mercredi, 14 juin 2006
Note à compléter ce soir, elle sera longue...
Cool, Stratégies.fr a mis Be Snob dans ses liens : ils parlent même de moi ;) Enfin, "la maîtresse des lieux", c'est bien moi, non ? Ca sonne un peu bar à puputes mais bon (spéciale dédicace au cancer ascendant scorpion).
Aussi, allez regarder les Tomcasts de Thomas Clément, le 1er numéro est vraiment cool, je vous laisse découvrir le charme rive gauche...
Je veux aussi parler de deux ou trois autres trucs mais là, j'ai pas le temps, je vous mets tous les liens ce soir...
Ah, et grande nouvelle, j'ai décidé d'imiter Olivier de VImarketing (ben oui, je suis en train de penser à toi, là, j'écouter une chanson de KT Tunstall grâce à la playlist de la nana inconnue qui est en réseau avec moi, faut que je fasse une note sur sa playlist, trop drôle, je sais déjà tout d'elle) : je ne toucherai pas à mon ordi du week-end. Mais bon, après, je pense qu'il est plus facile de commencer samedi matin, histoire de vous raconter La Fraise apéro (j'ai deux mots à dire...) en rentrant vendredi soir. On verra. Ce sera dur mais j'y arriverai, JE LE PEUX !
17:20 | Lien permanent | Commentaires (5)
mardi, 13 juin 2006
Jen Vs Jen l'imposteur
Un(e) baltringue se fait passer pour moi sur ce blog, je vire ses commentaires maintenant. Donc si vous ne comprenez pas tout dans les comm des notes précédentes, c'est normal.
Pourquoi ça tombe toujours sur moi ?!!
Sinon, je voulais dire que j'ai la super pêche, quelques mots et je retrouve confiance en moi, pourvu que ça dure !
Au fait, vous avez lu... Edwy Plenel rejoint peut-être Libé, remplacer July qui se casse. Bonjour l'ambiance...
20:05 | Lien permanent | Commentaires (40)
Ici Odéon
Soupçons, j'ai le nez - féminin -, je sens... Jeune(s) femme(s) messieurs,tremblez... GargaJen, le retour de la méchante maîtresse !
Sinon, vendredi, La Fraise apéro à Paris dans le Ier, casting de mecs ouvert !!! Pour en savoir plus, alllez voir mon dernier commentaire dans la note précédente, pas le temps de répéter, je dois bosser un peu quand même... J'exige de la target !!! Ras-le-bol de partager mon lit avec les mêmes, lui lui ou lui, toujours pareil, c'est même plus marrant. Les plans cul, j'en ai marre !!! Et ne parlons pas des sentiments, les hommes me rendent dingues ! Je veux tomber amoureuse, d'un vicelard sympa, ça doit se trouver, merde...
Et les bonnes femmes, ah les garces : si j'étais un homme, je les tromperais, tellement des vicieuses certaines. Autant je le suis avec classe, autant certaines, grand Dieu... Enfin, que voulez-vous, je ne vais pas rentrer dans les Ordres à cause d'eux. Si ? Rémy, Adrien, Antoine, Martin... tous de mauvais menteurs, et cette fois encore, je crois que j'ai un mauvais menteur, sont nuls ces mecs...
Et comme ça, si je trouve ma target, je refile les autres aux filles célib' de la soirée ;)))
14:55 | Lien permanent | Commentaires (30)
2h du mat' rive gauche après du champ' au Renoma Café
Je rentre du triangle d'or. Non, je ne suis pas une pâle copie de Lolita Pille. Je vaux plus de Napoléons. Je coûte plus cher mais en valeur ancienne, en résumé ça signifie que j'ai un ego surdimmensionné. Là, j'ai trop d'alcool dans le sang, pas tant que ça en vérité mais avec seulement de la semoule de blé, deux feuilles de salade et quatre morceux de poulet périmés dans l'estomac, ça ne fait pas grand chose.
