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samedi, 17 novembre 2007

Norman, l'écho

Un sujet sur Norman Mailer dans Esprits Libres. Une interview. Comment vivait-il son pays ? "Je l'aime. Je le déteste. Je suis furieux contre lui. Je suis proche de lui."... et ainsi de suite, tout en contradiction.

Un homme qu'on qualifiait de provocateur.

Quelle est votre définition de la provocation ?

 

 



samedi, 9h53 : Gérald Genty sur iTELE. On commence enfin à parler de ce mec, il était temps ! Petite chanson en douceur pour ce samedi matin (que j'écoutais en décembre l'an dernier, la phase pourrie de 2006 pour Jen) : L'avion. Un tour sur iTunes, allez !

vendredi, 16 novembre 2007

I'm dreaming of a white Christmas...

Sinatra depuis l'après-midi.

Je rêve de me lever le matin et de découvrir des toits blancs, une cour pavée puzzle, des faux gens heureux dans la rue, un sapin et des cadeaux partout au pied, une odeur de clémentine plutôt que des cendriers dégueulasses... Ca y est, j'entre dans le trip Noël avec mensonge et bonheur. Je suis une petite fille, je vous jure, ça m'a pris comme une envie d'arrêter de baiser. ;-)

 


(Ne pas penser que chaque acteur une fois la scène tournée filait picoler, se taper une pute ou se faire vomir, rester dans l'image d'Epinal, garder le sens magique du Noël mytho, merde laissez-moi avoir sept ans !)

 

JE SUIS HEUREUSE ! 

  

 

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Edit : Je trouve ça cucul guimauve relou mais comme il semble que je sois tout cela aujourd'hui, un petit coup de buzz pour La Journée du Bonheur

Si ça vous branche d'ajouter la journée du Bonheur sur le calendrier, c'est là-bas, signez le manifeste et... souriez. (une journée pour se sentir heureux, c'est con, trop ricain comme concept, l'impression d'entrer chez Gap. Inutile donc indispensable, mouais, pas toujours quand même. enfin je dis ça suis une pourrie, je fais du buzz de merde, désolée mon chéri mais merde, je t'avais dit, je trouve ça guimauve votre truc bon mais si, JOURNÉE DU BONHEUR POUR TOUS - là, je mens, suis trop la française type pour aimer ce genre d'idées happy face.) 

 

Edit bis : "trop ricain pour moi", la journée du bonheur mais ça ne m'empêche pas de me mettre en mode nian-nian devant des films US happy face 50's, Jen et la contradiction de bas étage. Et en plus ça me fait rire. Zou, je retourne bosser.

jeudi, 15 novembre 2007

Je veux des bébés mi-gitan mi-bobo à la mèche frisée et aux mains fines !

Maison-Boulot-Dodo (et suppo le dimanche ?...)

Faut vraiment être une connasse pour picoler en soirée quand le matin on se réveille avec une infection urinaire.

Faut vraiment être à côté de ses pompes pour aller à la banque dans le but de demander des RIB et en repartir avec un compte vide, un moral en berne et évidemment nul RIB en main.

Faut vraiment être une grosse feignasse pour trouver la rue Madame aussi loin qu'Issy-les-Moulineaux.

Je suis congelée. Petite phase d'hibernation tant que les sous ne sont pas là et que Damart n'ouvre pas une boutique à Odéon.

Damart, oui.

Et ma facture téléphone avec 170 euros de plus que d'habitude et 80 sms de merde que j'aurais dû m'abstenir d'écrire bourrée. 

Fait chier. 

