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lundi, 18 octobre 2010

La vie de cocagne

 

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Des amis m'ont fait remarqué l'autre soir que je parlais souvent d'enfants sur ce blog, comme quoi j'en voulais, vous auriez vu ma tête ! Vous trouvez que j'évoque souvent une envie de bébé ? Parce que moi j'ai plutôt l'impression du contraire, ou alors avec une vacherie dans le texte. C'est grave si je ne me rends pas compte de ce qui ressort le plus de mes posts... Enfin bref.

Je viens de charger mon iphone et découvre mes photos récentes. Plein de gens que je ne connais pas. C'est qui ça ? Et ça c'était où ? Et pourquoi je suis incapable de savoir si on était au tape, aux disquaires ou dans un bar avec des tables en formica ? Effectivement, je pouvais me réveiller malade samedi après-midi, je crois que j'ai encore bu de vodka plus que de raison. Et je crois aussi que la seule solution pour ne pas craquer avec l'alcool pendant ce régime, c'est tout simplement que je ne sorte plus et ne voie plus personne. Je ne suis pas foutue de résister à l'alcool. La bouffe, si (enfin presque, quand je vais dire à Moe que j'ai mangé le chocolat suisse que je lui réservais, je vais me faire taper sur les doigts), mais l'alcool en soirée, c'est trop dur. Donc voilà, je crois que je suis vouée à rester chez moi ou me faire des nouveaux amis, tous au régime, mais bon des amis obèses ça me tente moyen. 

Le régime sera long. 

 

Quoi de neuf, à part Dukan et mon alcoolisme notoire ? Bah rien, j'attends toujours mon amoureux (un vrai quoi, pas un de pacotille qui mène les filles en bateau ni un qui ne serait pas jaloux de mon père). Un vrai amoureux, mais pas celui avec qui il faudrait signer pour une vie, juste une belle traversée je souhaite. 

 

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Une des chansons françaises que j'aime le plus, j'aurais pu l'écrire. Tu m'écoutes chanter ? 

 

La vie de cocagne, Jeanne Moreau

podcast

Cette nuit Mélanie a rêvé qu'elle m'accompagnait à l'hôpital pour que j'aille me faire euthanasier. Son cauchemar était tellement intense et détaillé qu'elle vient de me demander si j'allais bien. Ça fait un peu bizarre je ne vous le cache pas quand une personne vous décrit votre mort. Enfin heureusement, tout va bien, je n'ai juste pas encore enregistré le code du leitmotiv général, mais je crois que tout s'arrangera quand j'aurai un enfant. Je cesserai de ne penser qu'à moi, j'arrêterai de m'arracher la tête avec des questions sans réponse, le bonheur d'un autre me suffira, ça doit être ça la sérénité presque atteinte chez les dépressifs urbains. Je plaisante. Mon gamin sera un insatisfait chronique et un égoïste romantique comme sa mère, il sera malheureux car trop brillant pour tous ces gueux, oui en fait c'est vrai je parle parfois de mômes. Parce que je suis peut-être pressée de rencontrer un génie de mon envergure. 

dimdamdoum

Elle retourna travailler à son petit bureau, entre les moineaux qui mangeaient les graines dans leur petite maison de bois et Itélé qui balançait toujours les mêmes merdes sociales, flash après flash. Mais elle hésitait à tout lâcher pour répondre à l'invitation de sa mère : déjeuner et shopping rue St Honoré/Madeleine. 

(Vincent et Bertrand : là effectivement j'ai parlé d'enfants, mais ça ne compte pas pour cette fois.)

PS : En me relisant, je comprends pourquoi je ne trouve pas chaussure à mon pied. Mes expressions trahissent mon désir d'échec, il faut croire. Bertrand aurait alors raison, inconsciemment, je fais exprès de choisir des hommes qui ne me correspondront pas sur le long terme... Dans ce cas, cela veut-il dire qu'il me faudrait choisir des hommes qui ne me correspondent pas au présent ? Mais merde, pourquoi c'est si compliqué ? Je vais acheter un hamster de compagnie en attendant de trouver Les Hommes pour les Nuls.

 

Casse pas mon jouet

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La belle poupée, Karl Heinz Schafer


podcast

 

jeudi, 14 octobre 2010

Ne pas suçer

La fellation, responsable d'une vague de cancers?

Les changements dans les pratiques sexuelles seraient responsables de l'augmentation nette des cancers de la cavité buccale, selon des chercheurs.

 

De mieux en mieux...

Si tu es un homme et que tu as l'habitude que Chéri(e) te gâte très souvent, et bien j'espère pour toi qu'il ou elle ne tombera pas sur l'article de Libé. Bonne chaaaaance ! ah ah ah

 

Papier à lire ici.

 

 

Dukon, j'ai péché...

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Le vin j'ai bu

 

 

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Les trois morceaux de baguette j'ai mangés, l'ardoise de charcuterie et de fromage j'ai partagée, l'aubergine farcie à la viande j'ai mangée et saucée

 

 

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Et la moitié de fondant au chocolat j'ai dégustée les yeux fermés.

J'ai joui.

 

Mais, au foin et à l'avoine je retournerai

 

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Parce que je veux ce corps perdu il y a deux ans.

A L'Epicerie je retournerai manger, pour sa cuisine, sa baie vitrée, sa playlist et ses serveurs. Mais quand j'aurai perdu deux kilos supplémentaires seulement, promis.