Ce soir, j'avais rendez-vous au Pathé de la rue François Ier pour assister à la projection de Cars. Un dessin animé signé le facho Walt Disney. J'ai bien aimé sauf qu'il donne le bon rôle au taux dévastateur de pollution US et aussi un peu trop de violence, par inermittence, surtout au début, pour des mioches de cinq ans. Des carambolages accentués de sons de casses et de vroum vroum, moi, maman, je ne le donnerais pas à bouffer à ma fille. Mon fils non plus mais grand Dieu, pourvu qu'il me donne un minou et non une mini bite. Bref, c'était cool. Une histoire d'amour entre une voiture parvenue et une voiture qui a réussi à la sueur de son livre de droit. Une histoire de mes deux entre action sociale et grandes idées humanistes, ça me débecte. Et pourtant, j'ai aimé. Pas tout le temps mais les 3/4 du temps du film. Pourquoi ? Pare que je suis bon public quand il s'agit de truc de mômes.
A mes côtés, Blonde Attitude. Moi, je rigolais et avais peur à certains moments, je voyais bien qu'adulte, je ne devais pas baisser la tête, fermer les yeux ou faire semblant de croiser les jambes, signe désinvolte de l'adulte qui se satisfait deux secondes de ces histoires de bons sentiments ricains. M'en moque. Et l'histoire de cette Route 66. Et Luigi, cette bagnole rital' dans toute sa splendeur, has been et old school. Et cette californienne, déçue et de nouveau pure. Mouais.
Et moi, au second rang, parmi un public de jeunes mamans, moi qui n'aspire à rien.Et qui aspire aussi à rejoindre ce groupe de Desperate Housewives françaises, actives et libérées, elles. Moi qui pense rêver de devenir maman, femme exemplaire mais libre; moi qui vous fais croire que je suis ça, une pétasse qui passe à la phase "marions-nous avec intérêt". Et bien non, moi, Jen, je n'ai qu'une chose (ou plus, comme toujours) à dire : j'ai envie d'un seul enfant, je ne veux pas me marier, j'aspire au confort, à la continuité d'un luxe inhérent à ma condition sociale, je n'aime bosser que quand bon me semble, je marche à la carotte, j'aime me faire désirer, je suis jalouse, je suis comme toutes les filles - de bonne famille faussement épanouie : fard aux joues, fausse modestie, mensonge et sourires de situation.
Rien n'est clair, pas besoin de me relire. J'ai simplement suivi cette avant-première de quelques coupes de champagne, d'un brin de vérité, d'une dose de pessimisme, d'un soupçon de mensonge, d'un brin d'ivresse et de quelques chips allégées.
Cars, c'était cool : le mieux : une chanson de Sheryl Crow (orthographe certainement mauvaise mais la connasse ne mérite pas vérification) et une autre de Thomas Cochrane. Et des images de synthèse vraiment impressionnantes, vraiment. J'ai envie de retourner au Jardin d'Acclimatation.
Et maintenant, je vous laisse avec ça, mon état d'âme de l'instant T (soit 2h20 à Odéon) : M'En voulez-vous, Pauline Croze.
02:59 | Lien permanent | Commentaires (48)
lundi, 12 juin 2006
Sunshiners, encore !
Je ne m'en lasse pas...
Celle-là, je l'écoute en boucle, en ressentant l'ambiance live, tellement mieux. Et surtout, en l'écoutant, je ne me plains pas du tout de ne pas être mariée, ouf... Take the long way home de Supertramp sauce Sunshiners.
Et celle-là, Baby Jane, parce que.
J'ai la flemme de bouger jusqu'au Luembourg. Je veux un appart' avec terrasse ! Je rappelle : cherche grand 2 pièces dans le VIeme proche Luxembourg, entre Odéon, St Sulpice ou rue Guynemer (mais ce côté, ce sera plus avec mari et bébé dans 5 ans). A vendre.
Je mangerais bien un sorbet citron mais laisse tomber le courage... ça fait du bien de glander.
