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mercredi, 05 mars 2008

Les petites filles sages et polies (clin d'oeil aux preum's)


Enfin ça n'empêche, je crois bien qu'il est un peu plus con que je ne le pensais. Pour un mec éduqué par des femmes, le bougre a encore du chemin à faire... qu'est-ce qu'il peuvent être nazes quand même ! J'aimerais bien retomber amoureuse, sur mes pieds célestes, vite.

mardi, 04 mars 2008

Jen les deux mains gauches

Pour le boulot, j'ai testé un truc qui plaira aux filles incapables de se peindre les ongles en rouge sans déborder : le nail patch. Ce sont des adhésifs colorés selon vos préférences, il suffit de les poser délicatement sur les ongles et ça tient pendant 11 jours (chez Sephora). Franchement, je pensais que ce serait de la merde mais non, le résultat est plutôt cool. Sauf que... Je suis en train de les enlever et alors là, je t'explique pas la galère ! Je pensais qu'ils s'enlèveraient hyper facilement mais non, genre pour en enlever un seul je mets dix ans, impossible de l'enlever d'un coup ça me fait plein de petits morceaux, fait chier !!!

Donc voilà, le nail patch c'est cool mais faut être patiente et moi je ne le suis pas pour un sou ! Plein de mini bandes rouges sur le tapis et le bureau maintenant, great...

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Conclusion : Non seulement je veux un secrétaire mais désormais j'exige également une manucure à domicile.

 

Edit : Pas possible d'être aussi conne... En fait, ça s'enlève au dissolvant. Trop tard, j'avais déjà niqué mes ongles quand Cé me l'a dit. 

I wish i was a boy

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Je mange en moyenne cinq oranges maltaises par jour depuis samedi.

J'ai l'abnégation de Vahina Giocante dans Riviera.

J'ai l'impression d'avoir un coeur de pierre depuis ce matin.

Les hommes sont des pions, je ne suis pas sincère, je mens je joue je perds et gagne un peu plus de liberté à chaque fois.

Personne ne compte. Ni eux, ni elles ni moi.

J'avance je trace je coupe je triche.

Le bonheur ricane-t-il des cendres de nos belles illusions ?

Le bonheur se ferait-il sournois au point de se déguster froid et distant ?

Et si, et si... si peu, si fort.

Tout est possible désormais, mais rien ne sera plus gratuit.

Jusqu'à dimanche tout du moins. Jusqu'à ce que le sac bleu Champion ne compte plus une seule orange maltaise.

La vitamine C, j'aime.

 

Tu reconnais la voix de Muriel Moreno ? Non ? Bah si. Si tu n'aimes pas ce titre, viens que je te coupe... un quartier.

lundi, 03 mars 2008

La nuit rive droite porte conseil

Hier, 15h, rendez-vous avec l'andalou pour un ciné et surtout me changer les idées. Incapable de me concentrer sur mon travail, je choisis l'irresponsabilité. Evidemment, nous aurions dû le prévoir, le cinéma tomba à l'eau, ou plutôt à l'alcool. Une nuit à boire, à laisser échapper quelques trémolos au début puis enfin à rire et à faire n'importe quoi - nous sommes très forts dans ce domaine. Dans le n'importe quoi, j'ai eu la connerie de laisser l'andalou bidouiller mon portable, impossible de le rallumer depuis (c'est quoi ce putain de code puk machin ?!! je trouve plus ma notice, c'est la merde).

Au réveil, je l'entends discuter avec sa fille au téléphone : son hamster est mort hier soir dans ses mains. Je l'écoutais la consoler : "Oui,c 'est dur. Dis-toi que c'est fragile ces petites bêtes, ça va aller, avec un peu de temps..." Et à son autre fille, qui a également beaucoup pleuré la veille, il termina par lui conseiller d'aller jouer à la Nintendo. J'ai ri, c'est toujours difficile, j'imagine, de dire les bonnes choses à ses nains dans de telles situations. Il termina par leur dire je t'aime. Au réveil, j'ai pris ces dialogues pour moi, le prof de français était un hamster et je vais jouer à la Nintendo pour oublier. Oui, ok... sourire. Mais je ne sais pas, je me suis réveillée avec les idées plus claires, moins douloureuses, seul un léger brouillard qui rend les choses plus simples dans le métro.

