Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 12 mai 2006

23h31, Campus

Hollande m'exaspère.

jeudi, 11 mai 2006

Ouvrez le gaz !

La fatigue, le stress, son retour, le manque, l'anémie, le quotidien, putain de routine... Le plus dur est de rester constante dans la légèreté.

mercredi, 10 mai 2006

S'il le dit, alors...

Une mauvaise conscience peut rendre la vie intéressante.

Kierkegaard

Tenue correcte exigée... au taff.

Pour ceux qui erraient parmi les fantômes de la rue de Ponthieu hier soir... vous voyez comment j'étais habillée ? Bon ben là, je suis la même. Au bureau. J'ai dû changer mon trajet du matin, fair un de ces changements qui durent une heure tellement les couloirs sont longs, attendre dix minutes un train pour cause d'incident technique. Je n'ai pas mon iPod ni mes pilotes, ni crème pour les mains ni lunettes de vue. Et ces talons, que je vais me coltiner toute la sainte journée... En plus, j'ai chaud et je ne peux pas enlever mon pull (quelle bonne idée j'ai eue de porter un col roulé noir hier soir !), en dessous se cache seulement un haut transparent noir, impossible d'assumer. Mais bon, à part ces petits désagréments, ça va plutôt bien. C'est chouette.

Faudra que je vous fasse un petit résumé de la soirée ce soir, c'était donc l'anniversaire de la Fanny's Party au Pink. Pour faire simple, j'étais soit agressive soit douce.

Et cette main...

Qui ne m'a pas empêchée de.

Et pour info, ma fille préférée était la n°2, avec la culotte (qui n'en était pas une) "cerises". Parfaite.

RIEN À VOIR : Quelqu'un pourrait m'envoyer en fichier "Crazy", de Gnarls Barkley, merci, j'adore, envie d'écouter ça toute la journée. S'IL VOUS PLAÎT, ENVOYEZ-MOI CRAZYYYYYYYY, GNARLS BARKLEY !!! YO ! Adrien vient de me l'envoyer, merciiiiiiiii ! Tu as sauvé ma journée ;)

Sharky, merci chéri, j'écoute quoi-tu-sais là tout de suite, ça me réveille ;)

lundi, 08 mai 2006

Je ne dors pas

5h20, je n'arrive pas à me rendormir. Depuis trois heures, je réfléchis à tout un tas de choses. J'ai lu, mauvaise idée, l'histoire m'a maintenue suspendue. La pluie qui s'abat et coule dans les gouttières, son qui ne me berce plus. Alors je saisis ces minutes et ces heures de totale liberté (paradoxalement, je suffoque danc cette pièce) pour songer à des bêtises, des choses plus sérieuses...

Ce gros con qui tirait son chien comme un malade, ne comprenant pas un seul instant que son fox avait simplement peur des bruits qui s'échappaient du camion derrière eux ; ce gros con, j'aurais dû l'interpeller mais j'ai simplement haussé les épaules, lâche.

Je repense à ce que m'a dit S. lors de notre dîner, comment peut-il être persuadé que je vais goûter au fruit défendu (quoi ? Je n'ai pas encore tout goûté ?).

Ce projet, qui me tient à coeur, secrètement.

Ce garçon, avec qui j'ai passé tant de temps, sans jamais ne rien perdre, qui me rappelle, pour quoi faire, pour ne mot dire, juste ce silence. Assez pour retomber quelques années plus tôt mais trop - de souffrances - pour respecter ce geste.

 Et ce joueur d'échecs, qui perd comme il joue, qui gagne comme il ment, étranger à mon âme mais cousin par alliance, pacte du diable. Ne jamais sourire à un inconnu trop bourgeois. Se méfier , toujours, de tout de tout le monde. Parce que le monde est ainsi fait, composé de rapaces, de mouettes perdues, de pigeons rancuniers et de quelques espèces en voie de disparition. Ceux-là, méfiez-vous en, ce sont les plus aigris, un peu comme les grosses.

5h41, toujours pas sommeil. C'est moi ou le ciel est rose ? Véridique ! (Mais le sens figuré s'applique aussi, ici.)

dimanche, 07 mai 2006

Comment te dire adieu

Je hais son répondeur.

Je déteste la tentation. J'aimerais résister.

