Made in Rive droite

Alarm Will Sound performs Aphex Twin

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Daedelus

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Chapi Chapo & les petites musiques de pluie

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la musique d'ambiance du site du Bon Marché.

Etonnant.

J'adore.

Sortons du milieu liquide tous ensemble.

(J'ai bien aimé qu'elle me dise à moi et rien qu'à moi parmi toutes ces filles que j'aimerai cette sensation le jour où je la découvrirai.)

Et pendant que nous sortons doucement de ces journées et nuits douces et impertubables, discrètement je me demande "A quoi bon ?", un petit "Ooh you hurt me so" qui joue au loin, le défi du lundi sera : voir plus loin qu'un beau moment. Croire, donner une petite chance au courageux garçon qui m'embrasse avec cette pudeur pré-adolescente, ce garçon qui s'entêtera. La semaine et les autres à venir seront chouettes, je suis comme Johnny : envie d'avoir envie, yeah babe ! Je reste sur mes gardes à causes des récentes grandes déceptions mais j'ai bien envie que cette semaine soit celle des premiers émois revisités.

Qui sait après tout !

(Il a fait russe LV2, il ne peut pas être si mauvais, je me dis.)

Sur ce, j'ai du travail et trois oranges qui n'attendent que moi pour être pressées.

Avec zéro degré d'objectivité je laisse le dernier Art Mengo me faire danser dans un champ de coquelicots.

Et puis embrasse-moi, embrasse-moi encore, pour joindre le futile à l'agréable ma belle...

Puisqu'une bise légère, il restera dans l'air, une envie en chanson...

Bagatelle bagatelle

puisqu'une bise légère...

Bagatelle, ART MENGO

(Envie de tout plein de nouvelles bises sous un ciel qui pleuvine pour la jolie chute funambulesque. La nuit sera courte et on s'en fout ! Elle avait raison, il pleut des hommes, fallait me dire plus tôt qu'il suffisait d'avoir des yeux charbonneux et de tendre les bras !)

Elle est marrante, cette nuit. Restée à demeure pour du travail comme toujours en retard (je n'ai que deux mains et 24 heures par jour, je veux bien mais depuis que j'ai arrêté la dope, tout se fait moins vite c'est vrai), mes pauses courriels se font internationales et j'aime ce qu'on me dit des quatre coins du globe. Des dizaines de milliers de kilomètres et pourtant deux seuls sujets majeurs. Il est 3h41, j'ai eu le temps d'accomplir les tâches (note pr moi : ménage dimanche), converser, ricaner et "spleener" et moi c'est maintenant que je suis prête à twister. Mais je ne suis pas avec Zaza & et les mecs à Berlin (je vous hais,Zaza oublie pas jageirmeister), je suis à Paris et tous les potes baisent ou n'entendent pas leur iphone.

A 3h44 j'ai envie d'écouter cette chanson aussi triste que boostante (pardon j'ai mis mon cerveau en stand-by), merde j'ai la pêche et rien à faire à part me foutre au lit et lire.

Faudrait jamais rêver, ART MENGO (la faute au mec qui place correctement ses fesses dans son jean, je t'aime fidèle, 4 ans putain...)

Hmmm, moi demain c'est robe derbies chapeau melon et twist again, et puis "y a dans le vieux salon des rêves ensommeillés".

Constat brutal : j'ai rien mangé d'autres que 2 yaourts et 3 bananes ces trois derniers jours. Demain, du temps pour moi et les potes !

Et puis ça mine de de rien...

PS : tu as raison, faut que j'arrête de bosser, je me sens déphasée à un point tu n'imagine pas. Il est temps de faire n'importe quoi. (comment vais-je faire pour comprendre tout ce que m'explique ma compta demain à 11h ? aïe. Et alors New York avec David K., c'est quand ? Blague. Ouh qu'elle est drôle, Caro elle est pour toi celle-là !)

PPS : J'aime bien avoir des mois down et d'autres overbookés par en plus des projets personnels mais j'ai comme la sensation de passer à côté de l'essentiel... Je ne sais pas encore qui sera la victime demain, mais il y en aura une, et la pauvre elle va suer comme jamais ! c'est dit, je m'y tiens (OK la vérité j'ai une petite idée du nom de la victime, ça sonne "neige sur un banc et gants oubliés", ne vous en dirai pas plus. Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiip

Parce que Jacno, les Stinky Toys, et surtout le duo le plus beau qu'on ait jamais eus (je vais loin je sais mais j'aime tellement Elli & Jacno, tellement que je me fous d'emmerder tout le monde à mes soirées à passer tous mes Oh Là Là et autre Main dans la main alors que tous ces cons râlent en n'y comprenant rien à rien), tous ces putains de souvenirs heureux ou désastreux... Un de ces artistes qui ne m'a jamais lassée, et ils sont rares.

