mercredi, 25 juillet 2007
Je vous présente mon futur compagnon...
Je viens de tomber amoureuse, je connais déjà celui que j'appellerai Sécotine l'automne prochain... Ce blouson Céline sera mien.
Je ne me priverai pas non plus de m'offrir les bottes qui suivent.
Y a une boutique Céline à Genève ?
(ok)




17:10 | Lien permanent | Commentaires (17)
lundi, 23 juillet 2007
Qui est le maître des mots est le maître du monde.
"sentimental, ale, aux : Se dit d'une personne dont la sensibilité est romanesque, vive et souvent un peu naïve."
Comment composer avec les hommes quand depuis l'école on diffère sur les définitions et les champs lexicaux de l'amour !
Mon dictionnaire est un connard !
Musique : The great escape, Patrick Watson.
PS : seul le psychopathe s'en inquiète pour de faux mais je vais mieux. Plus de nausées ou presque. Pas vomi de la journée. Juste mon gros bidon qui reprend forme humaine petit à petit. Enfin il reprend juste la forme d'un ventre sans alien dedans.
PS bis : En cinq jours, je me suis tapée tout ce que le câble offre de real tv. J'ai le cerveau de Steevy.
edit 1h05 : Je ris jaune. Je viens d'expulser 1L d'Evian après avoir avalé un cachet. Et faut voir comment ça sort, impressionnant de puissance. (Mouais, mieux vaut autocensurer, je vais me retrouver avec Doctissimo sur le dos après... ni vu ni connu, je t'embrouille et personne n'a rien lu)
00:40 | Lien permanent | Commentaires (22)
mardi, 17 juillet 2007
L'escort-boy, le charmant manipulateur, me fait penser à mon ex ex.
L'ex gros con. Même voix, même façon de t'embobiner. même gos con.
Putain, presque 2h , presque captivée par la rediff de secret story, presque en train de bosser.
Putain, j'ai envie de me taper l'escort-boy.
(Agop, t'as déconné dimanche, toi...)
(Pau, je suis étonnée par un truc que tu m'as dit. Samedi, je vais vous saouler !)
01:54 | Lien permanent | Commentaires (23)
lundi, 16 juillet 2007
Good weekend comme chanterait Art Brut

22:00 | Lien permanent | Commentaires (26)
vendredi, 13 juillet 2007
Roman-photo
Retour de l'été.
Libido de chienne.
Barbie soigne sa ficelle dans le cul.
Ken soigne sa ficelle dans le cul de Barbie.
Et si on passait les vacances que nous propose le tour operator de Mr Dupond ?
Non. Restons ici. Paris sans air, Paris je t'entends, on ressort tout ce qui peut se (dé)voiler et plus encore, invitation au grand n'importe quoi.
Plaisir, j'arrive !
17:30 | Lien permanent | Commentaires (15)
jeudi, 12 juillet 2007
Dédié aux reines et rois du T alternatif (parce que, c'est tout)
Demain, je veux. Demain, mais avec qui ?
En fait, tout de suite.
02:00 | Lien permanent | Commentaires (13)
La ménagère apprivoisée
00:43 | Lien permanent | Commentaires (31)
mardi, 10 juillet 2007
Say hello to my sourire
Putain de bordel de merde, j'en ai rien à foutre. (Message à l'ex : si tu zappes mon cadeau, je déballe tout à ta femme ! je m'adore)
C'est mon jour pourri à moi aujourd'hui. Drôle, j'ai d'abord reçu tout plein de messages de mes amis testostérone et de mes ex avant ceux des copines. Non, ne rien conclure. Hormis peut-être... ce sont ceux avec qui je n'ai pas couchés/flirtés qui étaient les premiers à me souhaiter mon anniv'. Jen, arrête de cogiter, Stéphane et Sened (et Virginie, et Simon, et Pauline, et Aurel, et Sylvain, et ton père...) te le répètent en vain, arrête de te poser 36 000 questions, tu perds ton temps.
Bon, j'ai 27 ans aujourd'hui, promis promis, j'essaie pendant au moins deux mois de ne pas me prendre la tête et de ne pas faire 7 brouillons avant d'envoyer un sms à un mec à qui finalement je n'enverrai rien, estimant le sms au final vulgaire dans son aspect jeunes moineaux high tech et surtout bidon coté texte (oui mais merde, on ne sait jamais comment peser, doser les mots, vous êtes des mecs, vous comprenez parfois tellement tout de travers... ouais bon ok, j'aide pas non plus, dans le genre "jouons au contraire", suis pas la dernière). Ouais bon bref voilà, je viens de vous démontrer comment on peut se prendre la tête à cause d'un sms, donc imaginez quand je choisis d'envoyer un mail... je plaisante, je suis une fille tout ce qu'il y a de plus normale, j'exagère beaucoup là, en fait je ne me prends jamais la tête, je fais juste semblant sur ce blog pour savoir comment ça fait de ressembler à une connasse comme Lisa le cas social de tf1. Juste une fille qui ne cesse de parler d'elle (ouais enfin faut dire que du côté des potes, la vie n'est pas plus passionnante, au final on se prend tous la tête avec des mecs, des nanas, et on se dit tous qu'on planterait bien ce job qui nous plaît pour vivre à NYC et faire l'artiste pubard; donc franchement, autant parler de moi moi moi, ça revient au même que si je laissais les autres parler d'eux, oui, égoïste, oui, pour de faux.)
