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mardi, 08 août 2006

Я Люблю Тебя

Aujourd'hui, je bulle, je rêve, je me balade, j'ai son sourire aux coins des yeux, aujourd'hui je savoure.

samedi, 05 août 2006

Effluves à trois euros et Thomas Dybdahl

500 euros partis en lunettes et musique.Un peu de vent dehors, un courant d'air et le parfum bon marché du voisin du dessous m'effleure la narine gauche. Parmi la musique, un album que j'aime déjà, feutré, chaud, doux, lent, mélancolie nordique. Ceux qui aiment le premier disque de Sparklehorse, Damien Rice et Nick Drake aimeront Thomas Dybdahl, je pense. Moi, j'aime. Un morceau caché à déguster seule en pleurant sous un plaid en hiver, ou pas. Et mon morceau préféré, le voici...

medium_thomas-dybdahl.jpgA_love story (Thomas Dybdahl : One day you'll dance for me, New York City)

"honey i told you that these things never last and one of these days now you`ll start dreaming of the past when life was once too short for all the things we`d do and the shots we`d call and endless summer without a fall when promises were meant to keep and nighttime wasn`t meant for sleep a love story at it`s peak doesn`t it feel good to know that you`ve been loved and doesn`t it make you laugh when you think of the day when we all got lost on the old mans farm just trying to get across it was only then i knew what love was sunday mornings that never ended and hangovers that never mended a love story at it`s peak"

 

 medium_thomasdybdahl.jpgC'est beau, n'est-ce pas ? J'aime j'aime j'aime. Mon goût des âmes tristes me perdra ! 

Envie de vous raconter mon coeur, aujourd'hui, mais m'entendre chanter les mêmes refrains, à la longue, ça doit vous être épuisant... alors je garderai pour moi les couleurs un peu opaques de mon nombril et de ma tête aujourd'hui. Ouais, mon nombril et moi, ce week-end, on est des gros pouilleux, pas de douche, pas d'eau claire et fraîche, pas de savon qui nettoie les bobos sali(e)s par les idées noires ou un peu trop grises pour un samedi. 

 

Vraiment besoin de vacances, moi... 

Méchants saumons

A chaque fois que je mange du poisson, vous pouvez être certains que je vais faire un cauchemar la nuit qui suit... Et encore une fois, ça n'a pas loupé...

medium_fuseli.jpg Après avoir mangé des sushis au saumon entre deux Dragibus (ouais, moi aussi je me déteste d'avoir craqué pour eux en les voyant au rayon "3 kilos sur tes cuisses"), je suis partie, on ne sait comment ni pourquoi, dormir chez mes parents. Sauf que ma chambre chez eux était comme il y a quelques années, les meubles avaient changé de place. Je dors et j'ouvre les yeux, je prends la main d'une copine qui dormait avec moi (ma meilleure amie gamine, Virginie), elle dormait encore. Et là, je la réveille et je lui dis que je sens, il va se passer quelque chose, j'étais vraiment angoissée, je sentais le drame arriver.

Ben tu m'étonnes, dix secondes plus tard, une bombe saute dans la cour ! Les Allemands ! La guerre et mon chien qui part mettre son parachute, et un mec qui sort du trou fait dans la terre encore en feu et qui se dit français, il veut qu'on l'aide à se rendre chez les voisins mais le salaud veut, pour cela, passer par chez nous, donc il essaie de s'introduire par ma fenêtre mais je la lui ferme avant qu'il puisse venir nous tuer. Et après, je suis dans un chalet avec des moutons, des touristes mais c'est la guerre là aussi, on doit faire la queue pour manger apparemment. Sauf que les gens sourient, normal on doit être en Suisse... Et je me réveille. Cette fois-ci, personne n'est mort. C'est rare.

Je crois que je devrais arrêter les Oméga...

Pfff, j'avais dit que j'irai chez Darty et au Labo ce matin mais j'ai la flemme, ce temps, moi, ça me donne envie d'écouter David Gray,  de buller, de mater des dvd bref tout sauf sortir rejoindre le réel. Pas envie de vivre au présent aujourd'hui. 

vendredi, 04 août 2006

Le fruit du destin

medium_joliedestin.jpgUne journée riche en rencontres virtuelle et concrète...