C'est pas mon style de faire des notes suite aux décès de Untel ou Machin mais là, franchement, ça me fait chier. On était peut-être pas nombreux à l'attendre, mais moi la suite du Baiser Empoisonné, je la guettais furieusement.

Les Nuits de la pleine lune reste toujours parmi mes 25 chansons les plus écoutées selon iTunes.

Putain.

T'oublier, Elli & Jacno

Je t'aime tant, Elli & Jacno

Rectangle, Jacno

il y avait le Popup Bar l'hiver dernier pour le lancement de VitaminWater, la boisson que tu sirotes une fois comme une conne parmi le sheptel sur place et que tu oublies aussitôt rentrée. Maintenant, tu as le sac customisé par André  qui accompagne ces boissons. Evidemment, ils te font encore le coup de l'édition limitée et de l'exclusivité Colette. 50 euros le sac denim neige de merde André.

Je sens que je vais adorer croiser les nazes qui arboreront fièrement leur sac André Vitaminwater...

Quelle bande de cons, je te jure !

Huxtable Residence sound bite The Cosby Show sound bites

Un garçon qui me trouve resplendissante et même mimi avec ma moustache de chocolat chaud, les tatouages de dragons sur le corps de Samuel Etienne, A smokey room d'Eliza Doolittle, Les Années difficiles de Henry Bauchau, Ce Qui est perdu de Vincent Delecroix, un texte qui m'a émue au réveil, lire au réveil demain je commence, changer le bureau de place, sourire en observant la pigiste de l'immeuble d'en face lorsque comme moi elle regarde par la fenêtre et sèche sur l'angle d'attaque, rayer Paule Ka de la liste et se dépêcher de tout terminer pour

la chute funambulesque du week-end.

Rester du matin jusqu'au soir devant l'ordinateur (avec parfois des pauses aussi folles qu'une course aux Impôts pour leur demander pourquoi il y a 3 583 euros que eux calculent et moi ignore), en plus de vous éviter d'avoir à fumer du shit pour découvrir dans le miroir aux alentours de 21h des yeux aussi flippants et apathiques qu'un animal en cage dans le laboratoire top secret des fils Bogdanov, c'est que ça aide à ne pas vieillir. Et par là j'entends garder tous les réflexes adolescents au mépris des ridules (pas sur moi, sur les copines, tu penses bien qu'avec tout l'alcool et les merdes que je m'envoie si rarement dans le cornet, c'est impossible qu'un matin je trouve ma gueule frippée comme ta mère, nan impossible). Bref, oui, je peux le dire :

Grâce au Net, j'ai su rester jeune à l'intérieur.

Mais jeune, limite la pré-pubère agaçante qu'on espère ne pas avoir comme belle-fille un jour. Le genre pré-ado abruti comme ces nanas dont tu te servais comme têtes de turc au collège (genre la bande de Johanna saisplusquoi et Aline, les filles qui ne rataient aucun épisode d'Helène et les garçons et se demandaient comment enfiler un Tampax quand maman labelisée imbaisable de toute manière ne leur achetait que des serviettes ultra épaisses qu'on distinguait sous leur cycliste bleu et rose acheté chez Go Sport pour le marathon de l'année à Pershing - fallait voir les vestiaires filles de saint mich, ah c'était beau c'était royal !).

Jeune dans le sens que...

La fille de 29 ans derrière ce blog ne se lasse pas des deux premières saisons de Skins, à tel point qu'elle a mouillé dans sa culotte (Topshop, imprimé fleur, avec soutif assorti, ravissant, reçu samedi) le jour de cette sainte semaine dernière où Mike Bailey est apparu sur son écran. Ah ouais, Mike, ouais !

OUI, JE PASSE ENVIRON ** FOIS ICI : twitter.com/mikebailey01

Et non, je n'ai pas honte !

Année de naissance : 88

En 88, je dansais avec les Mini-Star et regardais L'Ours Gabby sur la Cinq.

Année de lamortquituetout : 2009

Voilà, grâce à Internet, je suis devenue accro à ça :

Майк я люблю вас, женятся на мне

Tu vas pas me dire qu'ils n'ont pas trouvé mieux que Les Aimants et Un Roman Français ! Même si j'aime Parisis, qui s'améliore à chaque roman et dont le dernier m'a profondément touchée parce que transfert blablabla, faut arrêter de nous faire croire qu'on atteint les sommets ! je préfère largement des auteurs comme Toussaint (Faire l'amour), où le travail de l'écriture prend vraiment son sens.

(Je lirai Ovaldé, tout de même, pour vérifier...)

Enfin bon, les Prix de toute façon, on savait déjà comment ça fonctionnait. Mais ça m'énerve à chaque fois, il n'y a rien à faire.

(La cerise sur le chapitre, c'est tout de même la présence de PPDA dans la sélection.)