(Ca, c'était un texte écrit hier soir pendant que mon chien m'asphyxiait de gaz monstreusement gerbants) Quitte à passer pour une prof d'histoire frigide, moi aussi je veux encore être appelée mademoiselle (passé un certain âge, ça devient pathétique, je vous l'accorde). Le bac est un lointain souvenir et pourtant j'ai encore des boutons une fois de temps en temps, histoire de se remémorer l'âge ingrat; moi aussi j'adoucis mes lèvres avec des lipsticks à la cerise shoppés à Londres; moi aussi je suis capable de scotcher sur des mecs comme quand j'étais au collège et que le p'tit brun "Eastpack en bandoulière" de 305 me rendait dingue à chacun de ses passages dans le couloir (j'avais choisi exprès la place près de la porte pour ne jamais le rater, consternante mais stratégique), moi aussi j'ai le même coeur qu'à mes 15 ans, moi aussi je m'engueule encore avec ma mère comme une ado avec Mère la morale, moi aussi je mets de l'anti-rides depuis l'âge de 20 ans sans vraiment comprendre pourquoi depuis un an ma peau vire sèche; moi aussi j'ai toujours eu peur de vieillir; moi aussi je profite des week-ends chez maman pour me faire chouchouter et nourir comme un bébé; moi aussi j'aime voler la vedette à ma mère quand je suis avec mon père; moi aussi je fais mon ado irresponsable et désoeuvrée quand il s'agit de demander à papoune de m'aider à calmer la banquière; moi aussi ça me fait flipper de perdre un jour mes parents; moi aussi depuis la dernière grande rupture, je fuis les mecs susceptibles de me rendre amoureuse, usant de souffrir pour des bites lâches; moi aussi cette année je veux continuer le vrai faux show, moi aussi cette année je m'approche dangereusement de la trentaine. Et pourtant, je m'en fous comme de ma première colle Cléopatra (putain ce que c'était bon... maintenant on sait pourquoi on aime tant la poudre, faut pas chercher très loin): Je sais pas pourquoi mais l'année de mes 27 ans, je la sens bien, très bien. Genre aussi bien que les lèvres d'untel dans mon cou.
Genre cette année, le mec de 305, il est un peu partout. Mais en attendant, j'ai bien envie de laisser un mot sur l'agenda d'Antoine, mon ex de 402. Il était chou quand même.
Aujourd'hui, j'ai 27 ans et comme dirait mon grand ami Karl, pensons renouvellement. Je déteste les anniversaires, c'est tout simplement absurde. Mais bon quand même, fête-le moi. Et n'oublie pas la cerise...
PS : "Wouahou, je suis raide dingue de Stan : tu sais pas quoi ? on a glissés tous les deux en même temps nos mains dans la corbeille à pain à la cantine et elles se sont cognées alors il m'a regardée et m'a dit pardon puis il est reparti en replaçant sa mèche correctement ; putain je le kiffe grave ce mec ! Whouahou, c'est trop cool, faut trop que Béa l'invite à sa soirée samedi, je le kiffe trop, c'est juste dingue ! Putain les filles, vivement qu'on soit adultes pour gérer nos sentiments parce que là, je t'explique même pas comment je vis plus ! "
C'était un concentré de Jen la fille de 27 ans en 402, un spot convivial et éducatif offert par la Ligue Internationale des Nanas au QE Fleur Bleue sauce Gem&Punky&Cendrillon&Cosby Show&Samantha Micelli.
(fin des prouts du chien, fin du texte d'hier, désolée mais la nuit hein...)
(j'ai 27 ans sur le papier mais c'est tout, merde !!!)
En revanche, le coup des 28 ans de la part de Mme "Maturité mentale", mouais, merci hein ! garce !
(et juste comme ça, je répète à qui veut l'entendre que je ne veux plus tomber amoureuse, pas le temps et plus d'énergie pour mais si vous connaissez le mec parfait pour moi - donc canon, drôle, cultivé, parisien, chevelu, mélomane et imberbe -, je veux bien le recevoir comme cadeau d'annversaire.)
PS : En vrai de vrai, ça fait plusieurs mois que je m'en fous, de cet anniversaire. Ca y est, ça ne me fait plus peur d'approcher la trentaine, pour plein de raisons qui resteront perso, pour une fois.
14:10 | Lien permanent | Commentaires (35)
vendredi, 06 juillet 2007
Il surplombait le boulevard

La vie de pacotille est un poil de barbe qui s'écrase sur une joue dépucelée (d'un bouton une heure plus tôt).