Shooting avec un photographe génial, c'était vraiment top : 2h30 à prendre des poses so kitsch, entendre cet homme-enfant vous dire que vous êtes jolie, lui faire la bise et se dire "merde, j'aimerais bien le revoir". Il était vraiment cool, beaucoup aimé me prendre pour une jolie fille avec ce type peinard tranquille comme moi. Ouais, j'aime bien ce mec ! Et puis une fois le shooting terminé, papoter avec lui, il n'était pas pressé de partir, ça tombe bien, moi non plus ! C'était une chouette rencontre, pas osé lui demander de m'envoyer les photos, pas envie de l'emmerder, j'aurais peut-être dû. J'ai son portable : je lui demande de m'en mailer quelques-unes?  Il part en vacances mercredi. Non, hein, rester dans le trip de la fille qui n'a pas besoin de voir sa tronche en photos, oui oui, c'est mieux ainsi.

Sinon, LE truc complètement dingue : le mec que j'ai pris en photo (cf note "Instantané volé") et bien croyez-le ou non, il est tombé par hasard sur ce blog et on a fini par se mailer, il m'a envoyé deux photos de lui (bah oui, logique, en bonne parano, je ne pensais absolument pas possible qu'un tel hasard se produise, tellement énorme...) et c'est bien lui, c'est pas incroyable ?!! Jolie micro événement.

 

Conclusion : C'est toujours quand on est amoureuse et donc plus libre que tous les mecs vraiment mignons débarquent en même temps.

Conclusion bis : C'est bon d'être amoureuse. Passer des heures au téléphone avec Lui, on se demande comment on s'en passait avant de le connaître.

 It_Had_To_Be_You

 

 

mercredi, 02 août 2006

In Bed with Jen...

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... ou comment hurler "Look at me !" 

Cette oeuvre, In bed,  de Ron Mueck m'est apparue comme une évidence : Elle, c'est moi ; Eux, c'est vous. Entre eux et Elle, l'absurde. Entre vous et moi, le blog.

 

Et pourtant je continue à me laisser épier, j'aime ça, certainement. Enfin à en croire la longévité de Made in Rive Gauche...

 

(Sauf que moi, je suis plus jolie, si, si, je vous jure !) 

 

mardi, 01 août 2006

Instantané volé

Parce que ça faisait longtemps que je ne m'étais pas retournée sur un garçon, parce qu'il a un visage androgyne, parce qu'il était beau, parce qu'habillé en Kenzo, il ferait fondre n'importe quelle fille encore un peu indécise... Un beau garçon, simplement. Typé argentin, vous ne trouvez pas ?

Jeudi 3 août : j'enlève la photo. Et vous savez pourquoi ? Parce que le garçon en question est tombé par le plus dingue des hasards sur mon blog, m'a confirmé que c'était bien lui en m'envoyant sa photo alors voilà : histoire de dingues, restons respectueux. Moi qui pensais que ce garçon était un touriste argentin, et ben voilà, il est arrivé ici et s'est vu. Si je n'étais pas follement amoureuse de mon andalou, je serais en train de me dire qu'une jolie histoire peut commencer... Mais non. En tout cas, il était beau, je vos confirme après avoir vu deux autres photos de lui : le mannequin parfait pour Kenzo, j'avais raison !

 

lundi, 31 juillet 2006

A mort le chocolat ! A mort les sentiments cuculs ! A mort la progestérone !

Je me reprends en main avant les mauvaises conséquences post Oreo... 

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Bon et j'ai retrouvé mon humeur de chienne (mal) réglée : je cherche un homme fort et nordique pour me monter cette putain de chaise de merde Ikea !!! J'ai des pêches juteuses pour l'accueillir...

 Jean Bart, reviens !... Besoin de champagne... ;((((

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Le premier de nous deux qui pleurera aura une tapette: 1, 2, 3 !

