Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 25 novembre 2006

Pas d'étoiles mais les fenêtres ouvertes

Au loin, des sirènes de pompier.

En fond d'écran à ma droite, une espèce de reportage sur les armes de guerre. Une sorte de mélange entre une pipe à eau new age et de l'artisanat arménien. Et un type en cravate allemande visiblement fier de présenter ses joujoux aux gentils insomniaques.

Je recommence mon rythme de vie décalé. L'avais-je arrêté ?

Oh ! en fait, c'est Chasse et Pêche, je crois bien. Et je viens de voir un stand avec une nana souriante avec marqué derrière elle "Chasse à Saint ***." Quel bonheur. La télévision hertzienne, du pur concentré de culture pour tous. Et maintenant, une fabrique de balles pour tirer dans le trou du cul des lapins. Quelle horreur... Qui peut aimer ce genre de programme à part les chasseurs anti-tout ?  Peut-être moi. Ca me donne matière à critiquer. Je critique tout en même temps. Souvent mon mot à dire. Y a-t-il autant de chasseurs accro à cette émission ? Pourquoi ne dorment-ils pas, les chasseurs, à cette heure de la nuit ?

Sinon, le sommeil tarde. J'ai fini mon boulot il y a une heure environ et rien. Aucun bâillement ni paupières trop lourdes pour supporter la lumière de l'écran devant moi. Devant vous. Alors pour rester dans le narcissime pathologique, j'ai bien dû prendre quelques cent photos de ma tronche. Sous toutes les coutures, toutes les rides, tous les boutons.

Et en boucle, cette chanson...


podcast
Quand même, c'est agréable, ce silence. Ce calme. Il peut devenir angoissant mais passé une certaine heure, il apaise. Comme si mon esprit ne faisait plus qu'un avec mon corps et les astres. Ouh la, je pars loin. Mais c'est vrai. Il n'y a qu'à ces heures secrètes qu'on se sent vraiment sereine. Non ? Pas d'agitation. Le temps m'appartient. Et ce luxe de penser qu'on se réveillera.

medium_Photo_1074.jpg

 

vendredi, 24 novembre 2006

Moi je vous...

Isaac... ;)

J'A-DO-RE. Kitsch mais tellement juste, au fond. 

C'est ça, aujourd'hui.


podcast
 

 

Clairvoyance

Marché Saint Honoré.

Rue Monsieur le Prince.

Et là-bas...

L'idée rentre, sans faire de bruit, s'installe, insidieusement, sournoisement.

L'homme n'aime pas la femme, il aime le reflet de son ego.

A tout âge, ils finissent avec les mêmes doutes, peurs, conclusions.

Alors je comprends ma mère.

Je comprends.

Seuls les mecs chiants ont leur place dans un couple plan-plan.

Je ne deviendrai pas bobonne.

Je ne deviendrai pas celle qui dit oui quand il faut dire oui.

Je resterai celle qui dit non quand elle devrait dire oui.

L'homme à tout âge est un enfant abruti par sa mère, sa soeur, sa fille, sa maîtresse, sa chienne, sa bonne.

C'était donc vrai...

L'andalou s'appelait Stéphane, il n'avait rien d'un andalou.

L'andalou est un personnage que l'auteur a décidé de tuer aujourd'hui.

Acte II. 


podcast
 

jeudi, 23 novembre 2006

YES YES YES !

J'ai tiré l'as de trèfle !!!

 

Comment ça "Et alors ?" !

 

J'AI TI-RÉ L'AS DE TRÈFLE !

 

Oui bon... 

mercredi, 22 novembre 2006

J'aime les couples (mal)heureux.

 
podcast

Sur ce, bonne nuit à tous. 

Mairie du VIeme

Que des NUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUULLLLLLLLLSSSSSSSS !!!

La vie, quoi.

Je pense à la relation homme femme, aux histoires d'hier. 

Je pense à cet homme libre qui rit du folklore ambiant.

Je revois ce visage grâcieux, à la fois beau et douloureux.