La mort est une tâche noire qu'un gynéco de banlieue chic nomme complication.
La vie de bobo c'est un top 5 des plus belles lèvres savoureuses entamé au Flore après trois coupes de ciirhose.
La vie c'est constater, noyer et crever dans la volonté d'un lendemain meilleur.
Le meilleur, c'est la fuite et l'espoir.
Mon meilleur à moi, c'est "ça me saoule, il faut, alors ce sera.", mon meilleur à moi, c'est une bulle de chagrin perdue pami des milliers de connasses qui te rappellent une loi anti-tabac.
Ma vie à moi, c'est répondre "non, je ne suis pas" quand on me demande si je suis vraiment BOurgeoise BOhème pétée de fric".
Mon meilleur à moi, c'est embrasser un type charmant et avouer que le merchandising littéraire amical de mes-deux, c'est de la merde. Mon pire à moi, c'est partir en disant au type que la prochaine fois, le nom du bobo que les pouffes du VIeme afficheront dans leur dos, ce sera le mien.
Ma vie, c'est mentir. J'adore ça.
Sinon, à quoi bon ?
Tourner sa vie en dérision, goûter celle des autres, accepter la pérennité des liens mortels, c'est un peu ça, en somme. Tous ces trucs, qu'il ne faut pas dire.
C'est con mais à part tes géniteurs, personne ne saura jamais ce que tu ne vaux pas.
Ouais, suis un peu pompette. Mais tu vois, ce soir, c'était la moindre des politesses, que de l'être. Ce soir, aujourd'hui, hier et demain, tout le monde, c'est rien qu'un substitut à l'éternité. Ca veut rien dire, tu te dis, tu as raison, ça veut rien dire. Je ne dis rien, je pense encore moins. Seules deux personnes sauront qui je ne suis pas, et c'est bien assez. Les autres, qu'ils se délectent du personnage, qu'ils s'amusent, qu'ils gueulent ou qu'ils pleurent, m'en fous. Comptent pas, eux.
Ah ouais. Au fait... ce soir, après un passage éclair chez Z&V pour une dédicace de Beigbeder (évidemment que je sens bon, voyons, enfin ! Frédéric, ce n'est pas chez Z&V qu'il faut assumer, c'est nu sur mon lit avec la bible, du whisky, cendrine dominguez et FSF !), j'ai pris le temps de boire, de parler, de rire, j'ai pris le temps de ne pas parler du grave et effrayant, j'ai pris le temps d'échanger le superflu, j'ai pris le temps de rire de la vie. Ce sont les vrais qui oublient le grave en trinquant au léger. Non ? Hmm, vous avez raison... bande de pires.
01:45 | Lien permanent | Commentaires (37)
mardi, 03 juillet 2007
Go Go Charlton, le cuir et les souvenirs en rose sur un cahier rouge
Pendant que mon berlinois du IXeme bande sur Joe Dassin (la peinture blanche ?), moi je prépare psychologiquement mon cul à digérer les souvenirs. Mon cul est étonnamment épanoui en ce moment. Mon cul est formidable.
Hier, j'ai passé la nuit à bosser. Enfin, j'écrivais par intermittence. Entre Le Genou de Claire, le Djian, les sms avec l'Europe (mon cul et l'Europe, c'est grand) et la redécouverte de textes rédigés sous influence entre le 2 et le 14 juillet 2006, j'avais de bonnes raisons de rester les doigts de pieds en éventail sur mon lit, avec mes clopes, mon verre de sperme de chameau - enfin ça y ressemble - et mes mille et un souvenirs entassés depuis que je vis dans ce putain d'appart'. Ah ouais, parce qu'hier, je me suis vue le quitter. L'appart'.
Je partirais bien avec des potes, louer une maison, des apéros sans fin dans le jardin, les baisers dans la piscine, les virées dans la campagne et ailleurs en bagnole, 18 ans ou presque. On va pas rester là, quand même ! Hein ?
Si j'étais pas depuis trop longtemps ici, je m'expatrierais définitivement sur myspace. C'est pas mal, quand même. Sais pas, j'aime bien la gueule des mecs qui me parlent de toits parisiens à 5h. Faut que je fasse quelque chose de ma page putain. Sened !!!
Hey, Schuey, ça me fait plaisir que savoir que "j'suis là", de nouveau, on se faisait chier quand même. Y a pas à dire, quand t'es amoureux, t'es beau mais c'est tout, t'as plus qu'à te cacher et attendre la tempête. Et finalement, la tempête, ça a du bon.
Sinon, samedi, y a moyen que je passe à La Flèche d'or, Go Go Charlton en concert, si ça vous branche...
Involving whisky, Go Go Charlton (son - et paroles- qui convient parfaitement au mood de mon moment...):
(thanks jb)
16:30 | Lien permanent | Commentaires (11)