J'avais le droit de me goinffrer de mini brownies au chocolat, j'avais le droit de râler, j'avais tous les droits (comme toujours): le sang coule de mon minou ! Le minou est décédé, donnez-lui trois jours et il revient en pleine forme, Dieu l'aura ressucité et tué l'alien que j'aurais haï si ce petit con était venu me piquer tout mon pognon avec ses couches marronnasses ! (Ah oui, parce que j'avais arrêté la pilule il y a déjà plusieurs mois : messieurs qui me lisez et qui m'avez sautée plus ou moins bien, n'ayez crainte, le minou saigne !)

J'avais prévenu mon andalou : quand j'ai mes règles, je suis encore pire. Ma mère en a fait les frais ce matin. Pas grave, mes humeurs sont passées au rose grâce à mon géniteur papa homme de ma vie préféré (Lonestar, une petite analyse à la va-vite - elles sont les 3/4 du temps bien vues ?): pour mes 26 ans, j'ai gagné un bracelet en or digne d'une parvenue accro aux pétasseries hivernales à Gstaad (j'y vais d'ailleurs bientôt : j'ai hâte d'y être, ça plus Zermaat avec mon père, de l'air pur et du luxe, im-pa-tien-te), je l'adore. Je deviens de plus en plus bourge... (comment ça, je le suis depuis toujours ? N'importe quoi !...)

Je voulais juste vous dire qu'aujourd'hui je fais du pipi rouge et dégueu mais que ma mauvaise humeur n'est plus : je suis amoureuse. Merde, quand je suis amoureuse, maintenant, je ne grogne pas plus qu'à l'accoutumée 4 jours par mois. On en reparlera dans quelque temps, n'est-ce pas... Je ne suis pas née de la dernière pluie, je sais bien que l'évidence va se transformer en gros relou qui me gonfle avec ses défauts, ceux que j'aime aujourd'hui. (En vrai, pas vraiment, je n'y pense pas, comme si tout allait bien se passer pendant encore un bon moment mais si je fais appel à ma nature pessimiste alors oui, le rose va bien tourner au gris un jour, sauf que le gris peut se travailler, les nuances sont si jolies avec un peu de lumière, non?)

Je viens de ressortir un album overkitsch, j'adore les trucs kitsch, vous savez. Et en écoutant en boucle une chanson que je passe aussi en boucle lorsque ma mère et moi traversons les routes de Suisse en août (gros cons d'Helvètes, préparez-vous, je débarque bientôt avec mon tempérament de française typique...), je (re)pense à mon andalou...

Tous les deux, nous sommes deux névrosés chiants pur jus (enfin surtout moi mais il ne le sait pas encore ; il croit s'en douter mais non, le pauvre, s'il savait que bientôt je vais faire de sa vie un enfer...), on s'est reconnus. Je ne pourrais pas vous expliquer, je ne le comprends toujours pas aujourd'hui. Nous sommes très différents : il a passé sais-pas-combien d'années de sa vie avec une fille branchée bio, lui a fait des enfants, son appart' est très clean genre design et élégant comme il faut, il a l'âge de mon frère, il passerait sa vie à parler aux inconnus du quotidien, surprenants et "touchants d'humanité" (;p), il déteste les engueulades et est quasi fidèle. (Fidèle, vous n'hallucinez pas ? Non parce que moi, des mecs fidèles, j'en connais très peu. Je crois que c'est l'une de ses qualités qui me surprend le plus, je vous jure, je trouve ça dingue : un mec aussi séduisant ET fidèle, c'est bien simple, j'attends le jour où il ira voir ailleurs pour comprendre que je ne vis pas un rêve ! Cela dit, l'infidélité, c'est pas si mal parfois : la jalousie réveille les couples dans le coma. Mais bon, pour l'instant, le coma me plaît.)

