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lundi, 04 septembre 2006

Agop, Agop, Agop...

Toi, ici ? On devient accro à la bobo... Le bar du marché, c'est bien cela ?!! Je sens qu'on pourrait avoir de très jolies discussions avec toi et la miss... Comme j'ai effacé la note précédente, je mets ton commentaire en note, faut que je le garde ! On reparle de tout cela bientôt, je sens que tu as tout un tas de bons conseils à me donner... Une note rien que pour toi, te rends-tu compte ! Popo, rassure-moi, dis-moi qu'il est moins bizarre que la dernière fois au téléphone !!! ;)) A bientôt les mains d'or...

"que de jolies commentaires, une soirée arrosée, et tu découvre la soif.......... la soif du cul, mais digne d'un quatre étoiles, je trouve cela sensuel et oui car baiser avec le sentiment de renouveler l'acte encore et encore donne l'envie de s'offrir, mais à qui? a l'homme qui exalte tes papilles et ton entre jambe, que fera t'il demain? j'espere que son désir saura exalter son imagination........ seul vos corps humides seront répondre aux attentes de votre séxualité, surtout n'ésitez pas changez de fenetre. Agop"

Mort ou né un 4 septembre

medium_Un_mort_andalou.jpgMon andalou a été retrouvé mort au bas d'une falaise. Toute la journée, je m'inquiétais de ne pas avoir de ses nouvelles. En fin d'après-midi, je me suis décidée à le chercher dans la montagne, bien que sa mère me disait de ne pas m'en faire, qu'il devait encore être en train de traîner avec des amis. Mais je sentais le drame arriver, mon côté optimiste sans doute.

En parcourant les chemins boueux, je vois à un moment, au loin, un camion de pompier, le même qu'avait mon cousin à 7 ans. Putain. Je cours, je ne respire plus.

Je vois un corps, la pluie qui tombe et les hommes en uniformes qui le recouvrent d'un drap. Je suis à 50 mètres mais je sais, ce sont ses cheveux, son ossature, ses chaussures. Ma vie est foutue. Je me réveille. Il est 5h et des poussières. Je me rendors.

10h, la connasse du premier appelle son fils : "Jean-Gabriel... Jean-Gabriel... Jean-Gabriel... Jean-Gabriel..." Au moins douze fois cette connasse de vieille réac' bourgeoise catho - voyez Ségo la fausse gaucho, c'est la même, à rendre n'importe quel enfant de coeur toxicomane à 15 ans - répéta le nom de l'un des quatre fils pour le réveiller, le tout, bien évidemment, avec sa voix naisillarde, rentrée, de mal baisée du second empire. C'est bon, là, je suis définitivement réveillée.

L'andalou n'est pas mort, je n'ai pas dîné avec lui dans sa cabane en bois avec sa mère alcoolique et le fantôme de son père (le sujet semblait être tabou, je pense que la mère alcoolique avait dû le tuer avec la carabine un soir de chasse au grizli), je ne suis pas enceinte d'un cadavre enfoui dans mon frigo, je ne mange pas de soupe au patates et je ne vis pas dans le Jura ou un truc dans le genre. 

Faites une note sur les rêves et retrouvez-vous la nuit suivante dans un film dramatique norvégien.

Aujourd'hui, je crois que c'est l'anniversaire de mon meilleur ami au primaire. Ca craint, il croit qu'il a 30 ans. Le pauvre, je n'ose pas lui dire que depuis qu'il a rencontré cette idote de blonde  aux longues dents et au ventre ondulant ("la faute à ma rétention d'eau"... j't'en foutrais, moi, de la rétention d'eau, elle a qu'à se bouger le cul-abdos-fessiers au club de gym, c'te feignasse !), que depuis qu'il a le coeur tout émoustillé, il ressemble à un ado : mêmes sourires niais en présence de lèvres humides, mêmes air con et béat, même tout.

Bon je crois surtout que j'envie le fait que lui, il pourrait avoir 25, 35 ou 53 ans, il aura toujours un air juvénile sur la gueule et ça, c'est vraiment trop dégueulasse ! Moi, j'ai déjà 26 ans et deux lignes de démarcation imprimées dans le cou à croire que je me suis étranglée matin, midi et soir pendant dix ans ; 26 ans et une salle de bains envahie par les crèmes anti-rides et les soins soi-disant miraculeux pour la jeunesse de ma peau ; 26 ans et un miroir grossissant qui me rappelle chaque jour que je gagne des heures dans la gueule à vitesse grand V et des comédons qui décident de squatter mon épiderme une fois par mois. Bref.

Mon meilleur pote, je crois que je vais juste lui dire : Bon anniversaire et évite de trop me montrer ton nouveau trophée de 24 ans sous mon nez, vous deux, vous me donnez envie de gerber avec votre amour d'adolescents expérimentés !