 

Oups ! Entre la dernière phrase et maintenant, j'ai laissé quelques verres dans les toilettes. Je viens de vomir le hamster ! 

Tout ça pour dire qu'aujourd'hui je ne me sens pas triste, je n'ai pas envie de le pleurer. Je trouve toujours aussi con le fait de m'avoir quittée un mois avant son départ, je trouve toujours aussi con de ne pas passer du bon temps ensemble pour le temps qu'il nous/lui restait avant son départ en Argentine mais si ça ne lui disait plus rien, alors tant pis. C'est bien con quand même, ça plaisait à mon ventre de l'avoir dans mon lit. ;)

Je me remets au boulot, je me remets en mode "sans toi, sans un Lui" et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes de Jen.


podcast

PS : Oui, un coeur d'artichaut.

PPS : Le commentaire de Jean-Baptiste... super ! Alors comme ça je suis le genre de fille dont il ne faut surtout pas tomber amoureux ?!! Bah merci, ça fait plaisir et ça rassure énormément ! ;)

PPS : Un rayon de soleil tout de suite maintenant, cool ! 

PPPS : C'est quand même drôle de guérir surmonter une rupture grâce à l'homme qui m'a fait pleurer comme vache qui pisse il y a un an.  

 

Rien à voir mais c'est vrai que leur son est bon (oui enfin bon, moi je trouve ça pas mal, je suis peut-être la seule remarquez.. ;p) :

samedi, 01 mars 2008

La "petite pute" souffrira en silence cette fois

 J'ai aimé quelques nuits d'hiver.

Puis le rideau, encore lui.

C'est douloureux à l'intérieur, la boule au ventre, gorge serrée, les yeux noyés d'espoir déçu, la peau en rehab forcée, je n'aime plus être la fille géniale des uns et des autres. Les hommes que j'aime se lassent vite de moi, je ne suffis pas, douloureux d'être abandonnée quand même. Toujours le même refrain pour tout le monde, toujours aussi déchirant à chaque fois. A chaque fois, Barbara... Pourquoi j'aime toujours des hommes qui ne veulent pas de moi longtemps ? Pourquoi je suis tombée amoureuse ? Sensuelle et sans suite, Gainsbourg... Pourquoi ai-je voulu croire que l'amour était possible ? J'y ai tellement cru, j'ai eu tort. Demain, tout recommencera. Demain brillera. Demain mentira aussi. Fatiguée de cette rengaine.  

Ca ira mieux demain. Ou après-demain.

 



(Il aura fallu attendre la rupture pour devenir la bienvenue en Argentine. Coeur à l'envers, monde à l'endroit.)

Ouais bon allez, pas de mélo, désolée j'arrête. Je pars pleurer sous la couette en cachette du monde, c'est mieux.

 

Edit : j'arrête pas de pleurer, c'est comique : les mouchoirs, les crises soudaines de larmes avec les petits bruits, le menton tremblotant, dans le lit avec ma boîte de Kleenex et un seul désir, être dans ses bras. Et ma mère qu'il faut que je rappelle pour dîner ce soir avec la famille au resto, je vais jamais y arriver...

