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mercredi, 27 septembre 2017

The happy birthday song

Là tout de suite maintenant je viens d'avoir une grosse envie de réécouter cette chanson qui m'a donné tant de plaisir (un peu masochiste) en 2007 : The happy birthday song d'Andrew Bird. A l'époque j'avais mis ici un clip fait par un mec d'une province américaine sans intérêt mais qui avait son charme. 10 ans plus tard j'ai retapé le nom de la chanson et de l'artiste sur Youtube et sur tous les live pas une ne me plaît (ni le côté poseur du chanteur qui pense faire un truc arty folk de malade pour l'usine TED ni les autres dix mille version live qui à l'époque n'existaient pas sur Youtube).

 Et bien le mec ne me fait plus mouiller ni ne m'émeut à se la jouer Jeff Buckley du violon folk pop indie relou sur ses live de seconde vie d'artiste, en revanche la version de cet étudiant anonyme qui célébrait l'anniversaire de son pote et bien c'est de loin la meilleure illustration de la peine à grandir que cette chanson m'évoquait : de la simplicité triste et jolie, une belle entrée en âge.

Bref, c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures confitures.

Tout ça pour dire, Andrew Bird est mieux sur disque qu'en live (je vais me faire haïr sûrement en disant ça). Et je vais même tendre la perche pour me faire fouetter sur la place publique : moi qui adore la musique, je vais vous avouer un truc : j'ai toujours préféré la version album que le live (sauf rares exceptions). Allez, pendez-moi.

Bisous et bon anniversaire à qui veut.


mercredi, 09 février 2011

{enfant de porcelaine, adulte aux traits tirés, un truc au milieu sûrement}

Repartie dans mon trip de 2007 où j'écoutais en boucle The happy birthday song d'Andrew Bird. Qu'est-ce qui a bien pu se passer en 2007 qui se reproduit aujourd'hui, je cherche... Mais cette chanson, ...

ANDREW BIRD, JE LE VEUX SUR LA PLAYLIST MP3 BRANCHÉE À MA TOMBE ! (Je compte sur toi Caro, hein, parce que si mon père fait la playlist, vous n'aurez que du Elvis, du Trenet et du Paolo Conte à écouter - ce qui n'est pas si mal.)

 

C'est chiant comme son (je trouve pas moi), monotone tout ce que vous voulez, mais allez savoir pourquoi, j'ai l'impression que c'est mon frère ou moi qui la chante, ça m'émeut toujours autant depuis 2007.


podcast

Il y a bien de l'émotion ce soir en (re)découvrant cette dédicace derrière ce tableau accroché dans mon ancienne chambre d'enfant et d'adolescente, que ma mère me donna après l'avoir récupéré on ne sait où...

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(Je suis encore plus émotive que la plus tartignolle des héroïnes de Dawson en ce moment, ça m'agaçe - je fais un lien avec les règles que j'ai eu 4 fois en deux mois - pilule du lendemain... à 30 ans, ça se vit mi-figue mi-raisin.)

(J'espère pour moi et pour vous que je tomberai pas enceinte avant d'avoir fermé ce blog sinon je vous perdrai tous et récupérerai les mères relous qui idôlatrent leur nains pendant que papa travaille. Triste agonie que je ne veux pas mienne. Vite, des vacances ! - ça ne m'empêchera un jour de devenir une de celles que ma mère détestait à la sortie de l'écolle, en moins pire je l'espère.)

Le plaisir de la nuit après avoir lu que mon père me chérit, lire ça et réaliser que le flou professionnel à côté, ça me fait quasiment rien. Je suis bien. J'ai juste bu deux verres de chianti de trop. De trop, façon de parler. J'ai bu, c'est tout. Et je dormirai neuf heures sans me réveiller à 4h35 et à 5h47, et ça c'est bien.

Je devrais vraiment changer la baseline : Confessions d'une parisienne bobo et cucul qui ferait mieux de faire un môme pour accoucher de ses vrais désirs. (quelle horreur ! c'est le chianti qui me fait écrire ça)

 

Edit : Quand on écrit les choses suivantes sur le statut d'une copine qui dit vouloir aller au Japon (et que dans le même temps un pote de pote nous envoie des messages from Portugal pour nous dire comme on est sympa et douce), il doit être temps d'aller se coucher... (arff ?!)  :

_ les cerisiers en fleurs à Kyoto nous verrons

_ et l'expat qui nous fait l'amour sur un matelas à terre comme dans juliette je t'aime (oops je sens que je déborde du cadre idyllique de la conversation)

_ ou en culotte en tulle sous le cerisier avec à terre sur les pétales morts des hommes qui attendent notre sève (merde là je déborde vraiment de trop)

_ mais si je rajoute le père de Lucile (amour et rock'n'roll) la langue à terre qu'il en peut plus de voir deux minous occidentaux, ça vire en mode ricky larsen censured non ?