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lundi, 17 mars 2008

We sure are cute for two ugly people

Ok, la chanson précédente est bien gentille mais tu fais vite fait le tour de sa serveuse qui se rêve chanteuse au Zénith.

Je savais bien que je détestais - normalement.

Pour une jolie soirée douce, j'ai mieux, mignon, simple, petite ballade à deux, j'aime. Et comme je sais que toi aussi tu vas checker les paroles en douce parce que non, tes six mois chez les ricains ne t'ont pas suffit pour comprendre une chanson de A à Z à tous les coups (très alphabet en ce moment, moi, je vais bientôt ressortir Oui-Oui et Martine), je te laisse les paroles (et inutile de me taxer de nulle, j'ai eu 16 au bac en anglais connard ! ouais bon ok c'était ma meilleure note, faut bien que je la sorte de temps en temps, ça sert à ça de passer le bac, sortir ta meilleure note une fois tous les deux ans en société crevarde).

Je laisse les paroles parce qu'elles me plaisent.

(Paraît que cette chanson est dans Juno pour les fous "plus ouverts" que moi qui seraient allé voir un film où faire un gamin à 15 ans apparaît comme une bonne idée, presque cool et sympa. Ca, c'est fait.)

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podcast
 

 

You're a part time lover and a full time friend
The monkey on you're back is the latest trend
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

I kiss you on the brain in the shadow of a train
I kiss you all starry eyed, my body's swinging from side to side
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

Here is the church and here is the steeple
We sure are cute for two ugly people
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

The pebbles forgive me, the trees forgive me
So why can't, you forgive me?
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

I will find my nitch in your car
With my mp3 DVD rumple-packed guitar
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

Du du du du du du dudu
Du du du du du du dudu
Du du du du du du dudu du

Up up down down left right left right B A start
Just because we use cheats doesn't mean we're not smart
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

You are always trying to keep it real
I'm in love with how you feel
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

We both have shiny happy fits of rage
You want more fans, I want more stage
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

Don Quixote was a steel driving man
My name is Adam I'm your biggest fan
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

Squinched up your face and did a dance
You shook a little turd out of the bottom of your pants
I don't see what anyone can see, in anyone else
But you

Du du du du du du dudu
Du du du du du du dudu
Du du du du du du dudu du
But you

 

 

PS : En ce moment, j'ai l'impression d'être amoureuse. Mais je ne connais pas encore le malheureux élu. C'est grave ?

Je devrais détester, c'est irritant pourtant je l'écoute pour la troisième fois, ça doit me parler... (sourire ?)

dimanche, 16 mars 2008

Le couple de Courbevoie ou Straight to the point

482430081.jpgDes rires, beaucoup. L'andalou, Cé, la master Contessa, mon mari banquier, le clone de Nadine de Rothschild version hype, la chienne du lit la goutte au minou, Mélanie Doutey et une vidéo qui va encore ruiner le peu de bonne réputation que j'entretiens dans certains milieux. Les mecs, la légèreté, l'herbe qui rend blancs les vrais faux méditerranéens et bavards les autres, Paris la plus belle ville du monde et un trait d'union, l'amitié.

Un week-end parfait. De A à Z. Z étant à minuit et à minuit tout est possible.

La Fée Verte, petit brunch, poulet tikka tu me tues, Chardonnay je te resterai fidèle jusque sur sous mon lit à l'étage Phase TERMINALE, les fées se baladent, certaines parlent aux fleurs, d'autres déjeunent en pyjama (non, je ne déjeune pas en pyjama et trench rue de la Roquette le dimanche, non non), j'aime le temps présent.

Ouais, excellent week-end, peut-être même que l'amour est au coin de la rue et que j'ai déjà chopé son numéro. Ouais ! 

Paraît que la semaine prochaine va faire froid et peut-être même neiger... cool.

Voltaire, ça me va plutôt pas mal je trouve.

Il y a un truc qui me va encore mieux mais si je le dis ici, ce ne sera plus un secret. 

 

Les petits détails à la con que j'ai aimé retenir malgré moi : les gouttes joliment étalées sur la couette, les portes donnant sur le balcon toujours ouvertes, sa main près de ma hanche dans l'ascenseur parce que tout seul je tiens pas très droit oui je suis là oui dors petit ange oui j'aime bien te voir sourire de bon coeur, ces retrouvailles au hasard des rues bordant la Seine, la petite vieille polonaise en gilet marron taille XXL qui faisait semblant d'écouter sa belle-fille aux dents gentilles mais au regard sournois, ces mains calmes posées sur la table rue de l'Ancienne-Comédie, cette trousse clonée LE SPORTSAC t'entends LE SPORTSAC !, Le Cercle de jour comme de nuit, la tempête sous mon bonnet jaune rue de Buci tout va bien je me trouve belle comme Gene Kelly (homme/femme mode d'emploi), la coupe noire qui t'emmène loin très loin là où tu trouves normal d'être mariée à un banquier nommé Jacky, la ligne 9 le dimanche après-midi guillerette, ta vie qui mue, ta vie sourde aux blessures d'hier, ta vie qui te plaît à mort.