 

Brochant/Batignolles, j'aime.

 

Cette journée en charmante compagnie, passée à écumer les boutiques de décoration (repéré un chouette fauteuil et un banc pour écolier minipouce destiné à mon balcon, je vous montre cela vite - dès que je suis retournée les acheter !), a toutefois eu un seul désagrément : le putain de bordel de froid sa mère !!! C'EST L'HIVER, LA MEG RYAN EN MOI SE RÉVEILLE ET RÊVE DE CLICHÉS GRANDS COMME SES LÈVRES DE MÉROU BOTOXÉES (ok d'ac, elle ne meurt jamais, je ne suis qu'une romantique niaise c'est immonde mais j'assume) : j'avais une chanson de Louis Armstrong toute l'après-midi en tête, j'avais des envies de week-ends en amoureux à Jersey, j'avais à l'esprit ces vacances à New York (payées dès que j'aurai fini de cachetonner pour ces impôts, ces Urssaf, ces gdf, ces traites, ce syndic, cette pollution), j'avais ces frissons dans le dos (il faut à tout prix que je m'achète un manteau d'hiver, un vrai, je ne comprends pas comment j'arrive chaque année à survivre en parka et trench légers), il faisait froid, et j'aurais aimé avoir à mon bras un homme, un homme amoureux, un homme qui comme moi aurait regardé cette classe de CP en sortie avec leur maîtresse méchante, ils étaient marrants à se tenir deux par deux par la main et à se traiter de menteur, j'aurais aimé être avec un homme que j'aime, j'aurais aimé lui raconter comment je voulais repeindre les murs du salon pendant qu'il feignait l'intérêt, j'aurais voulu passer le dimanche soir à regarder Manhattan avec lui, sous un plaid les jambes mêlées et des guilous sur mon bras (et je dis stop quand je pense qu'il est arrivé au niveau du coude).

 

J'aimerais être amoureuse en automne.

La saison ne fait que débuter...

 

I wonder, Louis Armstrong
podcast

 

PS : croisé Arnaud Fleurent Didier dans l'après-midi, physique qui me plaît d'habitude, mais dans ce vent polaire je l'ai trouvé bien peu chaleureux avec sa silhouette maigrichonne, pas les bras qui rassurent assez. Mes goûts changent, je change... et je crois que c'est une bonne nouvelle. Enfin j'espère. De là à aimer les gros, non. Mais un peu de masse pour réchauffer ces coeurs en hiver, faut voir.

 

 

mardi, 12 octobre 2010

Journée 23, Dukan, journée S.A.N.S.

Le castor m'a vexée, je vide les ordures au (R)sous-sol.

J'ai toujours pas mes règles mais les boutons si, je suis de mauvaise humeur.

J'ai envie de manger du pain chaud et croustillant avec du beurre salé, du miel dans mon thé et du bacon avec mes oeufs, croquer dans une pomme rouge, manger une grande assiettes de chanterelles revenues au beurre et à l'ail. Dukanfaitchier. J'en ai marre des protéines, mais je tiens bon, on se demande comment.

J'entends L., "ouh là là ouh là là, ça m'agace"...

Et des frites, des bonnes frites maison. 

Toujours les -4 kg qui stagnent. 

(J'ai un Lion dans mon sac, je l'ai acheté hier je ne sais pas pourquoi. Je ressemble à un chien qui attend sa maîtresse derrière la porte.)

Et du fromage, ah le fromage !... tristesse, désespoir. Régime.

Call me Bubbles, darling, everybody does ! 

 

lundi, 11 octobre 2010

Il m'énerve.

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Il n'y a que toi, Guillaume Fédou
podcast

 

dimanche, 10 octobre 2010

R.I.P. Solomon Burke

Découvert il y a des années grâce à un chauffeur de taxi génial... Solomon Burke, légende de la soul.


samedi, 09 octobre 2010

CARL BARAT - Run with the boys

La même vie que la nôtre, version senior. Le délire est sympa. Papy qui ment à sa femme, papy qui se bourre la gueule avec ses potes, papy qui se bat pour une meuf, papy qui drague au dancing quand mamy regarde Eastenders à la maison, papy qui rentre ivre à pas d'heure...



vendredi, 08 octobre 2010

Plan Cul Régulier ou le PQR pour les Nuls

Ceux qui regardaient Seconde B reconnaîtront la voix de Kader... Maintenant, Kader s'appelle Captain Brackmard. Et il chante avec Simone elle est bonne. Et ouais. 

 

 

And I'm feeling good

 

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La belle surprise en rentrant de soirée à 3h...

 

 

Il's a new dawn

it's a new day

it's a new life

and u're feeling good

 

 

 

 

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Feeling good, NINA SIMONE


podcast

 

Ma moitié est de retour, la connerie à son paroxysme peut reprendre de plus belle. Des fleurs et une carte qui dessine un sourire complice - you know what I mean -  quand je rentre, le bonheur est parfois simple comme une blague sur les poissons qu'on noie, drôle comme un serveur nain sur un étage d'1,65m de hauteur, logique comme un aller simple New York-Santa Barbara...

 

Nina Simone, Feeling good, elle est pour toi  cette chanson : ne me quitte plus maintenant, finis les tours du monde, tu restes avec moi : on a des sketches et un groupe de pop indie à travailler !

 
buzz