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mardi, 26 février 2008

Moi aussi je veux être ton 5 à 7 !

Mais le 7 à 5, c'est pas mal non plus. 

 

Le papillon

Il y a un papillon de farine qui vole chez moi. Evidemment, gauche comme je suis, je n'avais pas fait le rapprochement avec la vidéo jointe dans la note précédente, On a tuesday de Linoleum (vraiment, réécoutez cette chanson, elle n'a pas vieilli). Amusant.

Simplement je voulais montrer quelques oeuvres d'une artiste découverte récemment (honte sur moi) : Klara Kristalova. Très féminin, certes. Un peu borderline façon Devastee. 

Chrysalide, papillon, mite, trou, exsangue. Et après ?

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Après, tu te fais niquer par Teddy Bear alias Fantomas le vengeur masqué !
 

podcast
 
 
(J'aime bien ce petit papillon, je ne le tuerai - peut-être - pas finalement. J'aime l'histoire qu'il a provoquée devant ces oeuvres, petit papillon tu survivras et tu pourras  faire des trous des petits trous partout où tu le souhaites.)
 
PS : Si un jour j'ai un enfant, faudra que j'évite de conter des histoires de la sorte, il risque d'être un peu perturbé. Je dis ça mais c'est tentant d'essayer, juste pour voir si ça donne un dépressif ou un garçon bourré d'imagination !
Oui, je viens de réaliser que j'imagine avoir un garçon un jour. Ce n'est même pas un choc. 

 

dimanche, 24 février 2008

"Bah alors casse-toi, pauvre con !"

Mieux vaut en rire... (Cela dit, ça me fait vraiment rire. Tellement déplacé, tellement vulgaire qu'on peine à le croire, même le plus cartésien d'entre nous hésite entre rire, pleurer ou se frotter les yeux !)

Petits de la primaire, prenez exemple sur votre président qui a toujours le bon mot pour rétablir l'ordre et la sagesse... ah la la, qu'allons-nous devenir ?!! 

 

Six choses sur moi dont tout le monde se fout

Une chaîne, ça faisait longtemps. La faute à Guillaume. Le but est de raconter six tics, manies, habitudes. Hmmm...

* A chaque fois que je suis malade, je me lance comme pari personnel de réussir à ouvrir la boîte de médicaments dans le bon sens, en l'espèce celui où la notice ne me bloque pas le chemin jusqu'aux pilules magiques. Grognement et déception neuf fois sur dix.

* Lorsque le métro arrive, je me retourne, regarde à droite, à gauche, derrière moi pour être certaine que le fou de la Gare de l'Est n'est pas là pour me pousser sur les rails.

* A chaque fois que j'ai rendez-vous avec mon père, je me lave dents, cheveux, mains et me parfume afin qu'il ne décèle aucune odeur de nicotine qui pourrait créer chez lui un petit soupçon teinté d'horreur, celui que sa fille de dix ans fume.

* Je ne supporte pas de rester trop longtemps sans me laver les mains. Entre nous, se les laver vingt fois par jour est un minimum hygiénique, les autres sont sales c'est tout.

* Après relecture, ce cinquième tic, je le garde pour moi. Suivant !

*  C'est plus fort que moi depuis l'âge de huit ans, j'angoisse à l'idée que mes parents décèdent. Régulièrement, je rêve qu'ils meurent sous les bombes, dans un incendie, sur un paquebot qui coule bref des scénarios totalement dantesques desquels je me réveille en pleurant. Ca devient moins fréquent avec l'âge. Un jour, je serai quelqu'un de très optimiste, même dans mes rêves ! sourire.

 

Désolée mais je file la patate chaude à Frogita, Brg, IK, Contessa, et Charl'.

Ca, c'est fait.

 

Et pour faire un clin d'oeil à Julien qui fut assez rapide pour voir ma leçon du dimanche supprimée dix minutes après sa mise en ligne, revoici le schéma de la mort qui tue...

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Pour finir sous mes applaudissements, un tour ici ne fera de mal à personne. 

 

mardi, 19 février 2008

Hurmpfff...

Au lieu de rejouer le Mur des Lamentations, je te donne à écouter ma playlist, ne me dis pas merci. Ouais, genre. Dis merci, ingrat !