22:05 | Lien permanent | Commentaires (34)
dimanche, 11 juin 2006
Au ralenti
Je plane. Un peu floue. L'impression d'être en vacances. Il fait tellement chaud... J'irai me reposer à l'ombre d'un chêne seulement après 16h, comme les grand-mères. Un livre, un stylo, un carnet, un brumisateur L'Oréal (je voulais tester, si ça colle moins qu'une crème), une bouteille d'Evian, mes lunettes et mes yeux en face des trous pour regarder les couples discrètement.
Ou alors j'accompagne mon père au théâtre à 15h.
Je vais déjà me remettre au lit et j'improviserai au réveil...
11:27 | Lien permanent | Commentaires (12)
vendredi, 09 juin 2006
Taxis, où êtes-vous ? Cachez-vous...
Trop Belle pour toi sur TPS.
Soirée Fanny au Printemps spécial Girls, exquis : terrasse au soleil, soleil sublimant Paris, Paris mettant mes yeux à genoux, mes genoux tremblant de...
Du champagne à Opéra, du champagne à Odéon.
Une main sur ma hanche.
Cheveux dans le vent, rejouons la scène d'un remake pour ado.
Paris sous le soleil, c'est comme un livre de Proust, ça reste entamé, inachevé mais magnifique. Summer in Paris, yeah.
Ma mère part demain pour le Sud de la France où une maison l'attend. Pas de chien ni de maman le week-end. Ne pas pleurer. Je sais, c'est idiot, mais quand ma mère part, j'ai toujours peur qu'elle ne revienne jamais.
Une fois mariés, les hommes voient non plus la fabuleuse maîtresse mais la mère de leurs enfants. Et moi, mariée, que verrai-je ?
00:55 | Lien permanent | Commentaires (55)
jeudi, 08 juin 2006
Concert des Sunshiners : coup de soleil sur mon coeur
Rendez-vous à 19h45 à la Scène Bastille. Arrivée à 20h15. Forcément. (Sans rire, Paris était bondé sur les routes et sous-terre en fin de journée, l'angoisse !). Je rejoins MoiAussi, Greg et Sonia, Emmanuel et plus tard Alexandre (avec ce soleil, on le fera, ce verre en terrasse jusqu'à pas d'heure !).
Première partie sympathoche, surtout pour les bobos rive droite "José Bové style" de Bastille, plus ma came passées deux chansons.
Arrivent enfin les Sunshiners, ces ovnis venus de Vanuatu, un endroit magique où il fait bon vivre si l'on en croit la banane que ces quatre mecs affichent non-stop. Les joyeux roots men s'associent avec des musicos frenchies, ambiance good vibes, funky soul et joie de vivre. Les Sunshiners reprennent des tubes des années 80 (the Cure, the Korgis, Robert Palmer - pour le final, TOP -, Crowded House...) sauce reggae. Good vibes, sourires, partage, chaleur, générosité, une vrai cohésion, les reprises fonctionnent car le groupe se les réapproprie avec originalité et séduction, peace unity love & having fun, j'ai kiffé !
Un super beau mec à ma gauche, Manu Katché avec plus de cheveux !
Et une chanson rien que pour moi : Baby Jane, de Rod Stewart. Je ne sais pas si c'est l'effet "spéciale dédicace" mais ce fut ma chanson préférée du concert. Celle-là, il me la faut à tout prix dans mon nano !
Au final, un concert qui m'a permis de me détendre, de ne penser à rien d'autre qu'à eux, moi, cette relation éphémère qui s'installe au cours d'un bon concert et qui se désintègre dans votre sommeil voire une bonne semaine après, je crois que ce sera mon cas. Même pas les oreilles qui bourdonnent, cool.
Voilou. J'étais invitée par MoiAussi, pas par une agence. Je ne fais pas de buzz. Enfin si mais parce que j'ai vraiment aimé. Sunshiners, des petits gars sans prétention à la musique généreuse, bonne et qui a un don, celui de vous emmener loin...
2 vidéos chez MoiAussi, la 1ère, aaaahhhh, j'ai adoré celle-là aussi...
Là, je finis cette note et je vais voir à quel point Jean-Luc va encore me consterner; au programme : "Plaisir féminin : comment percer l'énigme ?" AU SECOURS !