Tant pis si je me mets quelques copines à dos depuis lundi, maintenant je mets du poing sur la table et je ne me laisse plus bouffer par les envies des autres. Si je veux de l'espace, je le prends. Si mes priorités diffèrent des leurs, tant pis. MERDE. Trop bonne, trop conne. Phrase de blaireau que j'applique désormais énergiquement ailleurs que sur MON visage. Et puis bosser à fond un temps au lieu de parcourir des torses qui de toute évidence manquent de saveur ne me fera pas de mal, bien au contraire. Bon, entre nous, je ne pense pas tenir plus de dix jours grand maximum mais aujourd'hui,la volonté est là. Travailler, écrire (voire même faire un peu de sport, on fait semblant d'y croire) et attendre les chèques pour repartir de plus belle dans la nuit qui m'évite mille et une questions inutiles. L'utile quelque temps, le bordel après.

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PS : Pour ceux qui aiment aussi ça (je parle du tee, pas de mes nichons hein. Enfin si tu es barbu chevelu perdu charmant et doué d'un sens de la dérision et/ou de l'improvisation remarqué par les connasses de mon espèce, tu m'intéresses) :

 

mercredi, 14 novembre 2007

Faites vos choix

Il y a le mec qui te reconnaît à La Palette et t'envoie un mail pour te dire qu'il était là, qu'il ne t'a pas saluée alors qu'il savait que tu prenais un verre ici ce soir. Je trouve ça ridicule.

Il y a au même moment Paul, le mec rencontré il y a quelques semaines en soirée (le mini-Basquiat du PP avec qui j'avais passé un bon moment au lit) qui m'appelle pour me faire savoir que ce soir il est à moi si je veux. 

 

Pourquoi j'ai mes règles, bordel de merde ?!!

 

edit 0h38 : finalement je m'en moque. Pas envie de le revoir. Jamais vraiment envie de les revoir, sauf si j'ai des sentiments naissants. Pourtant il est canon. Constat du soir : je m'en sortirai jamais !!! ;-) 

Maman, chéri et moi

10be406a48b59774587098c77f517cd0.jpgMa mère qui se déshabille, foutue comme Kate à vingt ans, en train de fumer sa clope au balcon pour exciter mon mec alors dans mes bras sur le canapé, j'aime pas trop.

Logique, je fonce sur ma mère pour la rouer de coups. (Kill Bill ou Jen, même combat.)

Heureusement, au final mon mec bandera dans mon lit pour mon minou.

 

Mon inconscient aurait-il un message à faire passer ? 

 

 

PS : Si vous ne connaissez pas encore Little Britain (honte sur vous), regardez Canal+ ce soir vers 22h, vous allez adoooooooooorer. 

 


(Sainte Rita c'est de la merde, je suis un animal, énorme envie de cul... quelques heures plus tard, j'ajoute : c'est de la merde qui dépanne quand même bien.)

 

Loney, Dear et bonne nuit

 

J'aime, ça m'apaise, m'éloigne très vite des tracas de la journée et du reste.

Le trip communion avec le public et les crevards alcoolisés en backstage, ça me fait toujours plaisir. Les plaisirs simples, sourire... 

 

Loney, Dear, Patrick Watson, Fink, Fionn Regan... N'abusez pas en période fragile (n'est-ce pas, voisin qui ne veut pas me sauter...).

 

Jen apaisée, lecteurs irrités. ;-) 

mardi, 13 novembre 2007

Cystite

Maintenant j'en suis certaine, je sursomatise.

Jen heureuse de retrouver les brûlures, la cuvette avec la bouteille d'eau et l'impossibilité de rester patiente et debout plus de vingt minutes.

Ogresse. 

 

En même temps, cela faisait quatre jours que ça brûlait et piquait au réveil... 

Lendemain d'une soirée au rythme cardiaque instable

Je ne supporte plus les gens susceptibles.

Je change d'avis comme de culottes.

Je veux dévorer un énorme club sandwich.

Rien à ajouter pour aujourd'hui, je ferai la morte au téléphone. 