 

NB : Ouais, il avait quatre ans de retard, je sais, ça craint. Mais je vous ai déjà dit, les cancres ont toujours été mes potes à l'école. 

Bon, Frédéric, si tu fais la connerie de passer sur mon blog aujourd'hui... Bon anniversaire, connard ! Je t'aime, pense à moi quand t'auras largué ta pouffe... (Charlotte, je déconne, mais siiiiiii, je plaisante, j'te jure, garde-le ton mec, il est trop jeune pour moi. Et pour ton ventre, hein... On a le même, tu sais bien. Et puis, j'ai trouvé la parade : dis que t'es enceinte,  c'est quand même mieux que de dire que l'eau se stocke sous ton nombril. Enfin j'dis ça, j'dis rien. Je vous embrasse, mes chéris.)

 

PS : Penser à se renseigner sur le cellu M6.

PS bis : Ne plus regarder les séries US dans lesquelles des ado boutonneux flinguent tous leurs ennemis de lycée. Eviter de paranoïer ensuite sur l'angoisse que j'aurai à déposer chaque jour mon mioche à l'école, sachant que dans 10 ans, les boutonneux français se mettront à la "high school boucherie" à leur tour. Penser à ne pas faire de mioche. Penser à vivre sur une île déserte. 

Avant de partir, mon fameux coup de soleil, coup d'amour, coup d'je t'aime...  attrapé en Suisse. 

dimanche, 03 septembre 2006

Et toi, il est comment ton sommeil ?

medium_mieuxquenreve.2.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Science des Rêves...

C'est vrai, c'est épuisant de se perdre dans les méandres de sa mémoire nocturne, celle qui s'enrichit de magnifiques images perdues quelque part, dans un pays "impossiblois"... Ce Giant Coco (coco parce qu'en ayant de si gros genoux tout en pratiquant le doux métier de hardeur, on le renomme forcément Coco, le gros black du Miel et les Abeilles) pratiquait-il vraiment une vasectomie sur le fils de M. Putois, honnête travailleur du petit monde du spectacle (accessoirement acteur de troisième plan dans Cats à ses vies perdues) ? Ce chien qui ressemblait tant à Mini Me dans Austin Powers enculait-il vraiment ce chat gris et antipathique ? Le prince Dark-Igor décidait-il réellement d'épouser Lisa l'édentée ? Les rouleaux de papier cul étaient-ils le refuge de milliers de spermatozoïdes ? Mon ex avait-il vraiment les mains liées par une combinaison blanche, un peu comme celle des escrimeurs ? Ma soeur était-elle ma soeur ? Mon meilleur copain d'école existait-il pour de bon ?

 

Apparemment, oui. C'est pour cela que j'y retourne : lentement mais sûrement, j'approfondis le cauchemar et ses paradoxes... A ma sauce, ça donne un joli rêve.

Comment me rejoindre ? Demandez-le à Stéphane alias l'attendrissant Gael Garcia Bernal... ou alors fumez un pet' léger au bord du lit en compagnie d'une tisane.

Je dédie cette note aux... curieux.

Il y a une bande-son pour cette note, elle se trouve dans la BO de La Science des Rêves...

 

vendredi, 01 septembre 2006

Amen

Ok, alors si ce soir on est ivre dès 22h, j'ai le droit de dire ce que je veux...

J'ai jamais autant aimé les doigts dans le cul qu'avec mon andalou.

Mes seins ne se sont jamais sentis aussi à leur place qu'en cadeau de bienvenu dans la bouche de mon ivrogne d'amant.

Les couilles de mon mec sont aussi sucrées que la barbapapa de La Grande Epicerie, délicieusement chienne ce soir...

Rentrer de vacances et découvrir une bande de blogueurs et de blogueuses toujours aussi humains et abrutis que vous, ça rassure et en même temps, ça donne envie de crier encore plus fort quand on se fait enculer comme une pute devant la fenêtre, le petit voisin boutonneux d'en face faisant semblant de jouer aux échecs sur son pc et le regarder de manière incestueuse lorsque votre homme aux couilles lourdes et assoiffées écarte vos jambes avec toute la force que vous mettez à oublier ce bas monde, petit et terre à terre.

Sentir ses putains de couilles vous claquer le cul, aimer ça à en crever sur place la bouche ouverte, la salive abondante inondant le parquet, les sons sortant sans que votre cerveau n'ait le temps d'analyser l'origine du plaisir...

Se frotter et s'enfoncer à ne faire plus qu'un, accoucher d'un nous animal et inhumain, une baise amoureuse et gentiment polissonne, une queue et une chatte exhib' et intime, une baise rien qu'à nous. Enfin... à nous et au boutonneux honteux de se branler d'en face.

Pas besoin d'un blog anonyme pour écrire mon ordre sexuel, pas besoin d'écouter la brésilienne du dessous pour m'enfoncer sainte Rita  dans le minou, plus de one shot avec lesquels simuler, tout est à portée de bouche désormais.