samedi, 26 mai 2007
quel jour sommes-nous ? de quelle annnée
5h21
je rentre
sur le trajet, croisé trois scouts, un 4x4 rouge et des magasins éteints, un à un
cette nuit, ils ont voulu se perdre mais moi non, au final, des crises et moi non
dans un bar une chanteuse tzignane chantait je pleurais de l'oeil droit
alors un mec m'a conseillé de courir
sur le moment j'ai voulu souivre ses coseils car le monde étaait creux
puis pouurquoi
la providence
il m'a appelée
il voulait que je p dorme chez lui
je lui ai donné rendez-vous chez D
j'ai embrassé une fille qu embraqsse presque comme moi
je le vois demain
des surprises
qui font que dans le taxi, quand passe je suis venue te dire que je m'en vais , on est là, ni triste ni hueurese
demain je lerevois
toutee lasoirée durant j'ai voulu tomber amoureuse d'un clone de mon ex idéla
puis ce coup de fil
edeux fois il appaelé
puis ce messa ge
je n'au pas ompris que c'était lui en l'écoutant
putain...
la vie et ses surptises
la providence
je vais devenirc croyante
j'ai fini d'engloutir mes pâtes il est 5h41 il fait jour
je corrigerai demain
05:35 | Lien permanent | Commentaires (13)
vendredi, 25 mai 2007
Sauf qu'il y a le soleil
12:06 | Lien permanent | Commentaires (6)
mercredi, 23 mai 2007
Rien à dire, viens humer l'air des terrasses avec moi
Thierry Frémont devant un hôtel du Ier et une consciente qui saute du toit pour se coucher sur un autre toit, d'une voiture cette fois.
La vie sans caméra, c'est mieux quand même, parfois.
Puis l'autre rive, chez moi.
Le Comptoir.
Vin blanc.
Pause méritée.
Si, si.
Oui, enfin on fait comme si.
Louxor, le soleil, la reine, le bon esprit, toutes les deux on l'a.
Auprès de ma blonde, qu'il fait bon rire.
J'aime la vie.
Bonheur de printemps pour humains vivants.
On a le droit d'être amoureuse de soi ?
Parce que je crois que j'ai la bonne clef.
Oui Paris, je t'aime.
Je te laisse, j'ai du travail.
J'ai le sourire qui dure, dans la rue dans l'ascenseur partout je t'embrasse Paris.
L'Imbécile, de lui aussi je suis amoureuse, le Katerine que j'aime, les autres aussi, j'aime ce mélange, c'est simple et juste, tant pis si ça déplaît aux hypeux, du pur concentré de vie amireuse, c'est beau tout ça, vous êtes beaux, le pavé est beau, la moto qui casse l'oreille aussi a son charme, tout, tout est beau.
(Suis pas sûre d'être en état de bosser mais tant que le ventre crie et qu'il y du pain rassis comme le mental, moi ça me va.)
Au fait... elle vous ne vous donne pas l'impression d'être dans un film fake la photo officielle de sarko ?
envie d'être dehors, l'impression qu'il est 19/20h. Bon ok je m'y mets... après le pain rassis.
à bientôt
edit 23h10 : oui bon je bosse pas, je sais... je matais les derniers comm, j'ai vu xavier donc j'ai pensé tahiti 80 et tout ça pour dire que milk man (oui moi je mets un espace si je veux) chanté par l'autre xavier et pas par aphex twin (j'aime bien les x ce soir, sans aucune arrière pensée, évidemment; je jure) et ben c'est pas mal. Mais ça donne tellement envie d'une peau laiteuse dans son cou que ben, on reste rêveuse. bon j'ouvre les fenêtres, brésilienne réveille-toi !
n'importe quoi...
(les grenouilles me manquent)
(du coup je regarde chaque nuit au moins trois fois une vidéo que j'ai faite la nuit des sons que j'entendais sans vraiment réaliser qu'ils étaient devenus mon quotidien : les grenouilles, le gwo ka du dimanche, la musique du voisin, et oui, ces grenouilles...)
22:45 | Lien permanent | Commentaires (20)
La brésilienne dort et moi je, je rien, j'y vais.
Je n'arrive pas à me remettre à l'heure d'ici. Alors bien évidemment, au lieu de bosser comme une pauvre pigiste qui devrait faire chauffer les neurones (et donc effacer toute ma tropicalisation attitude... NO WAY), je m'amuse. Avec mon Mac d'amour.
Et tu sais quoi ? Bah je me trouve canon en alien...