Week-end parisien typique.


podcast
 

jeudi, 13 mars 2008

Pour Fishturn

Notre seul lien, c'est la nuit. La nuit se résume à tout, à la vie à la mort (!). Je repensais à cette première rencontre, toujours ivre, à croire que jamais un homme me rencontrera sans que je ne laisse ma timidité maladive dans un verre jamais vide.

Alors ce soir je pensais à toi, à ces bras sur mes épaules une nuit où j'ai répété un peu trop fort le prénom de Simon, à ma remarque sur ta petite taille perchée sur mes talons de bourgeoise ni jeune ni vieille et, ne me demande pas pourquoi, j'ai voulu revoir en entier cette vidéo.  Je n'avais pas réalisé la première fois que je connaissais une bonne partie de ses (anti)héros, un plaisir d'en revoir certains, parce que des histoires, d'amitié, d'amour, de géographie, de vie quoi.

Cette vidéo, made in Fishturn, la voici :

 

 

J'étais un peu émue de voir ces "gueules", particulièrement deux. Je me suis dit qu'ils (on) étaient beaux, et que si le web est le cimetière de l'humanité alors l'humanité toute entière est décédée. Je nous ai trouvés encore plus beaux.

Puis mon côté cynique, j'ai pensé à cette minute de Carax, l'ajouter pour chute aurait été du Fishturn cliché, mais le cliché j'aime bien, tout le monde le sait.

La minute Carax, c'est ça :

 

 

Puis j'ai pixellisé Fishturn dans ma mémoire, avec mes souvenirs teintés de l'alcool et de la noirceur qui m'absorbaient cette fameuse nuit et alors j'ai pensé à cette chanson, elle me fait penser à toi, Fishturn.

 

Bon, moi, Fishturn, je le trouve un peu trop cynique, un peu trop sombre. Mais son talent vient de ces défauts. Oui, ce sont des défauts. Je le sais parce que si je laissais parler ma vraie nature, ils me boufferaient. C'est pour cela que le rire est aujourd'hui ma force. La lutte qu'on finit par oublier à force de jouer. J'ai toujours aimé les gens qui cachent leur failles derrière le rire. Les clowns tristes, pathétiques certainement, mais moi je les aime. J'aime les warriors du quotidien ! Youhou ! ;)

(Pensées pour l'homme heureux qui range des équerres dans un bac chaque jour.) 

Je serais incapable de vous dire pourquoi cet enchaînement de pensées donc de vidéos. Je regardais la Nouvelle Star et fantasmais sur le verre de vin rouge que me proposerait André Manoukian sur son canapé. Non, vraiment, incapable de vous dire pourquoi tout paraît sombre dans cette note alors que je me sens bien. En tout cas, Fishturn, ça m'a fait plaisir ! 

 

PS : Sans déconner, je suis séduite par Dédé. Il est amoureux en ce moment ? J'aimerais bien prendre un verre en sa compagnie, sa voix de velours, ses belles paroles, son piano et son baratin, je serais à fond ! Je suis sérieuse en fait. Mry, tu ne peux pas me brancher ?!!

 

PPS : Bon, je crois que malade je blogue trop. Ca fait pas genre, ça craint. Sourire (oui, j'aime bien dit sourire et ou pas en ce moment). Demain, malade ou pas, je bosse et pars retrouver les chéris à la It's Complicated apéro. A vous Cognacq Jay !

Juste pour dire...

NTM, putain ça fait plaisir de les revoir !

Bon en même temps le côté people de mes deux sur le plateau de Canal avec Obispo et Besancenot, ça me fait doucement mal au cul mais je zappe, parce que quand même, ça fait plaisir. 

Finalement faut jamais dire jamais, peut-être. Ouais enfin ça dépend avec qui. 

 

PS : Suis-je la seule à trouver la musique de la dernière pub Noka Nseries totalement anxiogène ? Elle me donne la boule au ventre à chaque écoute, j'imagine très bien un type se suicider après avoir entendu cette pub à la tv. Je vais bien sinon, c'est vrai ! Juste cette pub, m'angoisse trop. Je ne m'y fais pas. 

20:28 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : ntm

Je sais bien, Monsieur N., je sais bien...