* Si tu aimes Cocoon, Electrophönvintage, du rock US façon Dinosaur Jr ou encore des groupes comme Tindersticks ou Sparklehorse (j'entends beaucoup d'influences, pardon) bref si tu aimes bien verser ta mélancolie sur des mélodies et des voix tirées fragiles maladroites jolies comme tes larmes, alors achète l'album The Prawn Clown de PULL. Tu aimeras. En hiver. Tu aimeras en été en pensant à l'hiver. Bref tu aimeras (leur page myspace ici, mais selon moi les meilleurs morceaux n'y sont pas affichés, dommage, sauf pour le titre Devil, mon préféré). Et si tu aimes Tender Forever, tu seras ravi d'entendre Mélanie sur l'album. En gros, si tu aimes mes goûts alors tu aimeras A bit deeper, Around the sun, Bad relations, Devil, Hey girl et... bah merde, t'es pas obligé de tout aimer comme moi non plus, sale copieur !

ATTENTION (!) : si vous venez de vous séparer de votre mec/nana, évitez, à moins que ça vous fasse du bien de chialer et dans ce cas, foncez !). ---> je pourrais te dire que le prof de français en burlington et aux priorités vexantes est quelque part sur l'album, dans le livret ou ailleurs mais non, je ferme ma bouche.

* Si tu aimes Justice, Kavinsky, Daft Punk normalement tu adoreras marcher planer foncer sur le bitume avec Midnight Juggernauts dans les oreilles, de la tue-rie. Petit gros faible pour la voix du chanteur qui ressemble un peu à celle de Bowie. (Ecoute Tombstone aussi). Voici leur clip Into the galaxy, mate bien cette gueule de Jésus crevard, miam...

 

* Si tu aimes Axe Riverboy (chanteur de Tahiti 80), Phoenix, ce genre de petite voix sur un son poptimiste teinté de génération adulescente mi-bien mi-chagrin, alors tu aimeras Coconut Records, notamment leur morceau West Coast

 

Pour revenir à PULL, à ceux qui aiment Cocoon&Co, je suppose qu'ils ont aimé le très déprimant Kill me twice de The Delano Orchestra chopé dans Les Inrocks de la semaine. J'ai bien apprécié. Je ne l'écouterais pas trente fois, mais pour une playlist "Rupture", ça peut le faire je pense.


Plein d'autres titres et de groupes à vous faire (re)découvrir. Au fur et à mesure. Cela dit, Bully de Fortune est bien sympa et, mais, surtout, é-cou-tez les néo-électropunks de Crystals Castles, vraiment de la bombe, m'en lasse pas, surtout de leur remix de Lovers who uncover des Littles Ones, ne passez pas à côté, sans déconner. Enfin je dis ça, c'est pour vous hein... ;)

 

Voilà, c'est tout. Encore une note qui va emmerder tout le monde sauf les 4/5 mélomanes de la salle et c'est parfait ainsi, gloire aux musicos ! dit l'ado.

Maintenant, travail. Envie de dormir.

 

PS : Et pour faire plaisir à Sharky et parce qu'en fait tout simplement ils font du bon son, écoutez MAISON NEUVE !!! (alors, heureux ?) 

 

Edit : Lucy et La môme, gloire à nous, sont nazes ces mecs ! ;) 

 

J'oubliais...  We are... de Just a Band, "chaaaaaaanmé" comme dirait biiiiip. Le remix de The Shoes est tout aussi chouette.

Voilà c'est vraiment tout. Pour le moment. 

lundi, 18 février 2008

Voilà pourquoi je n'aime pas me sentir bouboule...

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... Parce qu'au régime, je suis obligée de cuisiner. Et quand je cuisine, c'est un flop.
Ici, une omelette aux haricots verts, poivrons et aubergines devient une gelée mi-sperme mi-poulpe.
Bon appétit, Jen ! 
 
Mais l'essentiel à retenir, c'est que je suis sérieuse.
 
PS : Dieu bénisse les épices !
PPS : Promis, j'arrête de vous parler de mes fesses, de mes capitons et de mon assiette fadasse dès demain. (Encore une fois, je ne jure ni ne crache.) 
 
 

Je marche à la carotte...

- 5 kg et je m'offre ce maudit pattes d'eph' BA&SH qui hante mes rêves de printemps heureux. Par la même occasion, je m'offrirai une blouse, ou deux...

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- 10 kg et j'ajoute ce sac Aridza Bross qui ressemble au sac de voyage version mini de mon père, un beau Mac Douglas qu'il m'empêche d'emprunter.

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Conclusion : Le banquier l'aura dans le cul, le mien sera ferme voire rebondi si je me tiens aux exercices et surtout, je sais pourquoi je ne craquerai pas à l'appel de la gourmandise et de la frustration ! (En avril, Argentine... grosse vague de shopping à prévoir.)
 
Oui oui, je me mets au boulot au lieu de dessiner ma future garde-robe... 

 

PS : Rassurez-vous, je n'ai pas pris 10kg ! Mais tant qu'à faire un bon gros régime, autant perdre ce que je reprendrai un peu au printemps, avec le rosé frais et la tapenade... 