Je crois que je vais peut-être rejoindre la miss à sa soirée de coloc', picoler un peu, crever un peu pour sourire et sortir ma voix de crécelle, galocher un barbu charmant comme hier soir, oublier mon chagrin dans les bras d'un autre, mouais. Mais merde, c'est lui que je veux moi ! j'étais si bien dans ses bras, ses baisers, sa chaleur... il me manque. Je m'en veux d'être dans un état pareil quand de son côté lui semble vivre plutôt bien la chose, je m'en veux de me rêver encore dans ses bras, je m'en veux d'être aussi conne. Je lui en veux un peu de ne pas nous donner ces quelques semaines à deux, c'était chouette merde, pourquoi arrêter quelque chose qui n'a jamais commencé ? encore envie de lui, encore envie de sentir sa main caresser la mienne, son regard doux un peu dubitatif à certaines heures, bref fini Jen, c'était bien, maintenant oublie-le.

 

Edit bis : un coup ça va je vois la vie à la cool, distante de tout, un coup je m'effondre en larmes. Elle est belle cette expression, s'effondrer en larmes. 

 

Le pire, c'est quand la rupture est bien "faite", les deux protagonistes se font un clin d'oeil, se serrent la main, bref quelque chose de très sympathique, genre je te quitte mais t'as vu ce soleil magnifique aujourd'hui ?!!... enfin dans l'esprit, c'est ça, c'est bien et naze à la fois. on ne peut pas forcer les sentiments mais si j'en avais le pouvoir, je ne me gênerais pas. quoique.

 

Quand on y pense, c'est quand même d'une violence extrême ces fins de contrat, hop je t'aime plus tu sors. Et toi tu te ne dis rien, t'as pas le choix, il n'y a pas d'amour en face, tu te soumets à la dure loi de la vie et tu fais comme les oiseaux. Katoucha j'arrive ! ah ben non, elle au moins on la repêche.

 

20h : allez, motivation, cornes en mains, happy face, dîner famille. oh puis merde, m'en fous c'est un con s'il ne m'aime pas, c'est tout ! hmpfff :( 

 

(on garde le post-it, ça fera un souvenir (sic) : 

On reste amis ?!!
ah putain...
adieu les baisers de Dracula, adieu les orgasmes, rebonjour les autres !
j'aurais aimé...


Je voudrais bien le prendre par les cornes mais le taureau s'est fait la malle. Je l'attends, s'il ne vient pas assez vite, je vais trouver bonheur à la hague.)

7h11

je rentre

je viens de faire opposition, ça m'apprendra à danser sur Lio au lieu de surveiller mon sac

plein de choses en fouillis dans ma tête en vrac (mais ordonnée mine de rien)

 

je ne sais pas, c'est étrange

 

autocensure de courte durée

 

mais oui, cette nuit fut étonnante et riche en rencontres

 

tea time dimanche, ok j'ai perdu ma carte donc ok les courses demain matin enfin dans quelques heures à la grande épicerie du bon marché sont un peu mises de côté mais il me reste le chéquier, l'après-midi et l'espoir d'un dimanche aussi souriant que cette nuit.

 je ne sais plus où je devais aller, je crois que je n'avais pas de destination précise, voguons, voguons... les vagues me donnent le mal de mer plaisant (surtout lorsque mes converse glissent sur ce sol pour échangistes de droite - oui, un concept que seul K. comprendrait, bien aimé cette soirée).

 

edit KD2A SPAGHETTIS : JE FAIS LE TRI DANS CEUX QUE JE CONSIDÉRAIS COMME DES AMIS, CERTAINES ONT LA MÉMOIRE COURTE ET LA CONNERIE VIVE, CERTAINS ONT LE RAPPEL LENT ET LA CONNERIE VIVE, MOI J'AI TOUT çA MAIS JE T'EMMERDE, J'AI EU BESOIN DE TOI (ET DE TOI), TU N'ÉTAIS PAS LÀ, ALORS J'AI LAISSÉ LE PAYSAGE PRENDRE DE NOUVELLES COULEURS ET TU SAIS QUOI ? C'ÉTAIT CHOUETTE. MERCI À CES TROIS HOMMES. 

mardi, 26 février 2008

Moi aussi je veux être ton 5 à 7 !

Mais le 7 à 5, c'est pas mal non plus. 