J'aime sa voix, ses mensonges, ses chaussettes.

Je maudis sa mère, sa soeur et son ex.

Je désire le voir mort, parfois.

Nos enfants auraient-t-ils été doués, beaux parfaits que cette vie m'aurait échappée.

Savoir faire le bon choix, prendre le bon chemin, saisir sa chance.

Parce que les si fatiguent, lassent et rendent inutile toute discussion, je préfère me savoir Jen plutôt qu'elle.

Lui et moi, c'est fini. Vraiment.

Ne jamais faire de planning

J'avais prévu de me lever tôt, de faire le ménage à fond, de jeter mon bric à brac voire de faire un peu de vélo.

Réveil à midi passé, déjeuner rue de Grenelle, juste eu le temps de faire une machine (l'exploit) et de donner rendez-vous à une copine au Flore. Je n'ai aucune envie de rester chez moi, envie de parler un peu, finalement. Et ce soleil qui vient par intermittence, moi ça me sociabilise !

Et tant pis pour le régime, je craquerai pour un chocolat chaud. Deux jours de solitude, ça me suffit.

(Pour les obsessionnels, non, ce n'est pas un chocolat qui fera tomber mon régime à l'eau, un plaisir de temps à autre, ça ne fait pas de mal. Et je sais comment éliminer...)

C'est horriiiiiible !

Mes voisins d'en face m'ont observée, nue, étendue sur mon lit ! Leur lumière est éteinte depuis plus de deux semaines, je pensais qu'ils étaient partis pour des mois, comme ils en ont l'habitude... Alors je me suis vite rabattue au pieds de mon lit, une fois les voyeurs grillés, allumé mon PC pour raconter ma honte à quelqu'un. Ma fenêtre est à ma droite, à un mètre ; si je recule ne serait-ce que de 5cm, ils me voient. Je ne peux même pas me lever fermer le store. Plus qu'inconfortable, je n'ose plus bouger. Moi qui fantasmais un chouïa sur l'exhibitionnisme, je suis maintenant fixée : pas chez moi ! Ni ailleurs (oui enfin avec l'âge et la routine, qui sait... - et mes boss qui liront ça mardi, la honte ; m'en fous, merde, qui peut prévoir l'avenir de citadins blasés !). C'est HOR-RI-BLE. Sortez-moi de là ! Oh la la, va falloir que je cache ma tête à chaque fois que je serais dans leur angle dorénavant, que j'y pense. Imaginez qu'ils me reconnaissent dans la rue... En plus, ce sont des américains, quelle horreur !

samedi, 06 mai 2006

Revoir solitude

Pourquoi je n'arrive jamais à ouvrir les boîtes de médicaments du bon côté ? Toujours le côté de la notice.

Pourquoi je fais toujours pipi en dehors du gobelet dans lequel je dois uriner aux toilettes du laboratoire d'analyses ?

Pourquoi je tourne toujours de l'oeil en me faisant "piquer" mon sang ?

Pourquoi je trouve que  les beaufs du week-end me gâchent la vue au jardin du Luxembourg ?

Pourquoi je préfère rester seule 3 jours durant ?

Pourquoi ce coup de fil avec cet obsédé m'a apaisé ?

Pourquoi ai-je donné mon numéro à ce con rencontré au Milliardaire ? Il n'abandonne pas.

Pourquoi je désire prendre de la distance avec le monde qui m'entoure ?

Pourquoi j'écris une note aussi sombre alors que j'envisageais des phrases pleines de douceurs, de paix et de détachement ?

Pourquoi j'attends l'orage avec impatience ?

Aucune réponse.

vendredi, 05 mai 2006

J'veux du soleil (et pas la pluie annoncée)

Bon bah voilà, c'est le week-end. Encore quelques petites choses à faire au taff et youplaboum, m'envole au Luxembourg bouquiner. Enfin si le temps le permet... je ne vois rien d'ici. Putain, trop envie de glander. Je n'ai strictement rien prévu pendant ces 3 jours, enfin juste voir quelques copines et voir ma mère dimanche. Envie de tout annuler. Je dis ça et demain je serai la première à checker tout le monde... Mais je me fais une promesse : je n'embrasse plus aucun mec avant de sortir avec. (on y croit tous)

 
buzz