 

Je reviens juste pour dire qu'à - 7kg, je passe aussi chez Vanessa Bruno ! Non mais faut pas croire, je mate les lookbooks des marques mais c'est pour le travail, si si. ;)

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Faut que je maigrisse, je vais maigrir, je suis déjà maigre dans ma tête... je vais y arriver ! 

 

J'ai honte, suis grosse...

Là tout de suite maintenant, si je pouvais, je partirais en rehab spécialisée diet.

A partir d'aujourd'hui, Oenobiol diet midi et soir (en test, on va voir si ça marche), je ne bouffe plus une merde, plus de chocolat, plus de coca light, plus rien. J'ai juste peur pour l'alcool. Je resterai à la vodka, un peu, et me contenterai de fumer comme un pompier.

Sans déconner, je viens de me peser, j'ai bien les boules. Je me revois cet été, splendide... Pff, fait chier bordel !!!

DONC RÉGIME POUR DE BON, GROSSES PRIVATIONS, LE MENTAL VA FAIRE LA DIFFÉRENCE CETTE FOIS. (Forcément, j'abandonne l'idée d'arrêter la clope pendant un moment.) 

ET NON, JE NE DIS PAS LA MÊME CHOSE CHAQUE LUNDI !!!

 

Edit 14h31 : Masque exfoliant sur la face, retrouvé un pot de crème anti-grosses vaches (merci les produits presse qui débordent dans la salle de bains, ça sert juste à ça mon métier !),  un litre de thé vert qui élimine toutes ces graisses depuis le matin (laissez-moi y croire), épilation des sourcils pour me détendre, j'ai retrouvé ma bonne humeur : prête à fondre vitesse grand V ! Je suis belle, je serai bientôt mince et presque un peu musclée, il fait super beau, j'ai pas un radis sur mon compte mais la vie est belle, deux articles m'attendent mais je vais les ignorer jusqu'à ce soir, j'écoute en boucle The Zombies, bientôt je revois le chéri, dans dix minutes ma peau sera comme à ses dix ans, si toi aussi tu t'es laissé bouffer par une matinée pleine de mauvaises surprises alors écoute cette chanson et viens avec moi gambader dans la prairie avec le sourire niais, les kilos superflus invisibles, habillée en Isabel Marant, il fait chaud il fait beau il fait taille 36 il fait amour il fait... fuck le lundi, restons dimanche jusqu'à 23h 18h !


podcast

PS : En vrai, me fais belle pour mon banquier avec qui j'ai un petit entretien-engueulade à 16h... ;) 

samedi, 16 février 2008

La rue Jacob la nuit me manquera

En ce moment j'écoute avec acharnement musculaire Crimewave. En ce moment je laisse Crystal Castles entretenir mon souffle au coeur, mon souffle aux tempes, mon goût de la liberté. Je pourrais dire mon goût de la connerie adroite mais ce serait encore donner raison aux ennemis mes amis. Ils ont raison, j'ai quinze ans, je dis merde aux profs, je grave au compas le nom des groupes que j'aime sur la table pendant les heures de colle et je kiffe râler pour des choses qui demain n'auront plus aucune importance.

Je me masturbe à un rythme insensé depuis deux jours. Ca me prend comme une envie de pisser entre deux voitures après une soirée digne de mon nom, ça me prend souvent l'après-midi entre deux mails pro, ça me prend avec des images de mecs riches, hautains et méprisants, des mecs massifs, des mecs qui me repoussent lorsque j'ai les yeux ouverts. Et je mouille, je mouille comme une pute aristocrate. Mère ! Comment osez-vous me transmettre tant de puissance, tant d'averses en moi, comment cela est-ce possible ?... Tellement mon sexe est grand, tellement mon sexe inonde que j'en suis arrivé à penser que mon amant par-delà l'océan réussissait à venir en moi pour m'offrir tout ce liquide chaud et généreux ! 

Je n'aime pas que la meilleure amie de ma mère m'appelle après 22h pour me rappeler à l'ordre, je n'aime pas prendre un ton sympathique pour lui répondre que je n'ai pas oublié le cadeau d'anniversaire de ma mère. Je n'aime pas qu'elle me rappelle quoi que ce soit en rapport avec ma mère. Je n'aime pas que l'amie de ma mère s'immisce dans notre vie, notre intimité, notre duo. C'est MA mère ! ;)

Il y a cette histoire*, d'une fille qui se persuade qu'elle est amoureuse de cet homme qui lui offre tout ce dont elle pense avoir besoin excepté la passion instinctive qui promet au premier regard des heures, des journées, des vies à refaire à deux pour un temps qu'on s'invente. Il y a cette histoire que je vous raconterai un jour, lorsque les protagonistes auront fait place à d'autres. Je la garde pour moi, la romancer et les tuer pour de plus belles aventures, plus puissantes.