Moi, c'est tout le contraire.  Je n'ai jamais partagé ma vie plus de trois avec quelqu'un (et déjà, ça tient du miracle; en même temps, je n'ai QUE 26 ans, je ne suis pas vieille comme lui ;p) ; les momes me font horreur et pourtant, ils viennent toujours vers moi, me scrutent de loin, me tournent autour et, je ne sais pas comment, finissent sur mes genoux et on rit comme deux zouaves (non mais je vous jure, je déteste les nains, au début. Mais on s'attache à ces mini Sécotine, ouais enfin pas trop, hein, je ne m'appelle pas mamie Nova) ; je suis accro à la malbouffe, diet coke-chichon-maquillage testé sur des nez certifiés AOC (Accro Open C)-gâteaux aussi bons qu'industriels et tutti quanti ; mon appart' est un bordel hallucinant, j'entasse tout, je ne jette rien de rien et mon manque d'espace me rassure (au sens propre comme au sens figuré : je dis des choses et j'aime leur contraire) ; j'ai 26 ans, toutes mes dents (on se demande comment... D'ailleurs, penser à faire un détartrage à la rentrée) mais dans la tête, c'est une ado en pleine crise existentielle qui bouillonne ; j'adore buller des journées entières chez moi ou en terrasse, simplement observer les gens mais sans jamais leur parler, ne nous mélangeons pas ; plus casanière et hautaine que moi, tu meurs ; j'adore les broutilles qui partent en cris, scènes de la vie "conjhystérique" ; en bonne slave, je suis ce que les mecs et mon père appellent une chieuse. Seul bon point: je suis une fille fidèle. Pourtant, Dieu sait que j'aurais dû jouer la garce pour sauver mon honneur avec certains gros cons. Mais quand j'aime, je suis coconne, faible mais toujours amoureuse. Mon coco, t'as intérêt à prendre soin de ta cocotte sinon ce coup-là, je vais jouer ma mère !

Alors je vous le demande : combien de temps mon andalou va-t-il m'aimer ?

En même temps, il y a des chances pour que ce fou soit aussi chiant que moi. A sa façon. Très différent de moi, ce garçon, et pourtant tellement fait pour moi. Alors l'hiver sera-t-il chocolat chaud et plaid partagé ou Nutella et grosses larmes ? Plaid et Nutella, c'est pas mal aussi. Ah non, merde, penser aux boutons. Déjà que mes règles me filent des vilains spots ici et là, je ne vais peut-être pas chercher la merde... pas encore.

 

Toi, l'andalou, sache-le : j'aime bien jouer au docteur. Cobaye tour à tour, ok mais touche-pipi, c'est pas mal aussi, ça évite les malentendus.

Mais comme dit la chanson : "faut que tu aimes tout chez moi..." 

 

La fameuse chanson overkitsch : Mister_Hyde. (Hyde en moi, en toi. Aïe pour les autres, nous on est bien comme ça. Tant qu'on ne parle pas de qui tu sais, cette espèce de grosse vache à bec qui pique que les cons et cette araignée à bite qui pousse à arrêter Tricilest, tout va bien ;))) 

 

Putain, quand mon andalou (qui ne tient pas parole puisqu'il m'avait dit qu'il ne lirait plus mon blog : grillé, toi ! Reviens quand tu veux, c'est toujours un plaisir de jouer à la méchante et de te faire peur. Un conseil : Fuis tant qu'il est encore temps!) lira cette note, je ne donne pas cher de mon "mois amoureux"... Franchement, entre nous, faut être maso/fou/inconscient/GÉNIAL pour m'aimer un tant soit peu. Mais ne le lui réptétez pas, il s'en aperçoit déjà de plus en plus en lisant mon blog alors on va tenter de la jouer neutre...

 

Faites pas gaffe au nombre démesuré de parenthèses, j'ai mes règles, j'ai le droit.

C'est bon, tout le monde le sait maintenant, que je perds du fer?!! 

C'était une note "Jamais sang toi". 

 I love my man.

samedi, 29 juillet 2006

SOS Travailleuse en péril

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vendredi, 28 juillet 2006

Entre ma souris et mes lunettes, ma main balance...

Tout le monde s'amuse, drague, danse, se drogue gentiment, dîne, se baigne nu bref tout le monde s'éclate... sauf moi. Une seule conne peut bosser un vendredi soir, fin juillet : moi. J'en ai vraiment marre, j'ai envie d'aller boire avec les copines, pfff, c'est trop chiant d'être grande. Oui bon là, c'était pour la Calimero touch. Mais alors le danger, c'est mon nouvel iMac : j'arrête pas de me prendre en photo avec la webcam intégrée, j'adore. Et de pose en pose, parfois, en découvrant le résultat, on se demande quelle sera la suite de ma soirée boulot...

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buzz