Et si j'avais été un ouistiti, bah je crois bien que tous les mâles auraient voulu me sauter avant de me chercher des poux. Ah non merde, ça, c'est le rôle des filles qui me voient nue. ;)... Ouais enfin je me trouve mimi en tête de cul singe.

(Inutile de te poser la question, évidemment j'ai choisi les photos qui m'avantagent un peu plus que celles où j'ai un nez en pointe et un crâne de Conehead, arfff je les mettrai un jour... Quand je serai mamie.)
Bon allez, je vais essayer de dormir pour me lever tôt et affronter tous les mails de clients qui me disent que je suis à la bourre. Ouais, ok, suis peut-être à la bourre mais je suis bonnasse alors bon, hein, y a des priorités : ici, l'idée en gros c'est juste me dire que je suis la plus belle fille du monde. Le taff après. (Heu, très chers clients qui me lisez, promis je m'active le cul, enfin le cerveau et les doigts sur le clavier se remettent en mode rapide & efficace dès aujourd'hui. Promis. J'ai dit promis, c'est bon quoi, croyez-moi !)
Et promis, j'arrêve de dire ici que je suis canon. Je le penserai juste super fort. Ok, j'arrête... ;))
Ah au fait, je voulais dire à tout le monde que je répondrai à vos coups de téléphone et à vos mails dès que j'aurai le temps. Oui bon ok, j'aurais pu trouver le temps mais j'étais soit K-O. soit dans un grand bâtiment appartenant à l'Etat soit en train de niquer mon foie soit... soit je pensais à vous très fort et c'était déjà beaucoup demander à mon cerveau vraiment resté là-bas. Boudez pas, je prends du temps pour moi moi moi et après je partage mon moi moi moi avec votre moi moi moi. Bon bref, réunions egotrip bientôt.
Je vais me coucher avant de me prendre des tomates dans la gueule.
PS : juste comme ça, mon horoscope du jour me dit de me "laisser porter par le flot". Enfin je dis ça je dis rien, évidemment je vais bosser comme une pute aujourd'hui... vers 14h. Non je déconne. Ah ah ah. Enfin s'il fait beau... Merde, je crois que je flotte, c'est grave, docteur ?
02:30 | Lien permanent | Commentaires (16)
On prend la même et on recommence
Bah voilà, il refait chaud, la brésilienne a de nouveau ses fenêtres ouvertes... et j'entends de nouveau ses "ooooh ouii ouii" tremblants et ce soir, le mec qu'elle a déniché a l'air de se démerder comme un gland. Un gland rouge mais pas fortiche. Le pauvre. Enfin bon, elle a l'air de prendre son pied donc bon. A moins qu'elle simule... parce que je l'ai déjà entendue jouir de manière plus franche.
C'est con, je voulais l'enregistrer (ça résonne bien) mais c'est trop tard, le gland a lancé la sauce. Pfff, c'est nul.
PS : Valy, tu me fais penser que j'ai du petit lait Callard dans ma valise... (Patrice, je suis devenue accro, faudra que tu me fasses livrer une caisse de Callard une fois là-bas ! ;p)
PSbis : A la fin de la bande annonce du film Le Scaphandre et le Papillon, Amalric tient un regard que je connais. Ca m'a fait bizarre.
Dernier PS : ah bah là je viens d'entendre comme une claque sur le cul, ah ah ah. C'est con merde j'ai envie de baiser maintenant.
bonne nuit ou bonjour
Dernier dernier PS : "Quand ?" Semaine prochaine, pas avant, peux pas. C'est vrai, en plus.
01:04 | Lien permanent | Commentaires (6)
mardi, 22 mai 2007
Paris je t'aime
J'avais oublié qu'à 7h13 il y avait tant de monde dans le métro.
Sentir Paris le matin, les pigeons, le soleil, le ciel bleu éclatant et moi, dans ces rues, les fringues sentant la nicotine, le ventre léger, le pas lent, la liberté.
Putain je suis canon en ce moment.
Le mec de Cannes avec ses RB, son cuir et son slim noir et sa vilaine.
Le mec de Ouï fm et son Mouloud qui ressemblait plus à M qu'à Mouloud moi je trouvais.
"Vous ne préférez pas prendre une bouteille ?" qu'il nous demandait le rouquin. "Nn, non..." Tu parles, on les a enchaînés, les verres de ce déliceux vin et ces petits toats de Poilâne au fromage et au jambon.
