jeudi, 04 juin 2009
Putain de bordel de merde
Cerveau ravagé pour mettre autant de temps à faire le lien entre untel et machin.
Je n'ai qu'un truc à dire : fait chier d'être aussi conne, je veux qu'on me rende la vue !!!
Je pars m'acheter des soutifs, ça me détendra.
(Clairement, je crois que tout est parti en couille le jour où j'ai couché avec vous.)
02:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Carte postale #5
Normalement, je rentre bientôt. Vu que j'écris ce truc le jour de mon départ (4 août), je ne sais pas dans quel esprit je serai aujourd'hui (écris cette phrase, normalement tu devrais sourire) mais je dois être ultra détendue, soit il faut beau et je ne veux pas partir, soit il fait moche et je ne veux pas partir.
Bobo pasteur rentre d'ici une semaine (bah ouais, il est possible que je m'attarde, j'en profite merde - la vie de freelance sauce Jen, ça peut vite virer à l'anarchie, tu as raison), prenez une table j'arrive !
Ma chanson préférée de Mondrian (avec Omar le grand Omar) pour célébrer le retour de la duchesse...
02:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mondrian can't call her my own
Les silhouettes se suivent et se ressemblent
Personne ne me dit je t'aime à l'entrée du métro pourtant je ne me sens pas seule. Je ne me souviens pas du dernier premier baiser, celui qui succède à de longues journées où l'on a mal au ventre, le vertige au moindre appel, les jambes flagadas et la tête au-dessus des nuages (là où les turbulences sont nulles). Si j'y pense deux secondes, si je m'en souviens et la dernière fois où j'ai pris un vrai shoot, c'était il y a deux ans. Depuis, je me sens souvent plus seule accompagnée qu'à un table de dix.
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Carte postale #4
02:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : komeda cul de sac
Easy like sunday morning
02:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Finalement, quand tout est simple, moi je tourne en rond

On peut se vermifuger après 8 ans, on peut oublier un homme dans les bras d'un autre, on peut rester muette devant un lit d'hôpital, on peut s'effondrer en apprenant que son ex préfère l'architecture 70's aux moulures, on peut jouir sans amour, on peut porter des escarpins rouges en période de deuil, on peut admirer les bites capables de porter 5 cintres, on peut réveiller un homme avec ses ronflements sans avoir honte, on peut écouter ses amis et n'écouter que soi... A prendre trop de hauteur, ne deviendrait-on pas comme... ?
02:27 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pretty killer
Je n'arrive pas à visualiser Sarko pratiquer le cunni sur Carla

(Cheminement : Bertignac->Carla->Sarko->porno italien->triolisme->salope->mec repoussant->cunni Sarko/Carla)
Bonne nuit quand même
J'ai la fièvre.
J'ai la goutte au nez comme mon clebard.
Je suis tombée sur une abrutie chez Bouygues qui a fermé ma ligne.
J'ai mes règles donc mal au ventre.
Je vais choper alzheimer à force d'éternuer.
Je pleure non-stop à cause de la crève.
Je me sens incapable de rester concentrée.
Lunatique légitime.
Mais en fait ça va.
02:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Balle à blanc, une victime, agresseur inconnu
Trois heures au commissariat de la place du Marché Saint-Honoré, face à un idiot qui pense qu'il fait bien le mec overbooké devant son PC et une fille chaussée de bottes Aigle rouges avec un casque sur les genoux qui passe en boucle Half asleep de School of Seven Bells. Aucun ange n'est passé me kid-napper. Je regardais cette affiche religieusement : Disparition Inquiétante, Méthodes de recherche. Bureau médiocre, imagination fertile.
Personne ne m'a tirée dessus, il a fait mieux, il a pointé son arme sur un songe d'une nuit d'hiver.
Mes synapses déconnent. Le chauffage du commissariat aussi.
C'est un vrai don qu'aimer autant les plans foireux et les plaisirs avortés.
02:25 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : school of seven bells
Combien d'amoureux secrets tu crois qu'on peut avoir sans trop souffrir ?
vendredi 3 octobre 2008
Julien, je l'aime pour sa discrétion. Son chic et son calme (apparent), son bébé et sa femme parfaite, quand tu les écoutes sourire, baigner dans leur bonheur bobo rue Jacob, t'as des envies de vieux. Toutefois un peu emmerdant d'avoir les mêmes goûts que sa mère, et puis ce serait dommage de passer après maman, j'ai ma dignité (ah bon ?).
J'ai entendu cette chanson et alors à l'esprit se sont enchaînés Stéphane, le bébé que j'aurais aimé avoir avec lui, Stéphane tout court, le bébé tout court, moi tout court, ma déprime post-déménagement, l'hiver, l'absence d'adresse, le tout à commencer, un peu de tristesse et un grand blanc. Une presque larme et la cloche de l'école qui sonne, sauvée par le gong. J'aimerais bien retrouver Thibault H., ma vie avant l'amour physique, ma vie avant les grandes questions à la con.
J'ai toujours eu un goût prononcé pour les histoires foireuses, je crois que j'aime ça, me faire un peu mal, ça te donne l'impression d'être dans un roman photo haut de gamme. Blague. Un roman de gare. Bof. Un roman, le mien, et c'est déjà pas si mal.
Mes très chères soeurs, mes très chers frères, soyez les bienvenus dans mon église, à trois tapez dans vos mains, à quatre, tous à la mer !
Mail envoyé à 17h38 :
là j'aimerais être à deauville dans ma grande maison normande vue sur mer avec un feu de cheminée mon chien mes potes mon mec du vin des pet' et un pictionnary ouais !
(tu as raison, c'est la honte mais j'aime, la honte, et julien, enfin le refrain de cette chanson tout du moins, la mélodie, toujours elle...)
02:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : question idiote réponse idiote