BEN HARPER. <---- CLIQUEZ SUR LE LIEN et BON VOYAGE !

dimanche, 23 avril 2006

Cessez ces coups de marteau sur mon crâne !

Qui n'a pas dormi seule ? Moiiiiiii.

Hier, comme prévu (oui parce que le shopping, j'ai zappé, trop flemmarde), j'ai visité P. et son mec dans leur nouvel appart', un loft très sympathique, dans une cour aux accents "Ménilmontant, mais oui, madame... c'est là que j'ai...". Et surtout, ils sont à une rue de mon taff, ça c'est cool, apéros ensoleillés, yeah.

Toujours comme prévu, j'ai pris un verre de vodka, puis deux, puis trois... résultat, rentrée à 3h guillerette (je me souviens vaguement d'une conversation sur Sarkozy - qui n'a pas d'échanges à son sujet ! - avec le chauffeur de taxi). Rentrée avec un homme, ouh la la la la vilaine petite coquine...

Sinon, toi là-bas, pourquoi tu m'envoies "Va te coucher !" à 23 h ??? (le sms était écrit ainsi)

Vous savez comment on appelle quelqu'un qui a peur d'avoir peur ? Un phobophobique. J'ai appris ça hier dans un bouquin de culture G totalement futile donc... j'adore.

Et j'ai totalement zappé l'anniversaire d'un garçon qui aujourd'hui me déteste. Suis méchante quand je ne veux pas. Je n'ai même pas appelé pour annuler. La vodka a permis de me lâcher, souffler, un peu trop, je t'ai oublié. M'en veux pas.

samedi, 22 avril 2006

Renaissance printanière

Réveillée. Soleil. Gazouillis. Mes plantes irradient. Moi aussi. J'aimerais arrêter le temps. Rendez-vous au Luxembourg !

Ah bah non, coup de fil, changement de programme. Shopping lingerie + lunettes de soleil. Ensuite, je visite le nouvel appart' de P. (celle à l'appartement Barbapapa de Saint Ambroise) juste à côté de mon bureau, un loft de la vodka et le soleil. C'est où que j'appuie pour arrêter le temps ?

vendredi, 21 avril 2006

I am a blogger Get me out of here !

Je ne parlerai ni de ce sondage ni de cette interview. EGOISTE. HONNETE. En revanche, j'ai envie de vous dire que j'écoute Comme elle se donne (Jérôme Attal), suis une vraie féline en ce moment. J'attaque, je méprise, j'utilise. Je change les rôles. Je redeviens la fille d'avant, l'égoïste, rien à foutre des autres. On peut me passer de la pommade, me dire les pires insultes, je vous emmerde. Les ragots, les histoires de buzz, les menteuses, les suS-entendus, stop. J'attends des hommes qu'ils me surprennent, comme toutes les filles. Je ferme le rideau. Je ne vous raconterai plus rien. Ou alors le contraire. C'est dingue, même sans rien dans le sang, j'écris des conneries. Jamais claires. Sinon, les mecs, si mon prétendant se trouvait miraculeusement parmi vous, faites un tour sur Chictype, prenez le look du mannequin APC de l'avant-dernier post et ajoutez beaucoup d'amour (mais pas niais), un métier sympa, une belle gueule, une âme un peu torturée mais assez de caractère pour combattre son goût de la dépression/nostalgie, de l'humour, assez d'argent pour me dorloter comme j'aime et... bon, en fait, faudrait aussi qu'il tombe amoureux de moi et ça c'est pas gagné.