J'aimerais le Youp's au poignet, les bottes en cuir rouge Isabel Marant aux pieds, les yeux noircis au khôl d'une fille qui sait jouer du pinceau, les omoplates pianotées et la même bêtise que cette fille qui laissa un 15 février "*** a trop d'orgueil pour rester amoureuse très longtemps" comme statut Facebook.

Très peu de filles lâchent des soupirs de plaisir susceptibles de me faire jouir. Quand elles y arrivent, Sainte Rita et moi-même leur donnons tout notre gratitude, un teint rosé framboise précoce, nous aimons beaucoup.  

Même quand j'ai très soif, que ma gorge appelle à l'Evian ultra fraîche, un shot de vodka passe parfois nettement plus facilement que des bulles de coca light lemon conservées au frais dans une bouteille en plastique. La bouteille en verre, le plaisir rétrochic.

Si je ressemble à Jenny de L World, alors peut-être ce mec qui s'avéra être une femme dans ma bouche considéra toutes les Jenny de la planète comme des allumeuses, des gentilles salopes. Aurait-elle tort ? Je ne crois pas. Je crois aussi que pour passer la nuit dans son appartement près des jardins du Palais-Royal, il aurait fallu qu'une colocatrice sosie de Kate Moss l'accompagnât. Ce ne fut malheureusement pas le cas. Je ne me donnerai pas à toi, petit homme, j'aime les femmes au déhanché sadique et à la langue colorée sucrée par des bonbons fifilles. 

"un con qui ne sait pas ce qu'il perd..." Il y a des mails qui arrivent un jour, et qui te touchent en plein coeur. Merci, beauté ! Mais tous les hommes ne savent pas sublimer la femme qu'ils ont en face d'eux, question d'expérienceS peut-être... ;p

Saint Valentin et lendemain qui chante.

"Je te vois bientôt." Ta jolie organise une boum au sein du poumon, la musique est forte, personne n'est encore assez vieux pour vouloir baisser le volume, les enceintes éclatent les tympans mais pas les vitres, je t'attends pour les briser sur un air de polka. J'emmerde celles et ceux qui relèvent la sauce d'aigreur, la crudité oui, l'amertume non. J'aime bien ce titre, j'aurais aimé le trouver, PS : i love you but i don't miss you. Les rockers sont des petits cons qui plairont toujours à Jenny les bons tuyaux.

Mais si tu ne me manques pas, sainte Rita me dit que ça y ressemble... 

Je suis toujours étonnée de surprendre les gens en leur apprenant qu'amoureuse, je suis fidèle. Les temps changeront sans doute, peut-être, mais je m'aime assez dans ce rôle-là je dois dire. Pourquoi dire ça, tout cela, je n'en sais strictement rien. Bien trente minutes que j'écoute le titre ci-dessous en boucle en laissant mes doigts vous taper les videdesens qui se baladent en haut, en bas, au milieu, ça fait du bien. Laisser son esprit et ses mains rendre ce que personne ne veut écouter, même après deux grammes de tout. Ouais, ça me fait du bien de laisser mes mains jouer au foot dans la cour de récré qu'est ce blog. Sur ce, il est 2h22, j'ai du travail sous influence à rendre. Que du bonheur, Nikos et Quentin en savent quelque chose ! ou pas. Du tout.

 


Where do all the lovers meet with one another,
in an effort to uncover what has happened to their salad days?
The sprite ones on the corner, dream of something warmer
A semblance of their old ways, what has happened to our handmade days?

Oh no!

 

* si vous avez pensé une seule seconde que cette histoire pouvait être la mienne, désolée de vous le dire mais vous êtes passé à côté du personnage !

 

PS : 1 113ème note

 

Edit 3h51 : spéciale dédicace de bonnet jaune au killer de putes jaunes ;)

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vendredi, 15 février 2008

Drugs in my body

La fée dit que j'ai 13 ans.  Enlève le 3 et Jen se fait la malle, tu vois le ballon blanc géant qui empêche toujours le prisonnier de s'enfuir, je viens de l'éclater avec une cigarette. Le con ! fallait fumer, tout simplement...

 

 podcast

The days they go slow.
The nights they go fast.
It's only some time,
Til we get together.
I'm out on the street.
I'm waiting for you.
Do you hear me looking?
The method is clear
In waiting for you.
I think I need a distraction.
I'm not staying in.
I'm searching for you.
I can never find you.

Go downtown put the drugs in my body.
Step back up I'm the life of the party.
Come back home and we'll get something started.
Stay up late put some heat in my heartache.