Il y a un garçon qui m'envoie un tas de mails depuis, pfiou, longtemps, un an ou plus. Rarement je lui réponds, c'est un psychopathe. Un vrai. Le mec m'a pokée x fois sur facebook (déjà, les lecteurs qui me cherchent sur facebook, je trouve ça louche, à quoi ça sert de m'avoir comme fausse amie ?!!). Mais quand je m'ennuie ou que j'ai besoin de cracher mon venin, c'est sur lui que je me défoule. Ou pas.

Aujourd'hui, ce n'est pas sexuel (c'est rare, il ne fait que me draguer lourdement depuis le début), il s'exclame : 

"'t'as pas de santé ma Kaaaatia !"

 

1/ le mec m'appelle par mon deuxième prénom. J'aime pas. Enfin si mais ça dépend qui. 

2/ je sais que j'ai une santé de merde, inutile de me le rappeler à chaque fois.

3/ le pronom personnel précédent mon deuxième prénom, c'est un peu trop.

 

Conclusion : Jamais tu ne lâches le morceau ?!! Bon cela dit la chanson avec string dedans ça allait alors ça va. Mais faudrait songer à devenir un peu moins psycho quand même. Sinon je fais comme Angela et je demande au juge que tu restes à distance de moi où que j'aille, quoi que je dise.

 

MARRE DES PSYCHOPATHES, JE VEUX UN GORILLE, JE VEUX UN ENTRETIEN AVEC MADONNA POUR QU'ELLE ME DONNE LE NOM DE SON AVOCAT (OUAIS, T'AS BIEN LU, OUAIS, OUAIS, OUAIS... JE SUIS ANGELA BOWERS !) un peu de fièvre peut-être... 

 

PS : les gens qui ont toujours un petit quelque chose vivent peut-être plus longtemps que ceux qui n'ont jamais rien. Vos gueule ! 

 

Bon bref, j'en ai marre d'avoir un dossier "pervers" dans ma messagerie qui grossit non-stop depuis l'ouverture de ce blog. Pourquoi quand je parle avec d'autres blogueuses, je suis la seule à attirer tous les dépressifs de petite taille ? (non je ne suis pas rude)

 

edit : paraît qu'il se soigne... moi aussi moi aussi. ;) 

Punie là où...

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... on a péché contre moi. (c'est le haut de ma cuisse droite, pas mon sein, je précise pour les tordus qui imaginent voir un bleu à la place d'une framboise, des malades...)
 
(D'autres tâches noires, marrons, vertes, bleus ou jaunes sur les jambes et le dos. Somatisation des sens, j'ai joué j'ai perdu, battue mais debout. J'ai toujours aimé extrapoler. Mon côté dramaturge de l'Est.)
 
 
 

(En vrai, je n'ai presque plus mal. En vrai, je ne pense plus beaucoup à lui. En vrai, je voulais juste trouver une excuse - un con - pour dévoiler ma fesse-mémoire.)

12h14 et toujours en gros pull avec le miel et les abeilles Strepsils : je veux qu'on s'occupe de moi, mamaaan chui malade !!! (Pourquoi j'ai toujours envie de vomir le matin ?)

 

PS : Oui, ça me plairait bien d'écrire des chansons, juste pour faire genre j'écris des chansons. Je les chanterais bien aussi mais ce serait trop demander au public.  

PPS : Moi, boulevard Voltaire.  Moi, quitter le plus beau quartier de Paris. Oui, je l'envisage assez bien. Aventure rive droite, changer un peu, j'ai envie. Le problème, c'est la salle de bains, elle est miniature, il faudrait lancer des travaux et l'appartement est déjà assez cher... Mais le salon, si j'abats le mur, qu'il est spacieux ! Quatre fenêtres, le soleil toute la journée, je me vois évoluer dedans à merveille : je veux cet appart' ! Nouvelle visite ce soir avec mon père qui va trouver tout nul... Motivation.

 

edit 13h10 : Grrr, viens d'avoir mon père au tél, il préfère voir l'appart' seul ce soir. C'est quoi, ce bordel ?!! Putain le connaissant, il va dire au mec que son appart' est vieillot, enfin je sais quel ton condescendant il va prendre bref il va me pourrir le contact sympa que j'avais noué avec le proprio (bon ok je crois qu'il m'a légèrement draguée, en parlant de mon jeune âge, ses vieux sourires en coin et sa façon de se coller à moi en passant entre chaque porte; normal, moi j'ai joué la fille sympa, on sait jamais si j'achète son appart', faut toujours être bonnasse putasse). MERDE !!! 

 

edit 15h28 : j'aurais pu aussi titre : "Ceci n'est pas un saint." oui bon... 

mardi, 11 mars 2008

Oh putain !