Putain, c'était sympa le chômage quand même... traîner au Luxembourg pendant des heures, lire écrire écouter observer envier regretter attendre l'attendre...

mercredi, 19 avril 2006

Aussi calme qu'un gode Yoba

Je suis lunatique en ce moment. Plus que d'habitude. Je vais rendre le stagiaire, patient de nature, chèvre. En plus, je l'aime bien. Faut que j'arrête de sauter d'une idée à une autre sans laisser le temps aux autres de comprendre.

medium_maisheuuuu.jpgFaut aussi que j'encastre la connasse de SS qui lit mon blog et qui a dit à ma mère que je me défonçais. Parce que si ma mère a été capable pour la première fois dans sa vie de m'appeler hier soir pour savoir "si j"avais le moral", c'est qu'elle sait. Alors si c'est toi Marie, Isa, Manu ou n'importe qui d'autre, je vous emmerde profondément, les balances c'était à votre époque, pas la mienne. Alors maintenant, si vous vous entêtez à lire ce blog, vous fermez votre grande gueule sinon je vous jure que je vous éclate la gueule, le chien, les raquettes, la totale.

Accessoirement, faut aussi que je trouve un plan cul. Envie d'en tester jusqu'à ce que mort s'en suive, indécent désolée, jusqu'à ce que je tombe amoureuse de mon voisin de terrasse au Café de la Mairie, ou que je rencontre l'homme du moment dans les bras d'une autre... ou alors il sera marié, ou bien gay ou encore trop camé pour être fiable. Bref, j'en ai rien à foutre.

Là tout de suite, je viens de finir ma traditionnelle soupe de tomates, j'ai le nez sec, faut que je me mouche mais pas envie de le faire devant toute le monde. J'ai le nez sec, juste comme ça, ne vous imaginez pas des grammes de poudre dans mes narines, vous êtes loin du compte. De toute manière, vous êtes loin de moi.

Schuey, j'arrive !

En fait, c'est ça, je devrais vous écrire chaque fait et geste de ma misérable petite vie, parce que vu le train où vont les choses, je vais bientôt vous raconter ce que ça fait de chier avec vous sur les genoux...

lundi, 17 avril 2006

Sunday monday

Dimanche soir, Le Dôme avec les parents. Débats habituels sur la politique, ma pétasserie, mon amour des cafés de la rive gauche et mon compte en banque, en vain. Rentrée déprimée mais satisfaite. Forcément, papa me trouve géniale. C'est bien le seul. Mais ça me suffit.

Ce soir. Rendez-vous 17h au Park Hyatt. Arrivée défoncée, speed.  Ai trop vu ce putain de beau couple Sofia Coppola et son enfoiré de beau gosse de mec (Phoenix si je ne m'abuse). Trop bu de champagne. Avait évité de prendre ma CB pour tenter  une dépense maîtrisée. Résultat : 100 euros crâmé en champagne. Rentrée à pied, avec ce connard. Et Sébastien Tellier. Viens de me rouler un pet'. Reçu ma dose de connasse. Me déteste. Ai offert mon corps. Pourquoi ? Pour jouer. Non, pour prendre le plaisir là où je ne veux pas le prendre. Je cogiterai toute ma vie. Serai une vieille nana toute ma vie. Comme vous. Différemment mais comme vous.

Rien à foutre.

Can't your hear it ?

Yeah...

Chabadabada, lalalalala... Love is not in the air, don't care, fuck. Happy dreams. This  blog really sucks. You too.

samedi, 15 avril 2006

Action ou vérité ? Ni l'un ni l'autre ou peut-être les deux.

Parce que parfois, c'est plus simple...

 

 

 

 

 

Puis ces fantasmes, qui le resteront...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et un clin d'oeil au "chef non charismatique" qui me lit, fouine les commentaires... Découvrir les désirs les plus tordus (le désir peut-il être tordu ?) de son ancienne stagiaire, ça doit surprendre, émoustiller. Ou non.  David, bosse au lieu de me lire ! Gotcha ;)