I love Paris but i should live in Berlin... (selon les dires de mes potes et ex depuis mes vingt piges)

Zazie en concert privé, ça sent le renfermé. Mais PDB et moi comptions bien faire une descente au bar et ravager le buffet pendant que cette bobo dépressive chantait ses conneries post-rupture pour quarantenaires bercés à Arthur H et Calogero (la bobo pour une fois n'était pas moi et Arthur H a fait quelques bons morceaux par le passé, je ne renie pas ma discothèque d'hier). Sauf que nous, forcément, on a commencé la soirée en se mettant un petit crâne à jeûn au Vic (Ju, spéciale dédicace, my love: on a vu le mec qui bosse à l'hôtel, le vieux qui a dit être jaloux en me voyant aux côtés de Monsieur Urbaniste en devenir ; j'ai cru qu'il me complimentait mais non, j'ai appris par la suite qu'il était gay. J'ai ri mais l'ai traité de petit con - oui, de petit con malgré ses soixante ans largement dépassés), voir si Léon a baisé assez de putes en Thaïlande. Léon n'était pas là, les chiottes étaient toujours aussi calmes, les Harry fils de diplomates toujours là avec leur oreillette bluetooth et nos verres aussi vite recommandés.

Puis quand même, on se pointe au 34 pour manger un bout pendant que les pétasses en Z&V (comment ça, j'en suis ?!!) et les bande-mou chantent en choeur les refrains des faces sous-B du dernier album de Zazie. Mais que vois-je ? Plus de buffet, plus de champagne, juste une foule de gens en noir et bleu même pas Klein pour Zazie et absents pour Yael Naïm. Je ne suis pas sectaire, à chacun ses goûts, les miens diffèrent des convives ce soir. Pas de problème. Pour être honnête, j'ai quelques titres de Zazie dans mon iTunes, téléchargés après une rupture à la con l'an dernier. Et j'apprécie ces titres pour leur facilité et leur volonté de me faire chialer quand  le connard que tu aimes te quitte, en somme je kiffe pleurer sur des textes qu'une blogueuse dans mon genre pourrait pondre un soir de novembre (ouais, je pourrais écrire du Zazie, si tu penses le contraire, tant mieux, je préfère faire pire - si je dis mieux Stan va me claquer les fesses -, ou pas, m'en fous bordel j'écris des parenthèses trop longues !). J'aimais même assez la nana malgré son côté Enfoiresque hertzien (Arte est hertzien, Arte aime Rhomer, J'aime donc le hertzien qui se branle la nuit) mais mon ouverture d'esprit a ses limites quand il s'agit d'entendre une fille aux pieds nus tenter de séduire les divorcés encore amoureux. (En ce moment, je suis si peu altruiste envers le moindre "imbécile (mal)heureux" sentimental que j'en arrive à la conclusion qu'une fois artiste-mère-parisienne-amie-d'Obispo-anti-starAc mais quand même fan-de-La-Tortue  et/ou en bataille avec les morveux adulescents abonnés à  la mule on devient encore plus vide, aigri et ennuyeux qu'on a pu l'être devant un comptoir rempli de verres bus en criant "légèreté"). C'est triste et consternant pour mon amie P. qui se marie bientôt (ne mens pas, je sais que mon discours de vendredi sur le couple t'a surprise mais t'inquiète, ce n'est qu'un passage à vide rempli de souvenirs heureux et essentiels) mais je pense sincèrement aujourd'hui que la vie de famille rend con, annule la créativité pêchée et/ou volée innocemment au gré des nuits détachées du Lendemain, le fameux qui rend des amis comme biiiiiiiip à moitié vierge six mois de l'année (j'en étais, j'en serai de nouveau avec bonheur mais là, non, c'est bon de vivre cette phase considérée comme masculine pour encore trop de filles)... ouais bon t'as raison, je dis de la merde, suis pas super explicite mais bon, merde, t'as pigé la philosophie du moment : pas de responsabilités.)