00:10 | Lien permanent | Commentaires (21)
mercredi, 07 juin 2006
A part mon père, les hommes sont tous inutiles et laids
Les hommes me dégoûtent vraiment parfois... Entre l'obsédé de ce matin qui m'envoie une photo de son sexe qui, vu la taille, n'en est pas un pour moi, les ouvriers gros beaufs de merde qui me parlent dans la rue pour évoquer mon décolleté (j'étais déjà de mauvais poil, je lui ai répondu de fermer sa gueule, grossière et agressive, na), les mecs relou qui n'impriment pas quand on leur dit bye bye, les autres mous du gland, les petites bites, ceux qui ne vous feront jamais jouir, les couilles molles, les éjaculateurs précoces, les vieux qui pensent tout savoir, les jeunes qui ne savent rien, les homos qui finissent par vous donner des leçons à longueur de temps, les bi qui finissent par vous exaspérer et les hétéros qui me fatiguent avec leur côté "moi, j'suis un homme, un vrai, pas une tarlouze", j'en deviendrais lesbienne. (Notez que tous ces mecs peuvent ne faire qu'un, au secours.)
Même pas, j'aime pas les nanas, toutes des garces. Mais tant qu'à faire, je choisirais la garce des beaux quartiers, éduquée, mêlant mensonge et jeu dans le but de ne pas s'ennuyer (en même temps, c'est inné chez certaines...) bref je voudrais sortir avec moi.
C'est vraiment atroce, j'étouffe, là ! Je veux être ailleurs, pas coincée face à ce Mac, je voudrais être seule, sans robots à mes côtés, sans bruits de claviers en action partout à l'étage, je veux respirer, je veux sentir l'iode, l'air marin qui vous étourdit, et d'un homme. Les autres, je les déteste aujourd'hui. Je vous préviens, je te préviens, laisse-moi respirer et évite-moi, merci. Putaiiin, je déteste tout mon environnement, là, je ne sais même pas pourquoi, c'est horible !
En fait, si, je sais peut-être pourquoi. Peut-être parce que ma tante est arrivée ce matin des Antilles, qu'elle et ma mère s'éclatent sans moi, qu'elles se cassent en vacances dans 3 jours, que je n'aurais pas le temps de les voir. Peut-être aussi parce que j'aime pas qu'on m'envahisse et qu'un mec essaie de le faire, je déteste, ça me rend méprisante. Peut-être aussi parce que j'attends des résultats d'analyses qui me titillent. Je ne sais pas.
Mais je sais que dans 4h, je serais détendue, zen et que tout ira super bien. Compliquée, moi ? Pfff ...
13:15 | Lien permanent | Commentaires (36)
mardi, 06 juin 2006
Fleur bleue est de retour (avec une pointe de lys)
Après deux verres à Etienne Marcel, retour à pieds : soleil, iPod branché sur de la musique "vive la vie, même si elle est parfois rivale", baguette chez Kayser, douche froide, Desperate Housewives.
En ce moment, j'entre dans une phase "aime-toi". C'est l'effet fin de printemps. Peu importe les embûches, les coups bas, les déceptions, les tissus adipeux, les orteils en V (!), la réincarnation qui touche à sa fin et l'absence de grand amour ; se réveiller le matin, le soleil qui caresse mes paupières, les apéros en terrasse si agréable que vous avez l'impression d'être en week-end en province, marcher au gré de ses humeurs, bonnes ou mauvaises, c'est bon. Et entendre les mouettes de chez moi, j'adore ça. L'impression d'être à Trouville (citer Deauville au mois de juin serait d'un goût douteux). J'aimerais bien vivre une relation platonique puis amoureuse mais clandestine avec un éditeur, l'effet Paulhan/Aury... mais pas un vieux croûton, hein. Juste un homme d'expérience, brillant, fin, drôle, politique et mondain. Qui m'emmènerait en vacances dans une maison aux pierres si vieilles qu'elles développent votre imagination encore plus qu'à l'accoutumée. Et du bois... des vieilles poutres.
Mes amis et les autres, bonne soirée.
Demain soir : concert roots branché. Yeah.
21:15 | Lien permanent | Commentaires (21)