vendredi, 14 avril 2006

Action ou vérité

Je suis redevenue ON sur Potinblog. On... OFF... cela ne fait pas de grande différence. Quoi qu'il en soit, Valentin*, le VSD (le mec invité pour le wek-end), m'a donné comme sujet "Action ou vérité". C'est bête mais je ne sais pas quoi faire de ce thème. Parce que si je m'écoute, je proposerai aux curieux de jouer avec moi, de me poser des questions ou de me demander d'agir... Mais bon, agir, sur la blogosphère, ça se limite vite. Et de toute manière, au jeu de la vérité, j'aime mentir. Ou contourner. Ou alors dire la vérité quand personne ne l'attend, résultat personne ne me prend au sérieux. Je dis ça car beaucoup de personnes me disent que je suis difficile à cerner, un jour on croit me connaître (si tant est qu'on puisse connaître quelqu'un à travers ses écrits mais ça reste mon opinion) et le lendemain, je révèle une autre facette. Enfin je ne sais pas. Enfin si, je sais, mais vous pensez bien que je ne vais pas tout vous dire.

Mais si je m'amusais à donner quelques vérités du moment, je dirais que...

j'ai des réactions, des pensées, des fantasmes, des goûts, des désirs étonnants. J'ai envie de me faire prendre à mon propre jeu. J'ai envie de souffrir un peu. Beaucoup ? Noooooon. Mais un peu. Pourtant, une autre voix me dit d'aller là, piquer là, piller ici, mentir et me faire manipuler là, donner... ah non, pas envie de donner. Bizarre. Envie de prendre, mais pas de donner. Envie d'hommes mais pas de leur âme. Ou plutôt le contraire si j'y réfléchis. Je ne sais pas. Oui enfin, sans me relire, j'arrive à la même conclusion que d'habitude, je réfléchis trop. Mais c'est ce bouquin, Histoire d'O, ça me travaille. Et mon âge, je mue. Envie de grandir mais je ne sais pas comment m'y prendre.

 

* Valentin, qui voulait prendre un café avec moi la semaine dernière lors de son passage à Paris... Je plaisante, ça va.

Bande-son : Madame rêve, Bashung. (M'en lasserai jamais, je crois.)

mercredi, 12 avril 2006

La faute à pas d'chance

Je vous écris de mes toilettes. Je ne cherche pas à concurrencer Darkplanneur, non, j'ai simplement une satanée cystite. Ca brule, ça pique, je bois des litres d'Evian là, sur ma cuvette. Bashung et Jamie Cullum dans mes oreilles. J'étais aux Deux Magots. Avec des gens de très bonne compagnie. Mais voilà, le champagne et la déshydratation... Résultat, ça m'a pris comme ça, obligée de traverser le boulevard, jouer ma pauvre malade (je l'étais et le suis encore, une cystite, chez moi, c'est à se trouver mal) devant le pharmacien pour qu'il me donne son Munioryl (orthographe ?) sans ordonnance. Ah, là tout de suite, All I Need...

Bref, j'aurais prolongé cet apéro avec grand plaisir mais non, impossible, je suis rentrée comme une voleuse. Trop mal. Trop dégoûtée...

Et mon connard qui m'obsède. Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'un ange un peu démoniaque. Chez lequel des deux le trouverai-je le plus ? Lui ou Lui ?

FRUSTRATION

Je mets quelle culotte aujourd'hui ?

J'ai deux mecs qui veulent de moi dans leur lit. On fait comment ? Machin et Bidulle sont dans un bateau...

Il y en un qui me raccroche au nez et m'accuse après de chercher la complication. Forcément, j'annule notre dîner. Je ne suis pas n'importe quel bébé !

Et l'autre est simple, concis, on ne peut plus clair (j'ai besoin de transparence en ce moment) mais j'ai envie de l'autre, le connard. Pourtant, je sais que ce n'est pas un super bon coup, qu'il ne respire pas la passion en plein acte mais malgré tout, c'est lui que je voulais, ce soir.

Ah, il y a aussi celui-là... en plein rencard avec son plan "sexe" de la soirée, il trouve le temps de m'appeler pour me dire... rien. J'adore.

Au final, j'ai le choix mais pas envie de l'avoir. Comment expliquez-vous cela, vous ?!!medium_ausecours.2.jpg