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 (Là, tu te demandes pourquoi je place ce visuel ici, maintenant. Et bien, pour le savoir, il faudra attendre que je rentre de Berlin. Mais avant cela, il faudra que je prie mes chéris d'empêcher le parisien de se barrer en Argentine.) Parenthèse enchantée-ravie-de-te-connaître terminée.

 

Nous repartons. Direction rue de Buci. Toasts Poilâne fromage et vin, ne changeons pas toutes les habitudes. Et putain, ce train qui fait chier, ce train qui force à la raison alors qu'on voudrait du n'importe quoi. Mais là c'est moi qui reste sérieuse et préfère ne pas boucler un sac en quatrième vitesse pour quitter la capitale. Je rejoindrai le feu de cheminée, le champagne avec les gauchos caviar, les spliffs dans l'herbe qui gèle les fesses déjà dead et le dancefloor du Macumba local seulement samedi. Samedi parce que sa meuf sera partie et que je ne veux pas de regards suspiceux à la con, samedi parce que je me dois de bosser cette semaine, samedi parce que je ne suis finalement pas si irréfléchie que ce qe les lecteurs arriérés, les ex abrutis et les cons en général veulent bien penser. A moins que ce soit moi la conne, la fofolle, l'hystéro. Comme dirait ceux qui vont dans mon sens, "qu'est-ce que t'en as à foutre de ce qu'ils pensent ?!!". Evidemment on aime toujours entendre ce qui ne contrarie pas notre mode de vie présent. Mais malgré les apparences, je suis exigeante avec moi-même, et autant avec les autres. Pourquoi je dis ça ? Deux secondes, je prend la cuiller en bois et mélange les x images et dialogues enregistrés dans mon cerveau fatigué. Ah oui ! donc... oui, j'écoute ceux qui me disent de me contre-foutre de l'opinion d'autrui (sinon je me serais déjà éteinte depuis longtemps) mais croyez-le ou non, je commence à penser qu'il n'y a vérité que dans la peur. Ouais bon ok, rien de nouveau. Mais pour moi, si. Un choix à faire, un choix de vie comme disent les vieux. On verra bien où les rencontres, les désirs professionnels et The Whitest Boy Alive et le dwoner (hmmm, le kebab berlinois disco, je maîtrise pas encore, faut que je prenne des cours d'allemand) me mèneront. Berlin... Paris...

 

Aujourd'hui, une trentenaire s'est jeté du sixième étage pendant que son compagnon dormait. Ca refroidit quand tu apprends ça par téléphone au réveil, ça laisse pensive quand PDB te parle de la ville que tout le monde t'imagine accaparer à merveille. Alors tu rentres et encore une fois tu sens en toi une soif de liberté, de nouveauté qui, tu le sais, devra arriver à bon port. 

Samedi, je file chanter du Delpech à la campagne... 

 


podcast
 

PS : Désolée c'est lourd, long, bourré de parenthèses mais vous remarquerez que l'alcool n'a pas pris le pas sur l'orthographe. Enfin je ne crois pas. Relecture demain.

PPS : Je ne comprends pas pourquoi ex au pluriel devrait prendre un s.

PPPS : je viens de renifler dans mon pull, demain une trace de limace me laissera honteuse un court instant et je me demanderai encore comment les autres font pour ne pas péter, ronfler, empuantir les cabinets, gérer les Tampax usagés bloqués au fond des chiottes à réparer depuis des mois, concevoir de toucher par inadvertance les culottes et les caleçons objectivement incorrects en les envoyant dans la machine à laver, détester les pets de foufs trop récurrents, refuser les poils dans la baignoire, comment on fait pour vivre en couple longtemps et aimer ça ?  (J'ai pourtant vécu deux ans avec un mec mais j'ai tout oublié. Je me demande aujourd'hui comment j'arrivais à faire caca quand lui était sur le canapé à deux mètres. Mais je vous assure que vivre avec un homme et un nain, un jour ce sera mon plus grand bonheur. Mais là, non.)

 
buzz