 

Le papillon

Il y a un papillon de farine qui vole chez moi. Evidemment, gauche comme je suis, je n'avais pas fait le rapprochement avec la vidéo jointe dans la note précédente, On a tuesday de Linoleum (vraiment, réécoutez cette chanson, elle n'a pas vieilli). Amusant.

Simplement je voulais montrer quelques oeuvres d'une artiste découverte récemment (honte sur moi) : Klara Kristalova. Très féminin, certes. Un peu borderline façon Devastee. 

Chrysalide, papillon, mite, trou, exsangue. Et après ?

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Après, tu te fais niquer par Teddy Bear alias Fantomas le vengeur masqué !
 

podcast
 
 
(J'aime bien ce petit papillon, je ne le tuerai - peut-être - pas finalement. J'aime l'histoire qu'il a provoquée devant ces oeuvres, petit papillon tu survivras et tu pourras  faire des trous des petits trous partout où tu le souhaites.)
 
PS : Si un jour j'ai un enfant, faudra que j'évite de conter des histoires de la sorte, il risque d'être un peu perturbé. Je dis ça mais c'est tentant d'essayer, juste pour voir si ça donne un dépressif ou un garçon bourré d'imagination !
Oui, je viens de réaliser que j'imagine avoir un garçon un jour. Ce n'est même pas un choc. 

 

dimanche, 24 février 2008

"Bah alors casse-toi, pauvre con !"

Mieux vaut en rire... (Cela dit, ça me fait vraiment rire. Tellement déplacé, tellement vulgaire qu'on peine à le croire, même le plus cartésien d'entre nous hésite entre rire, pleurer ou se frotter les yeux !)

Petits de la primaire, prenez exemple sur votre président qui a toujours le bon mot pour rétablir l'ordre et la sagesse... ah la la, qu'allons-nous devenir ?!! 

 

Six choses sur moi dont tout le monde se fout

Une chaîne, ça faisait longtemps. La faute à Guillaume. Le but est de raconter six tics, manies, habitudes. Hmmm...

* A chaque fois que je suis malade, je me lance comme pari personnel de réussir à ouvrir la boîte de médicaments dans le bon sens, en l'espèce celui où la notice ne me bloque pas le chemin jusqu'aux pilules magiques. Grognement et déception neuf fois sur dix.

* Lorsque le métro arrive, je me retourne, regarde à droite, à gauche, derrière moi pour être certaine que le fou de la Gare de l'Est n'est pas là pour me pousser sur les rails.

* A chaque fois que j'ai rendez-vous avec mon père, je me lave dents, cheveux, mains et me parfume afin qu'il ne décèle aucune odeur de nicotine qui pourrait créer chez lui un petit soupçon teinté d'horreur, celui que sa fille de dix ans fume.

* Je ne supporte pas de rester trop longtemps sans me laver les mains. Entre nous, se les laver vingt fois par jour est un minimum hygiénique, les autres sont sales c'est tout.

* Après relecture, ce cinquième tic, je le garde pour moi. Suivant !

*  C'est plus fort que moi depuis l'âge de huit ans, j'angoisse à l'idée que mes parents décèdent. Régulièrement, je rêve qu'ils meurent sous les bombes, dans un incendie, sur un paquebot qui coule bref des scénarios totalement dantesques desquels je me réveille en pleurant. Ca devient moins fréquent avec l'âge. Un jour, je serai quelqu'un de très optimiste, même dans mes rêves ! sourire.

 

Désolée mais je file la patate chaude à Frogita, Brg, IK, Contessa, et Charl'.

Ca, c'est fait.

 

Et pour faire un clin d'oeil à Julien qui fut assez rapide pour voir ma leçon du dimanche supprimée dix minutes après sa mise en ligne, revoici le schéma de la mort qui tue...

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Pour finir sous mes applaudissements, un tour ici ne fera de mal à personne. 

 

 
buzz