J'imagine les prochains jours.

Je me dis qu'il me reste une heure pour donner ces foutus papiers à la mairie.

Je pense qu'il faudrait manger un peu.

La tension baisse.

Le blanc des yeux tourne au rouge jaune merde.

La tension baisse vraiment.

La tête est lourde de désillutions.

Les pieds et mains sont morts.

Je me dis qu'il faudrait que j'arrête ces conneries, sortir prendre l'air.

Les coups de marteau commencent à me bercer, finalement.

Mon frigo fait dans le moisi et le méconnaissable.

Le foie s'use.

Monotonie.

Huit clos pour un moment. Et puis non, à quoi bon.

Fatiguée. Aucun plaisir qui dure.

Je repense à Delphine. Vraies ou pas, les histoires des uns peuvent effrayer les autres... ou pas.

Colombo a oublié l'écharpe neutre sur la chaise.

Sexy Touch, effectivement. Pas d'avis. Pas besoin.

Mal aux talons.

J'aime cette musique. Aérienne et pesante, les extrêmes font parfois de jolis mariages.

J'ai constaté ce matin que mon père m'avait reconnue un an seulement après ma naissance.

"S'aimer un peu... bien... bien s'aimer... s'aimer bien." Oui. Le tout est d'y croire suffisamment.

Les Corréens attendront un jour de plus.

Je ne tiens pas mes promesses.

Qui les tient ?

Cet homme, hier, me courant après sur le boulevard pour m'inviter à boire un verre.

Ce garçon, qui veut me revoir.

Cet autre, qui semble penser que nous avons tout en commun.

Et l'idée de rappeler, peut-être, celui qui m'a fait le plus de mal dans ma vie.

Pour voir, comme ça. Savoir ce qu'il est devenu.

Mauvaise idée.

Mais pourquoi pas.

16h19 et toujours ici. Un peu de bonne volonté, merde !

Aussi molle que moi aujourd'hui, ça n'existe que chez les invertébrés.

"Une homme est un femme comme les autres". Restons sur cette idée vaseuse pour aujourd'hui, voulez-vous. 

 

Bande son : Highschool lover, Air. 

mardi, 21 novembre 2006

Tel père telle fille

J'aime la rue Cardinale. Décor de mon cinéma. J'aimerais trouver un nid douillet au dessus de cette boutique pour enfants colorés façon Agatha Ruiz de la Prada.

J'aime prendre un thé à la violette avec mon père, gourmand, chez Ladurée.

Une seule tâche dans cet après-midi parfait : le sang. La faute à la fatigue, sûrement... J'espère.

J'aime penser que tout ira bien.

Un an plus tôt... 


podcast
 

Spéciale dédicace à mon voisin


podcast

 

Si Yahoo le dit, alors là évidemment...

Cancer Mardi 21 novembre 2006
Votre horoscope hebdo
Né entre le 22 juin et le 23 juillet cancer

VIE PRIVÉE : étoile
Quelque chose vous préoccupe, et, bien que vous sachiez que c'est une chose qui ne vaut pas la peine d'être considérée aussi sérieusement, vous n'arrivez pas à vous libérer l'esprit. Prenez garde de ne pas dépenser toute votre énergie.

VIE QUOTIDIENNE : étoile étoile étoile
Les astres vous apportent une grande lucidité, et une grande clairvoyance, aujourd'hui. Vous arrivez à voir la situation dans son ensemble. Votre attitude positive, et votre enthousiasme, vous permettront de saisir les opportunités qui s'offrent à vous.

 


• Votre chiffre porte-bonheur : 8
• Votre couleur du jour : rose
• Le meilleur moment dans la journée : 17 h
• Atomes crochus : violet

 

 

 

Donc aujourd'hui, enfin vers midi, au réveil, je garde mon énergie (heu, laquelle ?) pour moi, rien que moi moi moi. Et je regarde les bruns ténébreux autour de moi, vers 17h, affichant un badget violet agnes b. Bon, ça ne semble pas trop difficile... 

 
buzz