28 juin, Salle Pleyel, Lou Reed, album Berlin (ma-gni-fi-que, il a bercé mes quatorze ans et mon walkman pourri peint un peu partout et très mal) + un orchestre et une chorale d'enfants. OH PUTAIN ! La nouvelle qui vient de me mettre dans un état second, impatiente d'y être, bordel ce sera superbe, j'ai hâte !

 

Sweet Mary Jen

C'est drôle comme un échec peut bouleverser toute ta petite vie. L'échec en soi est somme toute sans réelle importance (se faire larguer par un mec incapable de t'avouer qu'il a baisé avec une autre, nul mais rien de nouveau sous le soleil masculin), c'est le reste qui a su me briser en deux le temps de quelques jours où jouer la comédie n'a pas pris le sens que je lui donne en temps normal. Mais au final, toutes ces claques (ajoute à la rupture-humiliation (orgueil boursouflé, tu as raison) deux merdes familiales, quarante minutes sur un pont à observer la ville lumière qui éclaire tout le monde sauf toi et quelques déceptions amicales, tu obtiens la pire semaine de ta vie - en-dehors de l'époque Salpêtrière) étaient, je crois, nécessaires.

Puis là, le silence, l'autarcie, le point. L'ego en prend un coup, où veux-tu aller, qui veux-tu devenir, de quoi as-tu envie d'être la plus fière, qui préfères-tu aimer avant tout, toi ou les autres ?

Un - vrai - arrêt sur soi-même est essentiel. Je suis dans cette phase qui s'avère inévitable pour que le futur soit souriant. Jamais je n'avais dit autant d'horreurs aux gens que j'aime, jamais je n'avais eu cette envie de rompre avec tout et tout le monde en CDI. 

Tout le monde a pensé que j'étais chargée à bloc pour tenir ces discours, poser ces regards violents et vides, ce visage tellement lointain qu'il effraie ceux qui te connaissent le mieux (je ne parle même pas des claques et coups que j'ai donnés; encore à l'ex ça ok aucun regret mais aux autres, putain cela reste impardonnable).  Besoin d'un peu de temps pour me reconnaître dans le miroir. Je suis bien, seule, en autarcie. J'avoue, c'est tentant de sortir, envie d'aller à droite à gauche avec les amis mais je crois que j'ai besoin d'un peu de solitude, paradoxalement. Besoin de quelques temps sans excès, sans échanges, ne pas à avoir à parler de soi, ne pas vouloir connaître les joies les peines la vie des autres, juste moi sans/avec moi, juste me lever le matin et aimer ce que je veux en faire. Je ne me suis pas perdue (ou un peu, si quand même), j'ai juste perdu le goût des autres. Mais je n'ai qu'une envie, le retrouver. Petit à petit. Déjà, depuis ce matin, je n'ai plus cette boule au ventre. Je n'ai plus peur. Maintenant, j'ai besoin d'apprécier le temps d'un livre, le temps de vivre sans penser au mal que ce con, ma mère ou une amie on pu me faire. Le temps d'aimer l'espace. Le temps, tout simplement. Petite crise existentielle, tu m'étonnes !

Ce que je sais, c'est que ces horreurs échangées avec ma mère et Elle ont finalement éveillé une profondeur dans nos relations, enfin je crois. Ce que je sais aussi, c'est que j'aime profondément ce garçon qui aujourd'hui est mon meilleur ami, oui celui qui conseille de jouer à la Nintendo après la mort du hamster. Sourire. Et je sais aussi que je veux déménager, mais pas à Berlin, rester à Paris, ma vie est à Paris, les gens que j'aime sont ici, Berlin me verra peut-être quelques mois cet été mais Paris est la ville qui verra toujours danser mon sourire, ceux de mes amis et peut-être même ceux de mes enfants un peu bizarres pour les voisins. Je sais surtout une chose : j'apprends à m'aimer et à ne pas me laisser tuer par les silences, les cris et les lâches. J'apprends juste à recevoir les coups comme une grande, à 27 ans. J'apprends juste à savoir ce que je veux, à 27 ans.


podcast
 

PS :Pour le plaisir parce que je trouve ces deux instants intelligents, je vous invite à perdre votre temps ici et ici.

PPS : Je suis quand même une petite salope car dans l'histoire, j'ai quand même branlé son pote (à poil dans un bain, je te laisse imaginer ce que deux personnes peuvent faire) et galoché deux mecs avant qu'il me largue mais bon, chut.  

vendredi, 07 mars 2008

J'ai comme un doute maintenant...

Les mecs, ils aiment que la fille contracte le vagin ou pas ? Je pensais que oui. (En même temps, je le fais pas souvent. Pas besoin. Suis égoïste ? Je connais la réponse.)