Et "le philosophe"... bordel quelle beauté ! Pourquoi lui ai-je dit "t'es beau t'es beau t'es beau" en partant alors que j'avais pris soin de ne pas montrer mon attirance ? Je crois que j'ai fait un léger transfert sur ce coup-là.
Et ces trois mecs... celui du milieu... il y a des regards électriques qui font ding dong à ton cerveau-coeur-ailleurs qui te laissent toute bébête.
C'est pour tous ces hommes, ces filles, ces serveurs, cette terrasse, cette ambiance bon-enfant que j'aime La Palette.
Pourvu que je recroise le chevelu à la veste beige.
Je ne suis pas amoureuse mais c'est comme si. La fidélité en moins.
Les enfants, l'été s'annonce mémorable.
Bon, faut que je bosse. Faut que je me lave. Faut que je sois à 10h30 fraîche et prête à recevoir ma mère. J'ai dormi à peine quatre heures. Je commence par quoi ?
Mettre le chauffage dans la salle de bains.
08:05 | Lien permanent | Commentaires (15)
lundi, 21 mai 2007
La (c)rétine
11:35 | Lien permanent | Commentaires (11)
dimanche, 20 mai 2007
In love whith my gouines
Yo, cousines, merci de dire à tout le monde que j'ai trouvé un taenia solium dans la cuvette de mes chiottes en arrivant... Je vous adore ! (Cela dit, c'est peut-être au voisin, hein. Ou alors il est à moi et c'est trooooop coooooool parce que ça expliquerait l'aiguille de la balance qui stagne alors que je bouffe comme femme enceinte ! ah ah)
(IK : guest star, c'est bien aussi, hein. Enfin bon, j'imagine au vu des lèvres noires de la première vidéo que l'orthographe est morte à la troisième bouteille cette nuit donc ça va, tout va bien.)
Et vive l'underground bordelais plus under que ground ! ;))
13:35 | Lien permanent | Commentaires (5)
Au dessus des nuages et après, moi non plus, je n'ai plus peur
Dans l'avion j'ai dévoré la fin d'une histoire. Une histoire qui semblait être la mienne sous de nombreux aspects. Louise, Alex, Inès et ce nouvel appartement où le poison n'entrera plus. Grosse claque : tour à tour j'ai compris ces autres qui ne donnent rien, perdu le fil de mes pensées dans mon passé, ri de toutes ces visions que je partage au quotidien et j'ai atteri. Il faisait gris mais j'avais chaud.
Dans l'avion, je sentais mon poignet pendant les secousses. J'étais passé à la parfumerie Duty free de mes deux à l'aéroport de "Pointe à Peter". Son odeur me faisait ni bien ni mal, elle m'apaisait comme un doudou pour jeune femme. Contemplative devant une telle prise de risque qui s'avéra agréable.
En rentrant, j'ai voulu trouver ma chance au hasard des rayons d'un magasin de disques pour jeunes cons et j'ai choisi un album qui m'appelait, la perle du retour.
Bande-son : Montagne buissonnière, Thierry Stremler. (titres 11, 1, 3... tous, je les aimes tous, achetez "Je suis votre homme", il ne mérite pas qu'on le vole ce sentimental-là !)
Nouvelle peau. Encore.
02:25 | Lien permanent | Commentaires (7)
vendredi, 18 mai 2007
J'ai pas enviiiie de partiiiir
Enfin si, mais qu'à moitié.
Tant pis, je resterai tropicalisée à Paris, j'aime bien.
Bon bah sûrement à bientôt pour une note "Tout de toi Gwada me manque" ou alors à jamais si l'avion de nuit s'éclate en mer, se coupe en deux et me laisse morte sans aucune chance de dire à TrouNiz'o qu'il est idiot d'avoir peur.
Petit pincement au coeur. Dernière nuit bercée par le chant des grenouilles, le bébé qui pleure de la case d'en face, le chiot Oseille qui boit son eau comme moi je lèche des Oreo, le vent qui secoue ma moustiquaire, les gros grains qui attirent les crabes, le ventilateur qui masque le bruit des feuilles qui s'agitent derrière les nacots, les margouillats muets qui parlent au-dessus de ma tête et mon bordel, étalé partout dans la vaste chambre.
J'ai pris ma dose de soleil, d'exil, de vrais cools, j'ai pris ma dose d'amour à la con, je suis prête à revenir en force : Paris, me voilà !

(Mais quand même... je boude un peu de quitter tout ça.)
03:01 | Lien permanent | Commentaires (14)





